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Guerre d'Algérie, La Déchirure

Guerre d'Algérie, La Déchirure
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De Gaulle et l'Europe (15 mai 1962) Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 15 mai 1962 Contexte historique La question de la supranationalité dans la construction européenne a toujours engendré de vifs débats. Au début des années 1950, l'échec de la Communauté Européenne de Défense (CED) témoignait du rejet de l'Europe intégrée par une large partie de l'opinion publique et politique. En 1962, la question reste d'actualité. Mais, le 17 avril 1962, l'opposition de la Belgique et des Pays-Bas fait échouer ce plan. Elle détermine une mini-crise gouvernementale : ses ministres MRP, Pierre Pflimlin, Robert Buron et Maurice Schumann, scandalisés tant par cette position radicale que par le caractère anti-américain de l'européanisme gaullien, démissionnent en signe de protestation. Éclairage média

L’État français vient d’être condamné pour la traite "indigne" des harkis sur son sol Cet article date de plus de cinq ans. Publié le 05/10/2018 14:57 Mis à jour le 05/10/2018 15:20 Durée de la vidéo : 2 min Cette condamnation intervient parallèlement à l’annonce de la mise en place d’un "plan harki" visant à revaloriser leur pension de retraite et dédommager certains enfants de ces anciens combattants. Les harkis, ce sont ces anciens combattants algériens à qui la France à fait appel lors de la guerre d’Algérie. Ce mercredi 3 octobre 2018, soit 56 ans après l’ouverture des premiers camps, l’État a été condamné à "verser une somme de 15 000 euros en réparation des préjudices matériels et moraux subis" par un fils de harki, qui est né et à vécu dans l’un d’entre eux. Cette première condamnation symbolique apparait parallèlement au nouveau "plan harki" annoncé par le gouvernement. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Politique Retrouvez tous les jours à 12h l’actualité politique en France et à l’étranger

Malgré la réforme des 35 heures, les femmes font toujours plus de tâches ménagères que les hommes A la maison, les femmes assument toujours le plus gros des tâches domestiques malgré la réforme des 35 heures, instaurée il y a 20 ans, qui a permis à nombre de Français de réduire leur temps au travail. « Que les femmes soient à 35h ou à 39h, elles en font toujours plus que les hommes », affirment Ariane Pailhé et Anne Solaz dans un article publié fin 2019 dans la Revue européenne de sociologie questionnant l’évolution de la participation des hommes et des femmes au travail domestique depuis cette réforme. Si hommes et femmes ont globalement pu avoir accès à parts égales à « plus de temps de loisirs et moins de pression temporelle », ils ne sont toujours pas égaux quant au temps investi à la maison. Douze minutes de plus pour les hommes Avec 160 minutes en moyenne par jour (week-end compris) consacrées aux tâches ménagères, les femmes qui travaillent 35 heures dépassent de loin les hommes qui travaillent le même nombre d’heures et y consacrent 105 minutes par jour.

Indice de perception de la corruption 2018 : Transparency International pointe la faiblesse des institutions africaines Dans son rapport 2018, l'organisation de lutte contre la corruption Transparency International dresse un bilan sombre de la corruption en Afrique subsaharienne. En 2018, le continent africain reste en dernière position en termes de perception de la corruption. Dans le rapport publié par l’ONG de lutte contre la corruption Transparency International, l’Afrique obtient une moyenne de 32 sur une échelle allant de 0 à 100. Dans le Top 5 des pays les plus corrompus, sont classés deux pays africains : la Somalie prend la dernière place du classement, talonnée par le Soudan du Sud, au 178e rang. Dans les pays africains les mieux classés, les Seychelles occupent le haut du podium en se classant 28e sur 180 pays. Selon l’ONG, il y a une forte corrélation entre « corruption et crise démocratique » sur le continent. Malgré le mauvais bilan africain, certains pays comme la Côte d’Ivoire(105e places, + 3 points depuis 2015) et le Sénégal sont en progression constante.

L'instabilité gouvernementale sous la 4e Rép Lorsque Pierre Mendès France est déchu par l'Assemblée, le 6 février 1955, Edgar Faure, ministre à de multiples reprises depuis 1949 et fort d'une première et précoce expérience à la présidence du Conseil (en 1952), fait figure de successeur. Parmi ses atouts, le député radical du Jura est l'un des plus fins tacticiens de la IVe République. De plus, il apparaît pouvoir poursuivre la politique de Pierre Mendès France, avec lequel il rivalise au sein du parti radical, lui sur l'aile droite, Mendès à gauche, mais avec un sens plus poussé de la transgression des clivages politiques et de la conciliation. Ces deux qualités doivent en principe lui éviter de s'affronter à l'une des fréquentes crises politiques que connaît la IVe République. Après le retrait d'Antoine Pinay dans la course à Matignon et l'échec de Christian Pineau à former un gouvernement, René Coty sollicite Edgar Faure.

Emmanuel Macron décide de faciliter la déclassification des archives de la guerre d’Algérie Le rapport de l’historien Benjamin Stora sur la question mémorielle de la colonisation et de la guerre d’Algérie préconisait l’accès aux archives classifiées de plus de cinquante ans, notamment celles sur la guerre d’Algérie. Dans un communiqué publié mardi 9 mars, l’Elysée annonce que le chef de l’Etat « a pris la décision de permettre aux services d’archives de procéder dès demain [mercredi] aux déclassifications des documents couverts par le secret de la défense nationale (…) jusqu’aux dossiers de l’année 1970 incluse ». « Cette décision sera de nature à écourter sensiblement les délais d’attente liés à la procédure de déclassification, s’agissant notamment des documents relatifs à la guerre d’Algérie », selon le texte. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Guerre de tranchée sur l’accès aux archives Article réservé à nos abonnés Lire aussi Emmanuel Macron « reconnaît » la responsabilité de la France dans l’assassinat d’Ali Boumendjel en Algérie Le Monde avec AFP

Pérou : un enfant fait ses devoirs sous un réverbère et suscite l'émoi Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 11/04/2019 14:01 Durée de la vidéo : 1 min. Article rédigé par Une photo a ému le monde entier. Les policiers de la ville Moche, au Pérou, qui avaient l'œil sur leur caméra de surveillance, n'ont pas tout de suite compris. Ce petit Péruvien studieux qui révise la nuit en pleine rue, c'est Victor Martin, 12 ans, désormais star des télés locales et des réseaux sociaux. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager : Rapport Stora sur la guerre d’Algérie - L'Entretien (février 2021) Publié le : 28/01/2021 - 21:45 Dans l'Entretien de France 24, l’historien Benjamin Stora est revenu sur le rapport qu'il a remis au président Macron sur "les mémoires de la colonisation et de la guerre d'Algérie. Il répond aux voix qui, en Algérie notamment, déplorent que le principe d'''excuses" ait été écarté de son travail. Pour le spécialiste de l'histoire algérienne, la "repentance" ou son refus enferment Paris et Alger dans une "polémique politique", qui les empêchent d'"affronter" pleinement leur douloureux passé mémoriel. Benjamin Stora, qui a remis son rapport sur "les mémoires de la colonisation et de la guerre d'Algérie" le 20 janvier au président Emmanuel Macron, affirme que la décision de présenter des excuses formelles de la France à l'Algérie est du domaine du "politique". Il appelle à plutôt se concentrer sur des "travaux pratiques" qui permettent de réconcilier les mémoires dans les deux pays.

Sylvie Thénault : sur la guerre d’Algérie, « parler de “réconciliation” n’a pas de sens » Tribune. La commande à Benjamin Stora du rapport sur « les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie » repose sur un présupposé : la « guerre d’Algérie » serait l’objet d’une « guerre des mémoires » qu’une « réconciliation » franco-algérienne devrait apaiser. Il y aurait donc une fracture dans l’approche de ce passé, opposant Français et Algériens. Ce n’est pas ce que raconte l’histoire de la guerre. En Algérie comme en France, les sociétés ont connu des clivages profonds, parfois violents, qui ont transcendé les appartenances nationales. Ce n’est pas non plus ainsi que les mémoires individuelles se sont construites. Les affrontements ont le politique pour champ de bataille. Il vous reste 65% de cet article à lire.

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