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De la société de consommation à la déconsommation

Conscients que leurs choix de consommation sont un moyen d'agir à leur échelle, les consommateurs sont de plus en plus nombreux à vouloir adopter une consommation responsable. Le ministère de la transition écologique et solidaire définit la consommation responsable comme la prise en compte des impacts environnementaux et sociaux dans les critères d’achat et ce, à toutes les étapes du cycle de vie du produit. Pour 57% des Français, consommer responsable, c'est avant tout consommer moins. Pour 38% des Français, c'est consommer autrement (en choisissant des produits labellisés, certifiés éthiques, locaux et moins polluants). La consommation bio En 20 ans,il y a eu une forte progression du bio, comme le confirme une récente étude du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). Selon l'Agence Bio, plus de 9 Français sur 10 déclarent avoir consommé des produits biologiques en 2018. Ces produits sont majoritairement achetés dans la grande distribution (49%).

https://www.vie-publique.fr/eclairage/272242-de-la-societe-de-consommation-la-deconsommation

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Portrait du consommateur omnicanal en France Marquée par la crise sanitaire, l’année 2020 aura apporté avec elle une accélération sans précédent de la digitalisation des services. Parmi les secteurs les plus impactés, celui de la grande distribution. Dans l’objectif d’éviter les foules et une éventuelle contamination, les habitudes des consommateurs se sont profondément transformées pour laisser place à une tendance forte : l’omnicanalité. En 2021 et pour les années à venir, il sera donc primordial pour les marques et les distributeurs de comprendre qui sont ces nouveaux consommateurs adeptes des achats à la fois online et offline, mais aussi d’identifier leurs besoins, leurs attentes et leurs pratiques. Pour les aider dans cette démarche, budgetbox et Harris Interactive ont mené une étude sur les consommateurs omnicanaux en France. Qui sont les consommateurs omnicanaux en France ?

Culture de la consommation, poids des lobbies... La Convention citoyenne se penche sur les blocages et résistances Au troisième jour de leurs travaux dimanche, les 150 citoyens tirés au sort, qui devront remettre en janvier leurs propositions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, n'en sont pas encore à proposer des solutions, mais ils ont identifié trois "niveaux" de blocages freinant la lutte contre le changement climatique: "économiques, politiques et individuels". De nombreux participants estiment que "l'obsession pour la croissance, les indicateurs de PIB et la logique des bénéfices est un frein à la transition" et que "l'intérêt financier prime sur l'intérêt commun", a ainsi déclaré Mohammed, du Mans, en rendant compte des travaux de la veille. Tristan, de la Réunion, a lui souligné la "résistance consciente ou inconsciente au changement" des citoyens pris dans la "culture de consommation qui domine notre mode de vie". Tandis qu'Angela pointait du doigt le "manque de courage" des politiques. "Il n'y pas de transition écologique qui peut se faire sans les citoyens.

La révolution des business models 13 février 2018 au siège de Kering. Ce jour-là, François-Henri Pinault, le PDG, présente les résultats de son groupe pour 2017. « Une année phénoménale », dit-il. Et il dresse les perspectives pour la suite, indiquant qu’il travaille « sur des scénarios de rupture ». « On ne peut pas gérer un groupe comme le nôtre à court terme », souligne le PDG qui a mis en place une équipe innovation chargée de travailler sur différentes hypothèses. Kering a déjà vécu de profondes transformations. L’ancien groupe Pinault Printemps Redoute a cédé le Printemps (2006), la Fnac (2013), La Redoute (2014) pour devenir un « pure player du luxe », selon les mots de François-Henri Pinault cité par Fashion Network. Et demain ?

13. Pourquoi certains lobbies sont-ils plus puissants que d’autres ? L’analyse économique des groupes d’influence hétérogènes 1Les lobbies – appelés aussi groupes d’intérêt, de pression ou d’influence – sont aujourd’hui des acteurs incontournables de la vie économique, politique et sociale. Une grande majorité de ces groupes de pression représentent des intérêts industriels et commerciaux spécifiques, des syndicats ou des associations professionnelles. Moins nombreux mais non moins influents sont les groupes de pression poursuivant un objectif social ou idéologique. À titre d’exemple, on peut citer la célèbre National Right to Life Organization qui milite contre de droit à l’avortement aux États-Unis ou encore les différents lobbies « verts » qui militent pour la protection de l’environnement aussi bien auprès des gouvernements nationaux que des instances internationales. 5Une littérature plus récente analyse le problème d’action collective et de l’efficacité des groupes d’intérêt en fonction de leur taille en considérant explicitement la concurrence entre ces mêmes groupes.

[Infographie] Les jeunes et les réseaux sociaux Très attachée aux nouvelles technologies, la génération Z passe de plus en plus de temps sur son smartphone, notamment sur les réseaux sociaux. Pourquoi les jeunes les aiment-ils autant ? Quelles sont les applications qu’ils utilisent le plus ? Combien de temps y passent-ils par jour ?

Consommer autrement Editorial Consomm'acteurs ! Les nouveaux consommateurs Ne cachez pas cet avis client que vous ne sauriez voir ! 1/2 Souvent sollicités mais rarement écoutés, les avis clients sont parvenus désormais à faire entendre leur voix en dehors des canaux classiques censés recueillir les questions et les réclamations que marques et enseignes mettent en place. à un tel point que leur influence est devenue incontournable dans la relation client. Tour d’horizon d’un phénomène loin de se tarir et que les marques doivent intégrer dans leur stratégie d’acquisition et de fidélisation de leurs consommateurs. Il fut un temps où le client n’avait guère d’autre option que d’écrire un courrier postal ou électronique, d’appeler un numéro téléphonique dédié, voire de se déplacer en magasin pour faire valoir son avis.

Nos façons de consommer changent-elles vraiment ? Nos achats deviennent-ils plus vertueux ? Au cœur du premier confinement, ils ont fait partie des rares Français à ne pas connaître la crise. Les paysans qui vendent leur production en circuit court ont eu la bonne surprise de servir des consommateurs nombreux, et nouveaux. Le symbole d’une consommation devenue plus vertueuse ? « Les crises sont souvent des accélérateurs de tendances qui étaient sous-jacentes. Le Covid-19 n’échappe pas à la règle et vient confirmer une prise de conscience environnementale qui monte depuis plusieurs années », assure Pascale Hébel, directrice du Pôle consommation et entreprise au Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc). « A part une minorité de consommateurs qui se disent explicitement réfractaires au changement (environ 20 %), la plupart des Français cherchent à s’engager vers une consommation responsable », confirme Philippe Moati, économiste et cofondateur de l’Observatoire société et consommation (Obsoco).

Ne cachez pas cet avis client que vous ne sauriez voir ! 2/2 Souvent sollicités mais rarement écoutés, les avis clients sont parvenus désormais à faire entendre leur voix en dehors des canaux classiques censés recueillir les questions et les réclamations que marques et enseignes mettent en place. à un tel point que leur influence est devenue incontournable dans la relation client. Tour d’horizon d’un phénomène loin de se tarir et que les marques doivent intégrer dans leur stratégie d’acquisition et de fidélisation de leurs consommateurs. 2/2 Les dirigeants et plus particulièrement les marketeurs ont tout intérêt à gérer les avis clients de manière proactive et à ne plus les balayer d’un revers de main en n’y voyant qu’un cortège minoritaire de râleurs patentés.

Sonner le glas de la société de consommation pour un nouveau modèle La crise sanitaire a confirmé la prise de conscience : pour 93% des Français, il faut revoir tout ou une partie de notre modèle économique. Parmi eux, 52% déclarent qu’il faut le repenser entièrement et sortir du mythe de la croissance infinie. Voici l’un des enseignements majeurs du Baromètre de la consommation responsable de Greenflex et de l’Ademe. Le choc des générations "Le choc des générations, un enjeu au cœur des transformations agiles" est une invitation à poser un regard comparatif sur les différentes générations. Partagez la ressource Le choc des générations, un enjeu au coeur des transformations agiles Cette conférence passe en revue les caractéristiques de la génération silencieuse (1901-1944), les baby-boomers (1945-1963), la génération X (1964-1978), la génération Y (1979-1994) et la génération Z (1995-2010) afin de les confronter pour mettre en lumière les tensions qui surgissent entre elles et les modes d’accommodement possibles. Hormis la génération dite traditionnelle, ces générations ont en commun les attributs suivants : l’univers des apparences, le rituel de l’urgence, le culte de l’immédiat, la fascination de la célébrité, la valorisation du court terme. En tenant compte de ces phénomènes en cours, les générations décrites coexistent au fil des relations changeantes marquées par l’alternance du conflit et de la coopération.

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