background preloader

Le monde d'après

Le monde d'après

https://www.inventonslemondedapres.org/

Related:  LE MONDE D'APRÈSCovid19Appels Monde d'AprèsCampagne com' Resilience des SA

La fronde inédite des étudiants d'HEC contre la surveillance de leurs examens en ligne Avec le coronavirus, universités et écoles sont obligées de repenser l'organisation de leurs examens. À HEC, on a opté pour des examens à domicile, avec un système de surveillance que les étudiants estiment intrusif. Il permet notamment de scanner la pièce où ils se trouvent ou de suivre le mouvement de leurs yeux... Entre craintes et espoirs, «le monde d’après» vu par les travailleurs Depuis le début de la crise sanitaire, Juan a des envies de syndicalisme. Il lui faudrait une organisation qui défende à la fois ses intérêts et ceux de sa femme. Lui est médecin généraliste libéral à Toulouse et, comme de nombreux soignants, il a manqué de tout pour se protéger, protéger ses patients et pratiquer sereinement. Sa femme, médecin elle aussi, doit en plus affronter la précarité, puisqu’elle n’a pas eu son diplôme du bon côté des frontières.

Régimes alimentaires, enjeu fondamental Le système alimentaire se définit comme la « façon dont les hommes s’organisent dans le temps et dans l’espace pour obtenir et consommer leur nourriture » (L. Malassis, 1978). Il est constitué par un réseau interdépendant d’acteurs (agriculteurs, transformateurs, distributeurs, organismes publics et privés, institutions financières etc.) dont les activités concourent à la fonction d’alimentation. Mais qu’en est-il de la durabilité de cette alimentation ? Aujourd’hui, l’alimentation humaine n’est plus réduite à sa fonction primaire nourricière, c’est-à-dire à l’assimilation d’une substance essentielle, source d’énergie et de nutriments, pour subvenir à ses besoins physiologiques. Depuis quelques années, le concept de « durabilité » de l’alimentation a émergé, elle s’inscrit notamment dans un champ de recherche relativement récent qui décrit ses divers liens avec l’environnement.

Coronavirus : pour Michel Houellebecq, le monde d'après "sera le même, en un peu pire" L'écrivain de "La carte et le territoire" (prix Goncourt 2010) ou de "Sérotonine" (2019) donne de ses nouvelles et sa vision de la pandémie de coronavirus. Après cette crise, "tout restera exactement pareil", écrit-il notamment. Que fait un écrivain lorsqu'il est confiné ? Il écrit. Pour Michel Houellebecq, cela a pris la forme d'une lettre, rendue publique lundi 4 mai sur l'antenne de France Inter, dans laquelle il répond indirectement à quelques-uns de ses pairs (Frédéric Beigbeider, Catherine Millet, Emmanuel Carrère) et partage sa vision de l'actuelle crise sanitaire. "Je ne crois pas une demi-seconde aux déclarations du genre 'rien ne sera plus jamais comme avant'.

#NousLesPremiers : un scénario démocratique pour le "monde d’après" Monsieur le Président de la République, Dans votre dernière allocution, vous déclariez : “Sachons, dans ce moment, sortir des sentiers battus, des idéologies. Et nous réinventer. Moi le premier.” Alimentation : pour des systèmes durables Les modes de production agricole et de transformation, la surconsommation et le gaspillage alimentaire menacent nos écosystèmes et engendrent une perte de biodiversité sur l’ensemble de la planète. À elle seule, la production agricole est responsable d’environ 20% des émissions de gaz à effet de serre et de 70 à 80% de la déforestation dans le monde, via l’élevage extensif, la production de soja, d’huile de palme et l’agriculture vivrière. Les grands massifs forestiers mondiaux disparaissent peu à peu. Les océans ne sont pas épargnés puisque 90% des stocks de poissons sont surexploités ou pleinement exploités afin de répondre à notre consommation croissante en produits de la mer. Bien que la production alimentaire mondiale soit suffisante pour satisfaire aux besoins alimentaires des 7 milliards d’êtres humains (elle permet d’y répondre 1,5 fois), 1 personne sur 3 ne mange pas à sa faim et 30% de la nourriture est perdue ou gaspillée dans le monde.

Comment nos logements s'adaptent au confinement : vos témoignages en plans - tema.archi Alissia et Caroline sont confinées à Rome, Thaïs dans une chambre d'hôtel 3 étoiles, Léna en centre-ville de Saint-Brieuc : chacune ont accepté de nous partager graphiquement les évolutions des usages qu'elles font de leur logement, en cette période inédite de confinement : « Nous sommes deux à vivre dans cet appartement briochin de 53m², raconte Léna. L'appartement se modifie plutôt au rythme de la course du soleil. On se retrouve très vite à occuper des plus petits espaces plus ensoleillés comme la cuisine. Cela dit ces grands espaces ont l'avantage de pouvoir accueillir d'autres usages, la gym, l'étendoir pour linge, la vidéo projection...»

Quelles sont les conséquences psychologiques du confinement Ça y est, nous sommes tous concernés : nous sommes confinés, certaines personnes sont même en quarantaine, afin de préserver notre santé et celle d’autrui. Séparation d’avec les êtres chers, perte de liberté, ennui et incertitude face à la maladie qui menace notre bien-être ou celui des autres : quels sont les effets psychologiques de tels facteurs ? L’équipe de Samantha Brooks, du King’s College, à Londres, a analysé 24 études scientifiques, réalisées dans 11 pays depuis 2003, suite aux épidémies de SRAS, MERS, grippe H1N1 et Ebola, pour identifier les conséquences psychologiques des quarantaines, les facteurs aggravants, ainsi que les conseils à prodiguer.

Agir au quotidien : revoir son alimentation Erosion de la biodiversité, destruction des sols, pollution des eaux, déclin des pollinisateurs, dérèglements climatiques, insécurité alimentaire, mal-être des agriculteurs ou encore maladies des consommateurs. Il faut revoir d’urgence nos modes de production. La surconsommation de viande a un impact considérable sur l’environnement : compétition pour les terres agricoles, émissions de gaz à effet de serre, pollution des milieux etc. À elle seule, la production agricole est responsable d’environ 20% des émissions de gaz à effet de serre et de 70 à 80% de la déforestation dans le monde, via l’élevage intensif, la production de soja, d’huile de palme et l’agriculture vivrière. Les grands écosystèmes naturels mondiaux disparaissent peu à peu.

Quel design pour demain ? : « Il faut dessiner un futur enviable pour tous » Ramy Fischler, 41 ans, est le fondateur de RF Studio, créé en 2011 à Paris. Cette agence de design est experte dans les innovations et les usages qui transforment nos modes de vie. L’exposition que vous deviez inaugurer ces jours-ci dans le cadre de Lille Métropole 2020, capitale mondiale du design, s’appelle « Sens-Fiction », pour des futurs désirables.

Related: