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UNE EX-DEPUTÉE LREM RÉVÈLE LES DESSOUS DE LA MACRONIE

UNE EX-DEPUTÉE LREM RÉVÈLE LES DESSOUS DE LA MACRONIE

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Surveillance : «L’espace public quasi militarisé devient un laboratoire sécuritaire» Journaliste à Télérama, Olivier Tesquet est l’auteur d’A la trace. Enquête sur les nouveaux territoires de la surveillance (Premier parallèle, 2020). La réponse à la pandémie de Covid-19 apportée par la Corée du Sud est souvent érigée en exemple. Faudrait-il se baser sur le même modèle en France ? La méthode de la Corée du Sud, qui effectue des tests massifs couplés à un suivi des personnes infectées ou susceptibles de l’être, fait aujourd’hui consensus, notamment chez les scientifiques. Venezuela : Nicolas Maduro accuse Macron de «détruire la France» Mardi, Emmanuel Macron avait reçu à l'Elysée des opposants au président du Venezuela Nicolas Maduro. A cette occasion, le chef de l'Etat « a exprimé sa profonde préoccupation à l'égard de la crise politique, économique et humanitaire au Venezuela » tout en déplorant « les atteintes répétées à l'Etat de droit et aux droits de l'Homme et a rappelé que les conditions d'organisation des élections présidentielles au Venezuela, le 20 mai, ne permettaient pas, en l'état, un scrutin juste, libre et transparent », selon un communiqué publié par l'Elysée. La réplique de Nicolas Maduro ne s'est pas fait attendre. Le président vénézuélien a accusé son homologue français de « détruire la France. » Et d'ajouter : « Ce que me dit Macron me passe au-dessus, Macron est un pantin de la politique de Trump contre le Venezuela. » Selon lui, « le peuple souverain du Venezuela » peut juger le scrutin du 20 mai au cours duquel il cherche à obtenir un second mandat de six ans.

"Désinfox coronavirus" : le gouvernement supprime finalement son service controversé En lançant "Désinfox coronavirus", une rubrique de son site internet qui recense des articles de "fact-checking" sur le Covid-19 publiés par des médias français, le gouvernement s’est mis à dos de nombreux journalistes, qui lui reprochent de s’ériger en arbitre de l’information et d’agir au détriment de l’objectif poursuivi. Face aux critiques, le gouvernement a finalement décidé de le supprimer de son site, comme l’a annoncé ce mardi le ministre de la Culture, Franck Riester. Cette initiative (émanant du Service d’information du gouvernement, SIG) "ne représentait évidemment pas un objectif de tri d’articles ou d’informations, pour autant je peux comprendre les inquiétudes qui ont été suscitées par ce service dans les rédactions", a déclaré le ministre. Mise en ligne fin avril, cette nouvelle section du site gouvernement.fr présentait des liens vers des articles "de médias français luttant, dans le cadre de la crise sanitaire, contre la désinformation".

Au nom du coronavirus, l’État met en place la société de contrôle « Nous ne renoncerons à rien, surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer, surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été, surtout pas à la liberté », affirmait Emmanuel Macron le 11 mars dernier, il y a seulement trois semaines, dans le cadre la première journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme. Depuis, avec le confinement, tout semble avoir changé, le monde a basculé. Des drones équipés de haut-parleur survolent les rues des métropoles françaises, intimant aux passants l’ordre de rentrer chez eux. Le gouvernement a décrété l’état d’urgence sanitaire et des couvre-feux ont été instaurés dans une centaine de villes, qui comptent au total plus de 2 millions d’habitants. À Perpignan (Pyrénées-Orientales), la sirène retentit tous les soirs pendant cinq longues minutes à 19 h 50.

Gouvernement d’union nationale : Macron en route pour 2022 ? Chapô L’option d’un gouvernement d’union nationale prend corps peu à peu. Les appels à une dissolution de l’Assemblée nationale commencent à se faire entendre. Coronavirus : le Sénat vote en première lecture la prolongation de l'état d'urgence sanitaire (mais il pose ses conditions) Contre l'avis du gouvernement, les sénateurs ont donné leur feu vert à l'aménagement du régime de responsabilité pénale des employeurs, élus locaux et fonctionnaires. Un "oui" sous conditions. Dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 mai, le Sénat a adopté en première lecture le projet de loi prolongeant l'état d'urgence sanitaire pour faire face à la crise du coronavirus... mais il a apporté "des garanties essentielles" en vue du déconfinement, notamment sur le suivi des malades du coronavirus et la responsabilité des maires.

Médiapart - Hôpital public : la note explosive de la Caisse des dépôts À la demande d’Emmanuel Macron, la Caisse des dépôts travaille à un plan pour l’hôpital public. Mediapart en révèle le contenu. Au lieu de défendre l’intérêt général, il vise à accélérer la marchandisation de la santé et sa privatisation rampante.

Remaniement ministériel: clef de voûte de la défense judiciaire? Édouard Philippe sur la sellette? La rumeur d’un changement de locataire à Matignon enfle et certains évoquent même un gouvernement d’union nationale. Si beaucoup y voient un futur coup de barre à gauche, le politologue Guillaume Bernard y voit plutôt une manière pour la majorité de se préserver des enquêtes parlementaires. © Sputnik . Irina Kalashnikova La tragédie industrielle et logistique des masques : récit en cinq actes Au début de l’épidémie du coronavirus, l’État n’avait en stock qu’une centaine de millions de masques chirurgicaux et aucun masque FFP2. Alors qu’il n’existait plus sur le sol français de véritable filière industrielle pour produire des masques, l’État a alors réservé les faibles stocks existants aux soignants, et expliqué à la population que le port d’un masque n’était « pas utile ». Face au risque de pénurie, l’État a passé de multiples commandes en Chine, et a improvisé pour recréer en urgence des capacités de production nationales. Disposant de plus de stocks et capacités, l’État a peu à peu changé son discours, et recommande désormais le port du masque. La stratégie et le discours de l’État sur les masques ont ainsi été dictés par ses faibles moyens industriels et logistiques. Comment comprendre ce fiasco, alors que le stock de masques était, en 2010, d’1,7 milliard et qu’existait alors en France une usine capable de produire 180 millions de masques dans l’année ?

Opération Résiliation, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 31 mars 2020) Le mot était faible. À l’évidence, « connards », ça n’était pas suffisant — pour tout dire, on le pressentait. Il faut bien l’avouer, le vocabulaire nous met au défi. C’est qu’il y a trop de choses à saisir pour un seul mot. On lit de plus en plus : « criminel ». Et c’est certainement une bonne chose en toute généralité qu’on ne s’interdise plus de qualifier ainsi des politiques publiques.

Arrêtez de nous infantiliser, monsieur Macron ! Tribune. Ah de quel mauvais peuple vous avez hérité, monsieur Macron… Indisciplinés, ces maudits Français prennent encore trop à la légère les consignes du gouvernement. Ce n’est pas avec des Chinois que ça arriverait ! Les Chinois, c’est bien connu, feraient d’excellents Français, obéissants au confinement. Des Français responsables. Béziers : « l’État interdit à la ville de proposer un test aux personnels des écoles et des crèches » – Le Quotidien du Sud C’est une nouvelle « scandaleuse et surréaliste » pour Robert Ménard qui souhaitait faire tester tous les enseignants biterrois avant le 11 mai. Mardi, le maire de Béziers annonçait dans un communiqué de presse qu’il allait donner la possibilité à tous les instituteurs et à tous les agents qui travaillent dans les écoles et les crèches d’être testés en drive-in. 800 personnes auraient donc pu être dépisté au Covid-19 avant lundi. Des tests financés par la commune Derrière cette logistique : un accord entre la ville et le laboratoire d’analyse LaboSud. « Cette opération était prise en charge à 100% par la Ville de Béziers. Elle ne coûte pas un centime à la Sécurité Sociale !

Masques: les preuves d’un mensonge d’Etat En déplacement, mardi 31 mars, dans une usine de fabrication de masques chirurgicaux, le président de la République Emmanuel Macron a cité beaucoup de chiffres sur les approvisionnements en cours, afin de rassurer les Français qui s’inquiètent de la pénurie de ce matériel médical essentiel pour la protection des soignants. Beaucoup de chiffres, sauf un : « 1200 ». « 1200 », comme le nombre officiel de personnels de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), le vaisseau amiral des hôpitaux publics français, qui ont été contaminés par le Covid-19 depuis le début de l’épidémie. « 1200 », comme la preuve de la vulnérabilité des soignants, « au front chaque jour », comme le dit le chef de l’État, mais bien souvent sans protection adaptée contre le virus.

La justice fiscale plutôt qu'un Téléthon Depuis des années, ils font semblant de lutter contre l'évasion fiscale plutôt que de prendre des mesures efficaces contre ce fléau ; ils ont organisé la concurrence fiscale entre États européens en diminuant les taux d'imposition sur les sociétés ; ils ont baissé tour à tour le taux d'imposition sur les sociétés ; ils ont multiplié les cadeaux fiscaux aux plus riches en réduisant la progressivité du système fiscal... Cette baisse des recettes publiques et la montée des déficits publics ont justifié des politiques d'austérité qui ont gravement dégradé les services publics, et notamment l'hôpital. Face à l'ampleur de la crise du coronavirus, ils auraient pu inverser la tendance et dégager de nouvelles sources de financement des services publics tout en corrigeant l'injustice fiscale. Mais ils préfèrent continuer de délégitimer l'impôt en vantant les mérites de la charité.

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