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Théorie de la complexité - Edgar Morin

Théorie de la complexité - Edgar Morin
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Un autre test de personnalité : l'Ennéagramme Réponse 1 Réponse 2Votre profil dominant : Aidant Profil Pour vous, tout va bien lorsque les autres vont bien. Pour vos proches, vous avez de l’importance, et votre entourage compte sur vous : cela vous rassure, vous donne le sentiment d’exister vraiment. Points forts et limites L’ennéagramme considère les limites de la personnalité comme des sources d’enseignement – et non comme des défauts ! Qualité principale : l’amour.Motivation principale : être reconnu pour votre capacité à vous occuper des autres.Tendance positive : l’humilité. Interrogez-vous => Quelle difficulté se présente le plus souvent dans ma vie quotidienne ? Vous et les autres En fonction de ses points forts, de ses limites, de son éducation, chaque profil installe, au cours de sa vie, un certain type de relation aux autres. Vos principes relationnels : vous vous sentez apprécié lorsque vous vous occupez des autres, vous faites d’ailleurs beaucoup pour être au centre des relations. Réponse 3Votre profil dominant : Battant

Complexité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Illustration métaphorique de la complexité. Les objets (tuyaux) intègrent de nombreux facteurs (taille, diamètre, situation, interconnexion, robinets, ...), ce qui rend la compréhension ardue. La complexité est une notion utilisée en philosophie, épistémologie (par exemple par Anthony Wilden ou Edgar Morin), en physique, en biologie (par exemple par Henri Atlan), en écologie[1], en sociologie, en informatique ou en sciences de l’information. La complexité du point de vue de la théorie de l’information[modifier | modifier le code] Une notion de complexité est définie en Théorie algorithmique de l'information. Complexité algorithmique[modifier | modifier le code] La théorie de la complexité des algorithmes étudie formellement la difficulté intrinsèque des problèmes algorithmiques. Complexité de Kolmogorov[modifier | modifier le code] Autres complexités[modifier | modifier le code] Système complexe. Complication et complexité Portail de la physique

De l'inappétence au décrochage : quel processus ? Que proposer en amont et en aval ? « L’inappétence » : une préoccupation montante dans le champ de la formation continue des enseignants en France. La demande de formation continue émanant des équipes d’enseignants a très nettement évolué ces quinze dernières années : elle s’est de plus en plus orientée vers une aide pour comprendre et à faire face à ce qui est communément désigné comme une « démotivation croissante » de leurs élèves. Cette nouvelle demande a d’abord émanée essentiellement d’équipes de lycées professionnels préoccupées par l’échec scolaire ; puis, elle s’élargit aux équipes de collèges en zone dite difficile dont la préoccupation était voisine de celle des lycées professionnels, enfin les ont rejointes des équipes d’enseignants de classe de seconde de lycées généraux ou techniques. Démotivation, démobilisation, inappétence, tous ces mots fleurissent abondamment tant dans les salles de professeurs que dans les ouvrages de spécialistes pour caractériser la génération actuelle des collégiens et lycéens.

Embrasser la complexité Pour préparer la 3e édition française de la conférence Lift qui aura lieu du 6 au 8 juillet à Marseille, nous vous proposons de redécouvrir quelques-unes des plus stimulantes présentations qui s'y sont tenues ces dernières années et que nous avons couvertes.Retour sur l'édition 2010 avec les présentations de Manuel Lima, Stefana Broadbent et Ivo Gormley... La complexité n'est-elle pas devenue une caractéristique de nos sociétés, plutôt qu'un bug ? Comment pourrions-nous regagner le contrôle de nos flots d'information, de notre temps ? Pouvons-nous aborder la complexité d'une façon plus productive ? Pouvons-nous mieux la comprendre, mieux la maîtriser ? Tel étaient les questions adressées par les organisateurs de la seconde édition de la conférence Lift France, à la fois à un designer, à un vidéaste et à une ethnologue. Visualiser la complexité Image : Manuel Lima sur la scène du théâtre de la Criée à Marseille, photographié par Fabien Girardin. On y trouve des centaines de modèles.

PEDAGOGIE Socle de Pédagogie, donner l'envie d'apprendre est vraisemblablement un des objectifs les plus difficiles à atteindre en formation. Envie d'apprendre et étymologie du mot "Savoir"... Un peu d'étymologie ne fait jamais mal ... et mon ancienne professeure de latin-grec serait ravie de cette référence de ma part, elle qui m'en a tant voulu d'avoir abandonné les langues mortes en terminale ! Connaissez-vous l'étymologie du mot "Savoir" ? Le mot "savoir" vient du latin SAPERE - "avoir du goût"- "exhaler une odeur" - "sentir par le sens du goût" et, au figuré - avoir du discernement, du jugement, être sage. La Pédagogie, l'Art de donner du goût ? Pour donner l'envie d'apprendre, le pédagogue pourrait être, en quelque sorte, un cuisinier chargé de relever les saveurs et de délivrer les goûts. Thierry Tournebise est un des auteurs qui a illustré cette métaphore : "La pédagogie est l'art de donner le goût, l'art de relever les saveurs. Pourquoi donner l'envie d'apprendre est-il important ?

ETHIQUE MORALE Ethique et morale Paul Ricoeur (1990) Faut-il distinguer entre morale et éthique ? 1 ) la primauté de l'éthique sur la morale ; 2) la nécessité néanmoins pour la visée éthique de passer par le crible de la norme ; 3) la légitimité d'un recours de la norme à la visée, lorsque la norme conduit à des conflits pour lesquels il n'est pas d'autre issue qu'une sagesse pratique qui renvoie à ce qui, dans la visée éthique, est le plus attentif à la singularité des situations. 1°) La visée éthique Je définirai la visée éthique par les trois termes suivants : visée de la vie bonne, avec et pour les autres, dans des institutions justes. Parlant d'abord de la vie bonne, j'aimerais souligner le mode grammatical de cette expression typiquement aristotélicienne. Mais le souci de soi est-il un bon point de départ ? Passons au deuxième moment : vivre bien avec et pour les autres. Vivre bien, avec et pour l'autre, dans des institutions justes. 2°) La norme morale Or, sur quoi portent ces convictions ?

Pourquoi veulent-ils casser l’école ?, par Christian Laval En septembre 2007, à peine élu président de la République, M. Nicolas Sarkozy avait exprimé dans une « Lettre aux éducateurs » son souhait d’une école avec « moins de professeurs ». Et, pour une fois, la promesse a été tenue, avec la suppression de seize mille postes d’enseignant en 2011 et 2012, ce qui devrait conduire à la destruction de quatre-vingt mille postes en cinq ans dans l’enseignement primaire et secondaire. Cette véritable saignée suscite colère et inquiétude chez les enseignants, mais aussi chez les parents d’élèves et, désormais, chez les maires, y compris ceux de l’Union pour un mouvement populaire (UMP). L’annonce de la fermeture de mille cinq cents classes du primaire à la rentrée 2011 a soulevé l’indignation : « Trop c’est trop, on ne peut plus continuer à supprimer des postes dans l’enseignement ! Même l’enseignement privé, pourtant moins touché en proportion par ces coupes dans les effectifs, se met à donner de la voix. Taille de l’article complet : 1 863 mots.

Le mérite, une valeur pervertie ?, par Angélique Del Rey Dans 1984, George Orwell analysait le « double langage » de cette société du futur dont notre présent est devenu si proche. Nombreuses sont aujourd’hui les valeurs dominantes qui devraient être étudiées à la lumière de cette novlangue qui ne nomme que pour semer la confusion. Le concept de « mérite », récemment revivifié, illustre ce brouillage. Deux ouvrages philosophiques permettent d’en déchiffrer les enjeux. Fondement de l’égalité républicaine en ce qu’il a permis le passage d’une distinction sociale liée au sang à une autre liée à la mesure des capacités, le mérite est aujourd’hui utilisé, selon Yves Michaud et Dominique Girardot, comme une machine à justifier toutes les inégalités, y compris les moins justifiables : seraient mérités le cancer pour qui n’a pas participé au dépistage et le chômage pour qui n’a pas « tout » fait afin de rester dans la course. Et serait tout aussi logiquement méritée la fortune pour celui qui a su faire les bons placements… Vous êtes abonné(e) ?

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