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Droits d’auteur, droits de copie, droits de l’image : 4 bons réflexes

Droits d’auteur, droits de copie, droits de l’image : 4 bons réflexes
L’espace pédagogique de l’Académie de¨Poitiers met à disposition sur son site Internet, un document ressource sous la forme d’un dépliant 4 volets (en pdf) intitulé Droits d’auteur, droits de copie, droits de l’image : les bons réflexes… pour informer les élèves sur ces notions. Plus largement, cette brochure sera utile aux acteurs de terrain des EPN, à leurs usagers et aux internautes qui souhaitent s’informer « pour un meilleur respect de la propriété intellectuelle » avec des réponses à des questions concrètes notamment sur le Droit et Internet. Les points abordés dans l’aide-mémoire Droits d’auteur, droits de copie, droits de l’image : les bons réflexes : Qu’est-ce que le droit d’auteur ? Ce document propose 4 bons réflexes à adopter pour l’Internet : Je respecte le droit moral.Je consulte les mentions légales des sites Web.Je m’adresse à l’auteur si nécessaire.Je me réapproprie l’information pour donner plus d’intérêt à mon travail et j’évite ainsi le copier-coller. Licence : Related:  Identité, sécurité, responsabilité

C’est l’histoire du “vieux con qui sait” contre “le jeune inconscient qui n’a pas réfléchi” A la demande par un centre socio-culturel, je commence demain la formation de collégiens et de personnel de santé/enseignant et direction sur la question de l’image de soi et l’identité numérique de l’adolescent. L’objectif est d’amener l’adolescent à réfléchir à sa posture numérique. Bien au-delà, c’est la question de l’image de l’adolescent que nous allons aborder à travers ces ateliers de 3H. Quelle image l’adolescent a de lui? Quelle image ses "traces numériques" lui renvoient-elles et au final quelle image souhaite-t-il donner de lui sur la toile? Si ma démarche est implicitement l’éducation à l’internet et aux réseaux sociaux, elle aura une portée plus globale pour aider l’adolescent de se construire par lui-même sur la question de l’identité. Je crois que c’est une erreur de supposer que l’adolescent peut agir et réagir en adulte sur Internet. Et si plutôt qu’interdire et constater, l’adulte se posait dans son rôle d’éducateur et d’accompagnateur ? Like this: J'aime chargement…

Cause commune Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs. Revue de presse

Licenses Explained | Creative Commons Ceci est la traduction en français d'une création originale de Creative Commons, A Spectrum of Rights. (Credits de la version originale : Cartoon concept and design by Neeru Paharia. Original illustrations by Ryan Junell, Photos by Matt Haughey.) Vous pouvez télécharger toutes les images au format PNG en cliquant ici. Les images ont été dimensionnées de façon à être imprimées sur une page A4 paysage. Les images ont été fabriquées grace à gimp, gif2png et inkscape. Ces travaux ont également été produits sous d'autres formats (pdf, Oo, flash, etc...) sur le site de Framasoft This work is licensed under a Creative Commons License.

Et si les filtres Internet dans les écoles envoyaient le mauvais signal ? Par Mario Asselin "Les gouvernements, les entreprises et les lieux citoyens s'adaptent à la réalité de l'omniprésence des nouveaux médias de communication et en tirent parti. Pourquoi l'école refuserait de prendre avantage des opportunités que ces moyens offrent ?" Consultant écouté des deux cotés de l'Atlantique, rédacteur d'un blog célèbre, Mario Asselin est aussi un ancien directeur d'école. Alors qu'un mouvement se dessine au Québec pour retirer des réseaux des écoles les filtres Internet, Mario Asselin interpelle l'Ecole : vaut-il mieux censurer ou éduquer ? « L’urgent n’est pas de former les enseignants aux nouvelles technologies, il est d’abord de les former à la pédagogie. » P. Depuis plusieurs années, le réseau Internet est devenu accessible au grand public autant dans les agglomérations urbaines que dans les campagnes. «L’enquête montre que les jeunes ne sont pas satisfaits de leur utilisation d’Internet à l’école, car ils se sentent bridés dans leurs pratiques. Mario Asselin

Le brevet logiciel fait des vagues Nous vous avons amené à travers une vaste étendue sauvage, forêt de principes juridiques où la jurisprudence s'entrelace autour de concepts légaux. Au sommet du plus grand arbre de cette jungle, vous avez pu apercevoir toute la théorie qui soutient le Brevet: « Nouveauté », « Inventivité », « Utilité ». Ensuite, nous avons visité une grande vallée, splendide, prolifique au cœur de laquelle une rivière de génie scientifique nourrit nombre d'arbres fruitiers. Vous y avez compris les bénéfices d'un brevet, les fruits que ce document peut apporter. Le brevet informatique est-il un poids à poser sur le plateau sombre de la balance de la brevetabilité? D'abord, je m'aperçois qu'« informatique » n'est peut-être pas le terme approprié. Pensons au code source d'un programme d'ordinateur et étudions les trois critères. C'est du moins ce qu'en pense généralement la législation canadienne et européenne qui tend à protéger les programmes informatiques par droit d'auteur plutôt que par brevet. 1.

Formation numérique La firme Orange poursuit ses efforts didactiques pour faire comprendre les technologies et les outils numériques via des vidéos dédiées : 60 secondes pour comprendre… En octobre 2012, NetPublic signalait le premier lot de ses modules vidéo : 12 vidéos didactiques sur les réseaux sociaux et le numérique. Pour mieux appréhender l’Internet et le numérique d’aujourd’hui et de demain, de nouvelles vidéos (avec un brin d’humour) sont aujourd’hui disponibles. En moins de 2 minutes, ces vidéos baptisées 60 secondes pour comprendre présentent des films d’animations sur les outils, les pratiques et les infrastructures technologiques avec la volonté d’être compréhensible pour tous : grand public internautes et mobinautes. Les thématiques explorées : la mobilité, la création numérique et les dispositifs techniques innovants.

CRDP de l'académie de Besançon : Identité numérique Ces dossiers thématiques sont archivés, nous attirons votre attention sur leur date de mise à jour. Toute la communauté éducative est concernée par sa présence individuelle ou collective sur internet. Chacun (enseignant, chef d'établissement, élèves, parents) laisse des traces sur internet et cela constitue son identité numérique. Dans tous les cas, cela nécessite pour tous, les éducateurs et les élèves une sensibilisation, une éducation. Éduquer à l'identité numérique, c'est en fait mettre en place une culture numérique partagée dans l'établissement. Même l'établissement a une identité numérique... Pour éviter certaines contrariétés très sérieuses (publications de données personnelles confidentielles : vie privée, opinions personnelles...), chacun doit être averti des risques encourus et tout particulièrement les élèves séduits par la fluidité de la communication sur les réseaux sociaux. Identité numérique, mode d'emploi... La transparence devient le maître mot. La CNIL sur Habbo

Qu'est-ce que le logiciel libre ? - Projet GNU - Free Software Foundation (FSF) « Logiciel libre » [free software] désigne des logiciels qui respectent la liberté des utilisateurs. En gros, cela veut dire que les utilisateurs ont la liberté d'exécuter, copier, distribuer, étudier, modifier et améliorer ces logiciels. Ainsi, « logiciel libre » fait référence à la liberté, pas au prix a (pour comprendre ce concept, vous devez penser à « liberté d'expression », pas à « entrée libre »). Pour bien montrer qu'il ne s'agit pas de gratuité, nous utilisons quelquefois en anglais l'expression libre software, qui emprunte au français ou à l'espagnol. Vous pouvez avoir payé pour obtenir une copie d'un logiciel libre ou vous pouvez l'avoir obtenu gratuitement. Nous faisons campagne pour ces libertés parce que chacun les mérite. L'« open source » est quelque chose d'autre : il a une philosophie très différente basée sur des valeurs différentes. Vous avez une question sur les licences de logiciel libre qui ne trouve pas de réponse ici ? Définition du logiciel libre Copyleft

Faut-il être vigilant avec l'utilisation de Netvibes en établissement scolaire ? Une question : Pourquoi être vigilant quant à l'utilisation de Netvibes ? Concernant le service Netvibes Lorsqu'un établissement utilise Netvibes, il accepte que Netvibes modifie, à son entière discrétion, le nom de sa page publique, pour quelque raison que ce soit, en particulier dans l'hypothèse où l'établissement scolaire aurait choisi un nom générique pour identifier sa page.De plus, Netvibes ne garantit pas la continuité et la qualité de son service. Concernant les marques et noms de domaineEn disposant des ressources en ligne via Netvibes, l'établissement accorde à Netvibes le droit de reproduire ses marques de commerce, nom de commerce, marques de service, logos, noms de domaine ou autres signes ou images d’identification. Ces droits sont accordés à titre gracieux à Netvibes et peuvent être concédés par Netvibes à ses partenaires commerciaux dans le cadre d'une sous licence, à la seule discrétion de Netvibes. Concernant le droit d'auteur Concernant les données à caractère personnel

Identité numérique : Ne laisse pas ton image t’échapper En octobre 2012, l’association Action Innocence Suisse a lancé une nouvelle campagne avec 2 visuels choc (cf. dans cet article) pour sensibiliser les adolescents et jeunes adultes à la protection de son identité numérique : Ne laisse pas ton image t’échapper. L’objectif est d’informer et faire réfléchir les jeunes sans moraliser et diaboliser les pratiques Internet et réseaux sociaux. L’identité numérique concerne tous les internautes et donc les jeunes Aujourd’hui, l’utilisation des blogs, réseaux sociaux, sites de partage de photos et vidéos contribuent aisément à la diffusion et à la prolifération de données qui constituent une identité numérique en ligne. Avant une rencontre, un employeur potentiel, un directeur d’école ou une rencontre personnelle peuvent être heurtés par une image ancienne, oubliée qui peut être attachée à son prénom et à son nom et s’avérer embarrassante. « Sur Internet : Ne laisse pas ton image t’échapper » Les 2 visuels à télécharger en taille réelle : 1. 2. 3. 4.

Richard Stallman Richard Stallman en 2019. signature Richard Matthew Stallman, né le 16 mars 1953 à Manhattan, connu aussi sous les initiales rms (en minuscules[note 1]), est un programmeur et militant du logiciel libre. Initiateur du mouvement du logiciel libre, il lance, en 1983, le projet GNU et la licence publique générale GNU connue aussi sous le sigle GPL. Depuis le milieu des années 1990, il consacre la majeure partie de son temps à la promotion des logiciels libres auprès de divers publics un peu partout dans le monde. En 2010, un récit biographique qui relate la vie de Richard Stallman paraît en français sous le titre Richard Stallman et la révolution du logiciel libre. Biographie[modifier | modifier le code] Richard Matthew Stallman est né à Manhattan d'une famille juive[2] le 16 mars 1953. Tout bascula au début des années 1980. Il parle couramment anglais et français[7],[8], assez couramment espagnol et un peu indonésien. Emacs[modifier | modifier le code] Projet GNU[modifier | modifier le code]

Utiliser les liens hypertextes Une question Faut-il prendre des précautions pour utiliser les liens hypertextes ? Qu'est-ce qu'un lien hypertexte ? Le lien hypertexte – ou hyperlien - permet d'intégrer dans une page web d'origine, une ressource ou une page d'un autre site internet en donnant l'impression à l'internaute de ne pas avoir quitté le site initialement consulté.Il n'existe aucune réglementation régissant le statut des liens hypertextes. Il est nécessaire de distinguer le lien hypertexte simple et lien hypertexte profond. Le lien simple vise la page d'accueil d'un site internet. Il est à noter que créer un lien (simple ou profond) pour propager un contenu diffamatoire ou injurieux au regard de la loi de 1881 sur la liberté de la presse, ou contrefait au regard du code de la propriété intellectuelle, peut être sanctionné. Quels sont les risques encourus ? La contrefaçon (art. Le lien doit toujours s'ouvrir dans une nouvelle fenêtre pour éviter tout risque de confusion dans l'esprit du navigateur.

Twitter, Facebook: tous responsables ! Twitter est pointé du doigt ces temps-ci comme espace de diffusion de propos racistes, antisémites, haineux etc. La question qui se pose pour Twitter est finalement à généraliser : Qui est responsable des propos émis sur le net? L’hébergeur? L’émetteur? J’ajouterais celui qui semble être laissé de côté: le lecteur ! Ne perdons pas de vue que nous sommes lecteurs de ce que nous choisissons de lire. Qui dit lecteur, dit choix de lecture. OUI ! Internet, le web 2.0 ont engendré une révolution que beaucoup sont en train de réaliser: nous sommes dans l’ère de la production écrite accessible à tous, émetteurs comme récepteurs. L’écrit était avant Internet réservé à l’élite: à "celui qui savait écrire" de l’écrivain au Professeur ou au journaliste. Aujourd’hui du plus instruit à celui qui l’est le moins peut publier. Aujourd’hui une mère de famille britannique peut écrire, s’auto-publier sur Internet et avoir vendu plus de 50 millions de livres en 2012 ! Like this: J'aime chargement…

Free Software Foundation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSF. La FSF aide également au financement du projet GNU depuis l'origine. Le logiciel libre[modifier | modifier le code] La fondation est à l'origine des quatre règles fondatrices du logiciel libre : La liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).La liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de l'adapter à ses besoins (liberté 1). Le projet GNU[modifier | modifier le code] Protection légale[modifier | modifier le code] Eben Moglen En concevant les licences GNU GPL, LGPL et FDL sous l'égide de Richard Stallman et d'Eben Moglen, la fondation devient une protection légale pour GNU. Ce mécanisme sera plus tard reproduit par la fondation Mozilla. Financement[modifier | modifier le code] La FSF employait à l'origine certains hackers du projet. La communauté du logiciel libre[modifier | modifier le code] La Free Software Foundation est un acteur majeur dans la communauté du logiciel libre.

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