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Denis Diderot

Denis Diderot
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Jeune homme, prends et lis. Si tu peux aller jusqu'à la fin de cet ouvrage, tu ne seras pas incapable d'en entendre un meilleur. Comme je me suis moins proposé de t'instruire que de t'exercer, il m'importe peu que tu adoptes mes idées ou que tu les rejettes, pourvu qu'elles emploient toute ton attention. Un plus habile t'apprendra à connaître les forces de la nature ; il me suffira de t'avoir fait essayer les tiennes. » Mal connu de ses contemporains, tenu éloigné des polémiques de son temps, peu enclin à la vie des salons et mal reçu par la Révolution, Diderot devra attendre la fin du XIXe siècle pour recevoir enfin tout l'intérêt et la reconnaissance de la postérité dans laquelle il avait placé une partie de ses espoirs. Biographie Jeunesse (1713-1728) Ses parents mariés en 1712 eurent six enfants dont seulement quatre atteignirent l'âge adulte. De 1723 à 1728, Denis suit les cours du collège jésuite, proche de sa maison natale. Related:  Critiques, polémistes, essayistes

Friedrich Nietzsche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Wilhelm Nietzsche Philosophe allemand Époque contemporaine Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə], souvent francisé en [nit͡ʃ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le à Röcken, en Saxe-Anhalt, et mort le à Weimar, en Allemagne. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie postmoderne ; mais Nietzsche a également suscité ces dernières années l'intérêt de philosophes analytiques, ou de langue anglaise, qui en soutiennent une lecture naturaliste remettant en cause une appropriation par la philosophie continentale jugée problématique[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Professeur de philologie à l'université de Bâle dès l'âge de 24 ans, il obtient un congé en 1879 pour raison de santé. Présentation générale de son œuvre[modifier | modifier le code]

Albert Thibaudet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maison natale d'Albert Thibaudet à Tournus. Albert Thibaudet, né à Tournus (Saône-et-Loire) le 1er avril 1874 et mort à Genève le 16 avril 1936, est un critique littéraire français très apprécié de l'entre-deux-guerres, qui écrit pour La Nouvelle Revue française de 1912 à sa mort. Biographie[modifier | modifier le code] Ancien élève d'Henri Bergson, il fut influencé par le bergsonisme. René Rémond voit en lui « le fondateur de l'histoire des idées politiques ». C'est aussi un européiste convaincu. Le centre Thucydide (institut de recherche de l'université Panthéon-Assas (Paris II)) a mis en place en 2008 un prix Albert-Thibaudet qui honore l'auteur d'un ouvrage francophone sur les relations internationales. Œuvres[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Michel de Montaigne Signature Probablement dès la fin mars 1578, il constate qu'il est victime de petits calculs urinaires, et en dix-huit mois, la gravelle, maladie responsable de la mort de son père, s'aggrave et s'installe durablement. Désormais, le plus souvent souffrant ou malade, il cherche à hâter ses écrits et à combler ses curiosités : il essaie ainsi de guérir en voyageant vers des lieux de cure, puis voyage vers les contrées qui l'ont fasciné durant sa jeunesse. S'il proclame que son livre « ne sert à rien » (« Au lecteur »), parce qu'il se distingue des traités de morale autorisés par la Sorbonne, Montaigne souligne tout de même que quiconque le lira pourra tirer profit de son[6] expérience. Appréciée par les contemporains, la sagesse des Essais s'étend hors des barrières du dogmatisme, et peut en effet profiter à tous, car « chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition[7]. » Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code] à être tolérant :

Jean-Jacques Rousseau « Jean-Jacques Rousseau » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior Jean-Jacques Rousseau est un écrivain, philosophe et musicien francophone, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville. Rousseau a été un précurseur du romantisme en développant le « sentiment de la nature ». Par ses idées politiques (républicaines) et sociales (il faut combattre l'inégalité sociale). Les cendres de Rousseau ont été transférées au Panthéon de Paris en 1794. Une jeunesse tumultueuse[modifier] La mère de Rousseau meurt en accouchant de Jean-Jacques. En 1728, il a 16 ans. pour devenir prêtre, puis il rêve d'être musicien et se rend à Lyon avec un maître de chapelle . De 1732 à 1740, il s'installe chez Madame de Warens, près de Chambéry (duché de Savoie). (Notons que ces voyages sont faits à pieds pour la plupart). Rousseau accueilli dans les milieux intellectuels parisiens[modifier] En 1742, il se rend à Paris. En 1754, il retourne à Genève, il abjure le catholicisme.

Martin Heidegger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Martin Heidegger Philosophe allemand Époque contemporaine Martin Heidegger, né le à Messkirch et mort le à Fribourg-en-Brisgau, est un philosophe allemand important. Après ce qu'il appelle le « tournant » de sa pensée dans les années 1930, il s'intéresse aux questions de langage et à l'exégèse des textes historiques, ce qui l'amène à étudier ses prédécesseurs Kant et Nietzsche, mais aussi les présocratiques, la poésie de Hölderlin, le règne de la technique et bien d'autres sujets. Il est également l'un des philosophes les plus controversés, notamment à cause de son attitude durant la période 1933-1934 où il fut recteur de l'université de Fribourg et adhérent au Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), dont il se serait éloigné par la suite. Biographie[modifier | modifier le code] Un résumé biographique est fourni en introduction des Cahiers de l'Herne[2]. Premières années[modifier | modifier le code] La tombe de Heidegger.

Charles-Augustin Sainte-Beuve Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sainte-Beuve Sainte-Beuve dans les années 1860. Œuvres principales Tableau historique et critique de la poésie française et du théâtre français au xvie siècle (1828)Port-Royal (1840-1859)Causeries du lundi (1851-1881)Nouveaux lundis (1863-1870)Chroniques parisiennes (1843-1845, 1876)... Charles-Augustin Sainte-Beuve est un critique littéraire et écrivain français, né le 23 décembre 1804 à Boulogne-sur-Mer et mort le 13 octobre 1869 à Paris. La méthode critique de Sainte-Beuve se fonde sur le fait que l'œuvre d'un écrivain serait avant tout le reflet de sa vie et pourrait s'expliquer par elle. Cette controverse entre Sainte-Beuve et Proust peut aussi se comprendre comme un renversement de perspective de la critique littéraire. Biographie[modifier | modifier le code] Inscription de la tombe de Sainte-Beuve Le 2 et le 9 janvier 1827, il publie une critique élogieuse des Odes et ballades de Victor Hugo, et les deux hommes se lient d'amitié.

François Rabelais Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Ecclésiastique et anticlérical, chrétien et libre penseur, médecin et bon vivant, les multiples facettes de sa personnalité semblent parfois contradictoires. Pris dans la tourmente religieuse et politique de la Réforme, Rabelais se montre à la fois sensible et critique vis-à-vis des grandes questions de son temps. Son réquisitoire à l'encontre des théologiens de la Sorbonne et ses expressions crues, parfois obscènes, lui attirent les foudres de la censure des autorités religieuses, surtout à partir de la publication du Tiers Livre. Biographie De la campagne tourangelle à la vie monacale La Devinière, lieu d'enfance de l'écrivain. Selon une tradition qui remonte à Roger de Gaignières (1642-1715), le fils du sénéchal et avocat Antoine Rabelais nait au domaine de La Devinière à Seuilly, près de Chinon en Touraine[2]. Vocation de médecin et premières œuvres littéraires Voyages en Italie La montée de l'obscurantisme L'œuvre Les romans

Voltaire Biographie synthétique de Voltaire (1694-1778). François-Marie Arouet, dit Voltaire, écrivain, poète, dramaturge, essayiste, historien et philosophe, incarne presque à lui seul le siècle des Lumières. François-Marie Arouet, célèbre sous le nom de Voltaire, naquit Paris, en 1694. Il était fils d’un notaire et vint au monde si chétif, qu’on fût obligé de différer son baptême pendant neuf mois. L’élève Arouet Le jeune Arouet fut placé à l’âge de dix ans au collège des jésuites, où il se fît remarquer par son amour pour l’élude. Au sortir du collège, Arouet retourna au sein de sa famille. Mais cette vie dissipée des salons nuisait aux progrès du jeune homme dans ses études de droit. Ainsi abandonné à lui-même, il se livra sans frein à ses passions, et se fit bientôt remarquer dans les salons par la légèreté de ses mœurs, et surtout par la causticité de son esprit. Quoique innocent, il fut mis au Châtelet, où il resta plus d’une année. Le littérateur Voltaire L’exil en Angleterre Retour à Paris

John Rawls Rawls élabore sa théorie durant une période marquée par la guerre du Viêt Nam et la lutte pour les droits civiques, où les États-Unis sont traversés par de profonds mouvements culturels et sociaux. Axée sur les notions d'éthique et de justice, son œuvre renoue avec une tradition contractualiste délaissée, et prolonge la réflexion libérale en cherchant à articuler rationnellement liberté individuelle et solidarité sociale[1]. Sa pensée est largement commentée et critiquée dans le monde anglo-saxon. Biographie[modifier | modifier le code] John Borden (Bordley) Rawls naît dans une famille aisée de Baltimore, Maryland. Au Japon, il est témoin des dégâts causés par la bombe atomique à Hiroshima. Il se marie la même année avec Margaret Fox, diplômée de l'université de Brown. Après Oxford, il retourne aux États-Unis et commence à être assistant puis professeur associé à l'université Cornell. Dès 1995, il est victime de plusieurs crises cardiaques, ce qui pénalise son travail d'écriture.

Paul Nizan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul-Yves Nizan Œuvres principales D'abord tenté par l'extrême-droite en raison de traditions familiales, il s'engage dans le Parti communiste français, dont il devient l'un des principaux intellectuels dans les années 1930, et qu'il quitte en 1939 en raison du pacte germano-soviétique, ce qui lui vaut les foudres du Parti, qui pendant très longtemps l'accuse de toujours avoir été un traître, ce qui empêche pendant une vingtaine d'années la réception de son œuvre, jusqu'à une « réhabilitation » grâce au travail de son ancien ami Jean-Paul Sartre. Agrégé de philosophie, il obtient surtout du succès pour ses romans, mais aussi pour son pamphlet Les Chiens de garde. Son œuvre comporte également de nombreux critiques littéraires qui paraissaient chaque semaine dans le journal L'Humanité, ainsi qu'un ouvrage de vulgarisation philosophique et des traductions de l'anglais et de l'allemand. Biographie[modifier | modifier le code]

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