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Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale

Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale
Technique d'apprentissage dans les écoles en Finlande Une technique à modéliser dans nos écoles partout dans le monde. C'est d'une simplicité, les enseignants démontrent aux étudiants à construire une carte mentale pour mieux apprendre et surtout ils axent sur l'individualité de chacun dans la compréhension. Un respect et une reconnaissance de l'être est préconisé dans cette approche. BRAVO chers Finlandais! La carte mentale permet de faire immerger le génie en nous, inventé par un psychologue anglais Tony Buzan. Un logiciel vous est offert gratuitement: Méthode d'apprentissage Finlandaise : la carte mentale ...envoyé par le-comite-invisible. - Les derniers test hi-tech en vidéo. Related:  communication`test 1017`test 1017

Guide de survie aux abrutis: le bocal à con Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes. Ainsi l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans : le bocal à con. J’en reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Le concept est ultra simple. Le bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Relation à soi / aux autres: le cocktail indispensable Protège tes fesses!

Kant a-t-il inventé les sciences cognitives ? La référence à Emmanuel Kant revient régulièrement dans les sciences cognitives contemporaines. Filiation réelle ou coquetterie rhétorique ? Les sciences cognitives sont-elles kantiennes ? Pourtant, elle devrait être considérée comme de la plus haute importance par ceux qui se préoccupent du fonctionnement de l’esprit humain. Rappelons que dans sa Critique de la raison pure, Emmanuel Kant propose une théorie de la connaissance qui considère que notre esprit observe le monde à travers des catégories mentales préexistantes.

Techniques innovantes pour l'enseignement supérieur Théorie du désengagement moral de Bandura : comment les gens peuvent faire du tort et garder bonne conscience Le psychologue américain Albert Bandura, a publié en décembre 2015, à l'âge de 90 ans, un livre intitulé « Moral Disengagement : How People Do Harm and Live with Themselves » (1) dans lequel il expose sa théorie du désengagement moral qu'il développe depuis les années 1980. Bandura est considéré comme l'un des psychologues les plus influents du XXe siècle. À la différence de ses nombreuses publications académiques, ce dernier livre est destiné à un large public. Comment des gens, par ailleurs normalement prévenants et attentionnés, font des choses cruelles et vivent encore en paix avec eux-mêmes ? Ces mécanismes sont les suivants : La plupart des théories de la moralité sont presque exclusivement centrées sur le niveau individuel. « La théorie de Bandura étend le désengagement moral au niveau des systèmes sociaux à travers lesquels des inhumanités sont commises, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives », indique la présentation de l'éditeur.

Compétences relationnelles (3): savoir dire non Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:

Jean-Pierre Terrail, Entrer dans l’écrit. Tous capables ? 1 Le café pédagogique, site d'information sur l'éducation associatif, en commente les derniers résult (...) 2 Le café pédagogique en commente également les derniers résultats (12 décembre 2012) : (...) 1S’appuyant notamment sur des enquêtes internationales telles que PISA1 ou PIRLS2 mais aussi sur ses nombreux travaux, Jean-Pierre Terrail, sociologue de l’éducation, soutient la thèse selon laquelle les difficultés des élèves à l’écrit et les inégalités scolaires, bien réelles, sont le fait de l’institution plutôt que de différences sociales ou individuelles. 2L’argumentation, logique et informée par de nombreux travaux de recherche produits dans des champs complémentaires tels que la sociologie, la sociolinguistique, la psychologie, la didactique ou bien sûr les sciences de l’éducation, se développe comme suit : de trop nombreux élèves sont en échec à l’école, en particulier parce qu’ils ne s’approprient pas une culture de l’écrit nécessaire à la réussite scolaire.

Site de Philippe Meirieu La question de l'autonomie a le mérite de ne pas nous laisser indifférents. Elle suscite même chez les professeurs de vives polémiques : - Les uns invoquent l'autonomie "naturelle" des enfants, leur capacité spontanée à se prendre en charge, leur don d'initiative et leur sens des responsabilités... Cette foi justifie à leurs yeux la mise en place d'un enseignement moins directif : ils laissent chacun organiser leur travail et prennent le risque de la confiance... - Les autres, au contraire, se plaignent du fait que les élèves sont incapables du moindre travail autonome, qu'ils se dispersent, chahutent, en profitent pour ne rien faire dès qu'ils n'ont plus la bride sur le cou. Ceux-là justifient ainsi le recours à des méthodes autoritaires, l'exclusion définitive du travail de groupe - insurveillable ! - et du travail individualisé - incontrôlable ! Ce n'est pas un hasard si ce mouvement de balancier est si fréquent et, à la réflexion, il n'est pas si curieux. Alors l'enjeu est simple :

Site de l'Institut Français de l'Education Faire quelque chose pour soi: parce que nous le valons tous! Comme il est difficile de faire quelque chose pour soi et rien que pour soi! Non parce que quand même, il ne faudrait pas être un gigantesque égoïste nourri à l’individualisme comme d’autres sont nourris aux cornflakes et se gonfler tellement de son auto-importance qu’on pourrait finir comme une certaine grenouille dans une certaine fable! Allez, ré-apprenons à faire parfois quelque chose pour nous-mêmes, parce que c’est bon pour tous;) L’autre jour, ma cliente Philomène m’explique en long en large et en travers qu’elle aurait besoin de dégager du temps pour elle, parce qu’elle ne supporte plus ses douleurs chroniques dans le dos et qu’elle a besoin de rééducation et de natation pour entretenir une posture et une musculature qui l’aideraient considérablement. Nous rechignons à faire quelque chose pour nous-même à cause du regard potentiellement désapprobateur des Autres. – Une bonne humeur bienfaisante. Voir aussi Aller plus loin

La différenciation pédagogique Transformation des représentations sociales et persuasion Comment expliquer ces résultats ? Les présupposés théoriques du modèle de la probabilité d’élaboration (Petty, Cacioppo, 1981) peuvent éclairer certains points des données que nous avons obtenues. En effet, dans ce modèle, en fonction des caractéristiques dispositionnelles et/ou situationnelles, l’individu est plus ou moins motivé et capable de traiter le contenu du message persuasif. S’il est motivé et/ou capable de traiter correctement le contenu d’un message, son jugement se fondera sur la qualité intrinsèque des arguments, selon un traitement « central ». La principale variable, qui déclenche, classiquement, un traitement de type périphérique et qui est largement utilisée, car elle induit des modifications importantes, est la « crédibilité de la source ».

Twitter à la maternelle . Apprendre les réseaux sociaux à l’école maternelle . Ces derniers mois ont vu un nombre croissant d’enseignants se tourner vers l’utilisation des réseaux sociaux dans le cadre de leur pratique de classe. Il semble que le réseau Twitter leur ait offert un terrain d’expérimentation pédagogique. Pour s’en convaincre il suffit de consulter le travail de B. A l’école maternelle seulement 3 classes, d’aujourd’hui se sont engagées dans cette découverte. Dans cet article je laisserai délibérément de côté, l’intérêt pédagogique lié à la production d’écrit, à l’expression et la communication pour questionner les problèmes liés à l’apprentissage des réseaux sociaux et plus généralement du web 2.0. Investir les réseaux sociaux n’est pas sans risques, il suffit de constater certaines dérives générées par une utilisation de Facebook, sans contrôle et sans apprentissage. Il m’a paru nécessaire de travailler dans deux directions. 1 . En deux mots. 2 . Chaque demande est ainsi discutée en grand groupe.

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