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L'Homme: "La seule espèce dont les mâles tuent les femelles" - Fondamental

L'Homme: "La seule espèce dont les mâles tuent les femelles" - Fondamental
Françoise Héritier est anthropologue, professeure émérite au Collège de France. elle travaille notamment sur la parenté, les systèmes d'alliances et la question du genre. elle est l'auteure de Masculin/Féminin: dissoudre la hiérarchie. (Photo Xavier Romeder pour Sciences et Avenir) Que dit-on de l’Homme ? Le seul capable de transmettre de l’information sous forme de représentations. A ces caractéristiques et à d’autres que nous pouvons subsumer sous l’idée de conscience (de soi, des autres, du monde), j’en ajoute volontiers une nouvelle, qui me paraît à la fois irréductible et condensant en un point précis l’ensemble de ces différences: l’Homme est la seule espèce où les mâles tuent les femelles de leur espèce. On objectera qu’il arrive que des animaux tuent des bébés au sein. douce, acceptante et soumise. Pourquoi, alors qu’il y a toujours deux sexes dans chaque espèce, seul le sexe féminin est-il capable de reproduire charnellement l’un et l’autre ? Related:  jolynarh1violences

prostitution “Lobbys religieux, charity-business, démagogie, errances idéologiques, bonne conscience, politiquement correct, mensonges, manipulation… Abolitionnisme : pour en finir avec ce système.” Alternative Libertaire a choisi de faire dans son numéro de juillet-aout 2010 un dossier sur la prostitution avec pour titre « Proxénètes, Clients, PROSTI TUEURS, pour en finir avec ce système ». (1) Ils expliquent que leur volonté d’écrire ce dossier est venue de leur rencontre avec des féministes qu’ils appellent ‘pro-prostitution’ ainsi que de groupes qu’ils nomment règlementaristes. Des militantes du STRASS ayant fait partie du collectif féministe en question, nous croyons comprendre que c’est de nous entre autres qu’il s’agit à travers ces mots. Ni le STRASS ni ses alliées féministes ne se sont ‘pro-prostitution’, mais défendent la légalité du travail sexuel, sa dignité, son droit d’exister sans souffrir de discriminations, d’opprobre et de violence. “Post hoc ergo propter hoc”

Histoire des droits de la femme Olympe de Gouges publie la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » septembre 1791 Le texte est présenté à l’Assemblée nationale le 28 octobre 1791. Olympe de Gouges réclame l’égalité entre les sexes, la femme devant être considérée comme une citoyenne, à l’égal des hommes. « Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la Nation, demandent à être constituées en Assemblée nationale. » Rejeté par la Convention, le texte demeurera lettre morte. Adoption de la première loi française sur le divorce 20 septembre 1792 L’Assemblée nationale déclare que désormais « le mariage est dissoluble par le divorce ». Cette loi marque les esprits. La nouvelle loi sur le divorce sera abrogée sous la Restauration, le 8 mai 1816. Publication du Code Civil 21 mars 1804 Le Code civil est instauré par la loi du 31 mars 1804, alors que Napoléon Bonaparte est 1er consul. Le lycée public s’ouvre aux filles 21 décembre 1880 Rétablissement du divorce 27 juillet 1884 La loi Nacquet rétablit le divorce.

Isolées, paupérisées et stigmatisées, les mères séparées peinent à se faire entendre | Stéphanie Lamy "Le foyer est un lieu économique aussi crucial qu'est le marché" - Christine Delphy La législation au niveau des textes régissant le droit de la famille a fortement évolué ces 40 dernières années. D'abord sous la pression des mouvements féministes, ensuite sous l'influence des association dites de "pères séparés" qui eux ont fait passer un nombre non-négligeable de lois depuis la fin des années 80 pour asseoir ce qu'ils nomment "leurs droits". Fait emblématique : le peu de crédit accordé aux associations de défense des mères séparées lors des débats sur la loi Famille ou encore la "nouvelle" "garantie" des pensions alimentaires impayées. On est encore loin d'avoir trouvé une réponse à la hauteur des enjeux. Lésées par un système de création de valeur androcentrique, les mères sont largement moins bien rémunérées que leurs collègues sans enfants et donc encore moins que les hommes (pères ou non). Un appauvrissement systémique et non anecdotique des mères Isolées par défaut

Mes Publications - Le blog de Dialmy Prof. Abdessamad DIALMY I- Livres I-1 Personnels - Femme et sexualité au Maroc, Casablanca, Editions Maghrébines, 1985, 175 pages (en arabe) - Connaissance et sexualité, Casablanca, Ouyoune Maqalat, 1987, 140 pages (en arabe). - Sexualité et discours au Maroc, Casablanca, Afrique Orient, 1988, 122 pages. - La question sociologique dans le monde arabe, Casablanca, Afrique-Orient, 1989, 117 pages (en arabe). - Féminisme soufi : conte fassi et initiation sexuelle, Casablanca, Afrique-Orient, 1991, 158 pages. - Logement, sexualité et islam, Casablanca, Eddif, 1995, 394 pages. - Féminisme, islamisme et soufisme, Paris, Publisud, 1997, 252 pages. - Jeunesse, Sida et Islam, Casablanca, Eddif, 2000, 279 pages. - Vers une démocratie sexuelle islamique, Fès, Info-Print, 2000, 139 pages (en arabe). - La gestion socioculturelle de la complication obstétricale au Maroc, Fès, Imprinégo, Ministère de la santé/ John's Hopkins University/USAID, 2001, 118 pages. - Ville islamique, intégrisme et terrorisme. - L.

Françoise Héritier Françoise Héritier en 2009 Directrice d'étude à l'EHESS, elle a aussi succédé à Claude Lévi-Strauss au Collège de France, inaugurant la chaire d'Étude comparée des sociétés africaines. Lévi-Strauss voyait en elle son successeur[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Dans la continuité du principal théoricien du structuralisme, Françoise Héritier approfondit la théorie de l'alliance et celle de la prohibition de l'inceste, établies communément sur la notion de circulation des femmes. Elle avance le concept de l'« identique » et de sa « frustration répulsive », reprenant dès lors les approches de Lévi-Strauss et celle du Britannique Alfred Radcliffe-Brown. Comme Claude Lévi-Strauss et comme son successeur Philippe Descola, Françoise Héritier est d'abord directrice d'études à l'EHESS, puis le reste après son élection à la chaire d'anthropologie du Collège de France (succédant à Claude Lévi-Strauss)[3]. De 1998 à 2001, elle est membre du Comité d'éthique du CNRS[5].

les Femmes et la religion La Femme et la religion Avant le paradis il y a la vie. Les versets montrés ici sont la parole de Dieu, selon la religion prônée. Ils sont assez choquants comme beaucoup que vous trouverez sur ce site. Le bouddhisme Bien qu'il aime à se parer d'oripeaux exotiques, le bouddhisme n'a pas plus de considération pour les femmes que ses collègues mono ou polythéistes.

Celle qui osa briguer le baccalauréat en 1861 Il est certains droits qu’on n'obtient qu’en les arrachant. Dans la France du milieu du XIXe siècle, celui de passer le baccalauréat quand on était une femme en faisait partie. Julie-Victoire Daubié, fille de petits bourgeois, avait reçu une éducation ordinaire et obtenu son brevet élémentaire jusqu'au jour où elle dut donner des leçons pour vivre ; elle compléta alors elle-même son instruction, se prit de passion pour le latin et fut bientôt capable de traduire les auteurs les plus difficiles. La manière dont elle procéda est rapportée dans quelques journaux, comme dans Le Petit Parisien en 1879. « Notre étudiante (en chambre) se rendit à la Faculté des lettres et pria qu'on voulut bien l'inscrire pour les examens. Et le journalise de commenter : « Mlle Daubié pensait [...] que le meilleur moyen de prouver l'égalité des sexes, c'était de la rendre palpable, évidente, en un mot, de la montrer. » Plusieurs lieux d'éducation portent aujourd'hui le nom de Julie-Victoire Daubié.

Au sujet de l'exposition pédophile à Marseille et des réactions épidermiques d'une certaine presse Au départ, je ne comptais pas parler de cette sombre histoire d'exposition à Marseille, celle dont a parlé Wanted Pedo. Je me suis dit que c'était de la pure provocation et il était pour moi hors de question de laisser une trop grande place à cela. Mais depuis quelques jours, une certaine presse s'amuse à traiter ceux qui ont été choqués par ces photos d' "extrême droite", et à cette provocation là je me dois de réagir, parce que ça commence à bien faire. Le site de Stu Mead, l'un des deux artistes exposés au Dernier Cri à Marseille, réserve une partie de son site web aux adultes. Dès lors, on comprend qu'on tombe dans un registre ponrographique, mais soit, après tout on a l'habitude. D'autres ont une connotation rituelle, entre satanisme et Inquisition: Pour admirer d'autres de ses oeuvres, il y a Google Images, c'est assez édifiant. On se demande qui peut accrocher ce genre de chose dans son salon, en effet, et quel est le but tout cela. Contre attaque Décalage

TUNISIE. Les salafistes contre les femmes (Extraits de l'enquête "Un voile sur la révolution" publiée dans "le Nouvel Observateur" du 2 février 2012) De notre envoyée spéciale en Tunisie Ici, à l'université de la Manouba à Tunis, on les appelle les "sit-inneurs". Un an après la "révolution du jasmin", trois mois après la victoire des islamistes "modérés" du parti d'Ennahda aux élections, la faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba, ses huit mille étudiants, sa vingtaine de filles "niqabées" et sa cinquantaine de barbus en tenue afghane sont devenus le symbole de l'offensive que mènent les islamistes les plus radicaux à travers tout le pays, par ailleurs paralysé par les grèves, comme à la veille de la révolution. Le campus transformé en lieu de prière La position des universitaires est claire et se veut purement académique : pour des raisons pédagogiques (comment faire cours à quelqu'un dont on ne peut capter le regard ?) Habib Kazdaghli, le doyen, est un homme fatigué mais tenace.

Catherine Vidal : "Convoquer la biologie pour justifier les inégalités femmes/hommes ne date pas d'aujourd'hui" Catherine Vidal, neurobiologiste, est l'invitée d'Ali Baddou à 7h50. Catherine Vidal nous parle du cerveau; Comment se forme-t-il? Peut-on définir le genre d'un cerveau? "C'est une question éternelle", explique la neurobiologiste. "Très longtemps on a avancé l'idée que l'inégalité avait une origine biologique". "Convoquer la biologie pour justifier les inégalitées est un sujet qui ne date pas d'aujourd'hui. un homme forcément bagarreur et une femme faible avec des émotions, on en est plus là ! "Il n'existe pas de relation entre la taille du cerveau et l'intelligence. Le genre ne nie pas la réalité biologique, le genre se construit en interaction avec l'environnement

Pourquoi il oublie tout ? Que celle qui n'a jamais rencontré un profond silence face à un "ça ne te rappelle pas quelque chose cette chanson ou ce restaurant ?" lève la main… Nous avons beau savoir que nous sommes différents, le fait qu'il ait oublié tel ou tel événement nous inquiète, voire nous énerve. Le point sur une différence, à l'origine de bien des incompréhensions dans le couple. Dès que vous entendez "Tu m'attires" de la chanteuse Jeanne Cherhal, qui passait lors de votre premier baiser, vous battez follement des cils... Différence Hommes/femmes : l'éducation en cause "Les différences entre hommes et femmes ne sont pas de simples artéfacts culturels. Ainsi toute son enfance, la petite fille s'amuse avec poupées et dînette. D'où, sans doute, sa prodigieuse mémoire affective une fois adulte ! L'homme n'est pas une femme comme les autres Indéniablement, féminin et masculin se scandent sur différents tempos, qu'il va bien nous falloir admettre. Communiquer plutôt que reprocher 1. 2. Catherine Maillard

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