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6 oct. 2020 - Monique Pinçon-Charlot : « Ce n'est pas une crise sanitaire, c'est une crise du capitalisme »

6 oct. 2020 - Monique Pinçon-Charlot : « Ce n'est pas une crise sanitaire, c'est une crise du capitalisme »
Bravo nos héros, show-biz et trémolos, merci, merci, bravo, bravo. Et après ? Et maintenant ? Où en sont les promesses de Monsieur Macron ? Le grand plan d’investissement massif ? Les soignants se sont dépassés, beaucoup ont payé de leur santé et même de leur vie. « Mépris et trahison ». Profitant de l’émotion générale pour amadouer un pays qui le rejette, Macron et ses communicants ont poussé encore un peu plus loin le bouchon du cynisme.

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23 oct. 2020 Didier Porte boycotte CNews Couvre-feu. Un mot d’angoisse, de peur, de guerre, un mot dont le pouvoir s’est fait un masque. Un masque pour masquer mensonges et cynisme d’État dans la gestion de la crise, pour masquer la vague de pauvreté qui vient et l’enrichissement des amis du président des riches, pour masquer le manque de moyens et de personnels soignants. 12 000 policiers sont mobilisés pour ce couvre-feu, c’est 12 000 soignants qu’il faut et bien davantage. Couvre-feu. Le mot réveille l’un de nos pires cauchemars, le 17 octobre 1961. Ce soir-là, des dizaines de travailleurs algériens furent massacrés et noyés dans la Seine par la police française, sous les ordres du préfet de police Maurice Papon qui leur avait imposé un couvre-feu.

25 oct. 2020 JE SUIS PROF : seize brèves réflexions contre la terreur et l'obscurantisme, en hommage à Samuel Paty Le choc de l’assassinat de Samuel Paty a entrainé un déchainement de récupérations politiques et médiatiques d’une rare sauvagerie. Flot de haine raciale, racolage politicien, intellectuels revanchards, appels à la délation, appel au combat contre ces envahisseurs qui sont déjà parmi nous et qui nous égorgeront tous ! « Et ce sont vos amis, vos protégés, c’est vous qui soutenez ces assassins ! Collabos ! ». Les profiteurs d’histoires ont volé la mort du professeur d’histoire. 27 oct. 2020 La bride est lâchée – Le fil des communs Il y a encore quelque temps, nous avions bon dos à jouer les Cassandre pour avertir de l’insidieuse répétition des dérapages racistes et haineux de tels ou tels Zemmour des plateaux. Les provocations grossières de Valeurs Actuelles et de Marianne s’invitaient dans l’actualité et dans leur cortège tous les torchons qui affichaient en une les nouveaux ennemis de l’intérieur, l’énième cinquième colonne à identifier. Hier encore esseulés, les entrepreneurs identitaires ont reçu cette semaine le renfort attendu de la classe dirigeante en perte de vitesse. Du complot maçonnique aux indigénistes collabos, du judéo-bolchévisme à l’islamo-gauchisme, seuls les mots changent, la méthode reste.

18 septembre 2020 - 20H30 Qui veut couper la France en deux ? Je fais un don L'actu Notre regard singulier sur l'état de la France et la marche du monde. Au-delà des faits, le sens de l'actualité. Partager Contre les ordures de Valeurs actuelles et tous leurs complices, solidarité avec Danièle Obono ! Publié lundi 31 août 2020 Le torchon raciste Valeurs actuelles a encore frappé. Dans son édition datée du 27 août, l’hebdomadaire d’extrême droite a cru bon de rédiger une « fiction » mettant en scène Danièle Obono, réduite en esclavage – par des « Arabes », forcément –, illustrations racistes à l’appui. L’indignation s’est rapidement, et légitimement, emparée des réseaux sociaux. Nous tenons à exprimer toute notre solidarité avec notre camarade Danièle Obono, et tout notre mépris, pour ne pas dire notre dégoût, face aux immondices publiées par Valeurs actuelles.

On a regardé C dans l’air pendant une semaine Le 17 juillet 2020 Bravo nos héros, show-biz et trémolos, merci, merci, bravo, bravo. Et après ? Et maintenant ? Didier Porte s'interroge sur le traitement des violences policières dans l'émission C à vous Vous avez été nombreux à écouter le reportage d’Anaëlle Verzaux, « Égouts contaminés : les égoutiers en grève pour leur santé (et la nôtre !) ». En voici la version écrite et augmentée afin d’aller plus loin, à oreille reposée. Les égoutiers sont en tête parmi les « premiers de corvée ». Ils sont fortement exposés à un nombre incalculable de bactéries et à des maladies graves, comme la leptospirose, qui s’attrape par l’urine de rat, ou l’hépatite E qui s’attaque au foie. Ils ont une espérance de vie inférieure de sept ans à la moyenne des Français, et même de dix-sept ans par rapport à un cadre.

Proposition de loi en France visant à interdire la diffusion d’images de policiers : un texte qui constituerait une sérieuse atteinte à la liberté de la presse Le texte déposé le 26 mai à l’Assemblée nationale par un groupe de députés Les Républicains, au motif de protéger les membres des forces de l’ordre contre les menaces, les agressions et le “police bashing”, propose de punir d’un an de prison et 15000€ d’amende “la diffusion, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, de l’image des fonctionnaires de la police nationale, de militaires, de policiers municipaux ou d’agents des douanes”. Avant de partir éventuellement pour examen en commission des lois, la proposition doit d’abord être inscrite à l’ordre du jour de l’assemblée. Le droit à l’information des citoyens exige que les journalistes puissent observer et rapporter le comportement des forces de l'ordre.

29 MAI 2005 : VOTRE EUROPE, ON N'EN VEUT PAS ! Les médias fonctionnent comme la grande ardoise magique. Chaque jour efface les nouvelles de la veille, chaque heure, chaque minute gomme la précédente et nous gave d’insignifiance et d’oubli. Un exemple ? Défendons la liberté d’informer sur le secteur agro-alimentaire 8 mai 2020 Tribune. La crise sanitaire actuelle nous le montre : la vigilance pour la sauvegarde des libertés fondamentales est un combat à reprendre sans trêve. Pour certains, cet attachement semble un luxe dont on pourrait se passer quand la situation est dictée par l’urgence. 8 jan. 2021 Chez Bolloré, la liberté d'expression à géométrie variable On ne remerciera jamais assez le cancer et Jésus. Oui, tout d’abord, merci au cancer. Car s’il n’avait pas eu un cancer en 1985, à 34 ans, Gerhard Haderer aurait eu la vie indigente d’un « créateur » publicitaire.

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