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Fields Medal: Maryam Mirzakhani

Fields Medal: Maryam Mirzakhani

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Biographie de Maryam Mirzakhani Maryam Mirzakhani est une mathématicienne iranienne, la première lauréate de la médaille Fields, la plus prestigieuse distinction mathématique. Elle est née et a grandi à Téhéran dans une famille de 4 enfants. Enfant, elle se rêve écrivaine avant que son frère ne lui fasse découvrir, alors qu'elle est au collège, l'histoire de Friedrich Gauss et de sa méthode pour additionner facilement les nombres de 1 à 100. La passion des mathématiques ne la quitte alors plus. Maryam Mirzakhani bénéficie du système scolaire spécifique mis en place en Iran pour les enfants précoces. Biographie de Hypathie d'Alexandrie Hypathie d'Alexandrie est la première femme à avoir écrit sur les mathématiques dont le nom soit parvenu jusqu'à nous. Comme on sait très peu de choses sur sa vie, si ce n'est qu'elle est sans doute morte en martyr, de nombreux mythes sont apparus autour de son personnage et il est souvent bien difficile de démêler le vrai du faux. Elle est la fille de Théon, philosophe et érudit grec qui lui donne une éducation approfondie. Avec lui, elle écrit une édition critique des Eléments d'Euclide qui s'imposera comme l'édition de référence jusqu'au XIXè siècle. On pense qu'elle a aussi écrit des commentaires sur l'Arithmétique de Diophante ou sur le traité des coniques d'Appolonius, mais aucun de ces ouvrages n'est parvenu jusqu'à nous (c'est peut-être une conséquence de l'incendie de la bibliothèque d'Alexandrie).

Sophie Germain Jusqu’au XXe siècle, très peu de femmes ont pu contribuer au développement des mathématiques et des sciences, car elles ne pouvaient faire des études avancées. Celles qui ont laissé leur marque dans l’histoire des mathématiques et des sciences ont dû vaincre la désapprobation de la société de leur époque. L’une d’elles est Marie-Sophie Germain, considérée comme une des premières mathématiciennes françaises. Sophie Germain était la deuxième fille d’un marchand de soie, Ambroise-François Germain. À l’ge de treize ans, elle lit un chapitre sur la vie d’Archimède dans la bibliothèque de son père. Ada Lovelace plaque commémorative Ada Lovelace, de son nom complet Augusta Ada King, comtesse de Lovelace, née Ada Byron le 10 décembre 1815 à Londres et morte le 27 novembre 1852 à Marylebone dans la même ville, est une pionnière de la science informatique. Elle est principalement connue pour avoir réalisé le premier véritable programme informatique, lors de son travail sur un ancêtre de l'ordinateur : la machine analytique de Charles Babbage. Dans ses notes, on trouve en effet le premier programme publié[Woolley 1], destiné à être exécuté par une machine, ce qui fait considérer Ada Lovelace comme « le premier programmeur du monde[1] ». Elle a également entrevu et décrit certaines possibilités offertes par les calculateurs universels, allant bien au-delà du calcul numérique et de ce qu'imaginaient Babbage et ses contemporains[Woolley 2],[Swade 1].

Margaret Hamilton (scientifique) Margaret Hamilton en 1995 Margaret Heafield Hamilton, née Margaret Heafield le 17 août 1936[1], est une informaticienne, ingénieure système et cheffe d'entreprise américaine. Elle était directrice du département génie logiciel (« software engineering », terme de son invention[2]) au sein du MIT Instrumentation Laboratory qui conçut le système embarqué du programme spatial Apollo[3]. En 1986, elle fonde la société Hamilton Technologies, Inc. à partir de ses travaux entrepris au MIT. Elle déménage dans l'État du Massachusetts avec l'intention de poursuivre des études de Mathématiques pures à l'Université Brandeis mais finalement choisit d'intégrer le MIT en 1960 pour développer des programmes informatiques de prévision météorologique[9]sur des ordinateurs LGP-30 (en) et PDP-1[10],[1] pour le professeur Edward Lorenz.

Mathématiques : Karen Uhlenbeck est la première femme à remporter le prix Abel Le prix Abel de mathématiques a récompensé pour la première fois une femme, l'Américaine Karen Uhlenbeck, spécialiste des équations aux dérivées partielles, a annoncé l'Académie norvégienne des sciences et des lettres. « Karen Uhlenbeck reçoit le prix Abel 2019 pour son travail fondamental dans l'analyse géométrique et la théorie de jauge qui a radicalement modifié le paysage mathématique, a déclaré le président du comité Abel, Hans Munthe-Kaas. Ses théories ont révolutionné notre compréhension des surfaces minimales, telles que celles formées par des bulles de savon, et des problèmes de minimisation plus généraux en dimension supérieure », a-t-il fait valoir dans un communiqué. Âgée de 76 ans, Karen Keskulla Uhlenbeck est maître de recherche universitaire invitée à l'université de Princeton ainsi que professeure associée à l'Institute for Advanced Study (IAS), aux États-Unis. Première femme sacrée depuis la création du prix Abel en 2003 Le prix Abel 2018 décerné à Robert Langlands

Biographie de Karen Uhlenbeck Karen Uhlenbeck est une mathématicienne américaine. Elle est la première femme à avoir reçu le prestigieux prix Abel en 2019 (après 19 hommes!) et seulement la deuxième femme à avoir été conférencière plénière au Congrès International des Mathématiques (c'était en 1990 à Kyoto, 58 ans après Emmy Noether!). Ces statistiques en disent long sur le peu de femmes dans la communauté mathématique. Karen Uhlenbeck, de son nom de naissance Karen Keskulla, est née à Cleveland dans l'Ohio en 1942. Son père est ingénieur et sa mère est artiste et enseignante.

The Beautiful Mathematical Explorations of Maryam Mirzakhani There is a different way to conceive of a metric on a torus: Imagine that we are still minuscule beings, but now we live on something like a square. The “something like” refers to the following special property: If we walk in a straight line and reach one of the sides, say the top one, if we want to continue walking straight we must “re-enter” from the bottom side, in the same direction and at the point directly below the point where we exited. Some computer games, such as Pac-Man, take place in this something-like-a-square planet. It takes some thought to convince ourselves that this planet is also a torus. The metric in this case is not the one that we “see” when we live on the surface of any doughnut, but the something-like-a-square idea shows how we can define it. An interesting property of the Pac-Man metric is that at every point, the landscape around us looks exactly the same.

Jacqueline Ferrand ChronoMath, une chronologie des MATHÉMATIQUES à l'usage des professeurs de mathématiques, des étudiants et des élèves des lycées & collèges Source éléments biographiques : Agnès Scott College / Pierre Pansu (Paris-Sud) / Marie-Thérèse Pourprix (Univ. Lille). Charlotte Angas Scott Enfance et formation[modifier | modifier le code] Charlotte Scott est la seconde des sept enfants de Caleb Scott, un ministre de l'Église congrégationaliste, et d'Eliza Exely Scott[1]. Scolarisée au Girton College de Cambridge de 1876 à 1880, elle y est Resident Lecturer en mathématiques jusqu'en 1884. En 1885 elle devient la première britannique à recevoir un doctorat[2]. Linda Keen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Linda Keen en 1971 Linda Jo Goldway Keen[1], née le 9 août 1940 à New York, est une mathématicienne américaine. Biographie[modifier | modifier le code] Collégienne à la Bronx High School of Science, elle a obtenu un B.A. du City College of New York, puis a étudié au Courant Institute et a soutenu en 1964 un Ph.D. en mathématiques à l'université de New York sur les surfaces de Riemann, sous la direction de Lipman Bers (de)[1]. Keen a aussi travaillé sur la géométrie hyperbolique (elle est connue dans ce domaine pour son « lemme du col »[2],[3]), les groupes kleiniens (en) et fuchsiens (en), l'analyse complexe et la dynamique hyperbolique.

Ada Lovelace, l’histoire d’une pionnière de l’informatique – Biblio B.U.S. Alfred Edward Chalon [Public domain] | Source : Wikimedia Commons Parmi les livres récemment achetés par la BU Sciences, vous trouverez ce mois-ci la première biographie rédigée en français consacrée à Augusta Ada King, comtesse de Lovelace, plus connue sous le nom d’Ada Lovelace. Née en 1815 à Londres, seule fille légitime du célèbre poète anglais Lord Byron, Ada Lovelace fait partie de ces figures féminines trop longtemps oubliées par l’histoire des sciences alors même que son apport aux mathématiques et surtout à l’informatique fut réellement considérable. En travaillant sur la machine analytique du mathématicien Charles Babbage, elle en vint à écrire ce qui est peut-être le premier programme informatique, ce qui lui vaut d’être aujourd’hui considérée comme une pionnière de la science informatique. C’est ainsi en son honneur que fût baptisé le langage de programmation ADA au début des années 1980.

Aurélie Jean Aurélie Jean a suivi un cursus mathématiques-physique à l’Université avant de rejoindre l’ENS Cachan. Titulaire d’un doctorat en sciences des matériaux et mécanique numérique de l’Institut des Mines, elle a a poursuivi son parcours à l’Université d’État de Pennsylvanie puis au MIT. Elle a par la suite travaillé sur la médecine numérique puis pour Bloomberg où elle est développeuse informatique. Elle est également CTO/CIO et cofondatrice de la start-up MixR à Los Angeles et CEO d’In Silico Veritas, cabinet spécialisé dans le code qui cherche à faire connaître les nouvelles technologies au plus grand nombre et notamment aux femmes, tout en formant les employés et leaders à ces nouveaux outils.

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