background preloader

Et si tout devenait gratuit…

Et si tout devenait gratuit…
Sur chaque rayonnage, vaisselle, petit électroménager, jouets pour enfants, une grosse étiquette indique le prix. « Zéro euro. » Pourtant, cela ne rate jamais. Les nouveaux clients posent la question, comme si leur cerveau ne pouvait intégrer l’information : « Et ça, c’est combien ? » C’est gratuit, doit répondre Debora Fischkandl toute la journée. Gratuit et déroutant. Au début de l’été, la boutique sans argent a ouvert avenue Daumesnil, à Paris. Un mariage à zéro euro Devant le portant à vêtements adultes, Béatrice Lanouar hésite, chemisier tendu à bout de bras, comme s’il allait lui coûter une fortune. C’est à Mulhouse (Haut-Rhin), en 2010, que s’est créé le premier Magasin pour rien associatif, d’inspiration allemande. “C’est compliqué pour les gens d’accepter quelque chose de gratuit. Après les cafés, des commerçants solidaires, un peu partout en France, se sont mis à « suspendre » des baguettes, des repas et même des coupes de cheveux. Une voie d’évidence Mieux. Les sites Web Related:  Pour sortir de la criseFutur

Ressourcerie du Pays de Liège Dix propositions pour prospérer sans croissance On assiste à l’avènement en Europe, de l’Espagne à la Catalogne, de la Grèce à la Slovénie et à la Croatie, d’une gauche nouvelle dont la nouveauté tient non seulement aux idées mais aussi au jeune âge de ses membres. Cette gauche sera-t-elle aussi une gauche verte et proposera-t-elle un modèle coopératif alternatif pour l’économie inspirée des idées de la décroissance ? Ou, à l’instar de la nouvelle gauche d’Amérique latine, conditionnée par les exigences du capitalisme global, cette nouvelle gauche reproduira-t-elle la logique expansionniste du capitalisme en se bornant à substituer les sociétés multinationales par des sociétés nationales, répartissant un peu mieux les miettes entre la populace ? Comme contribution à ce débat, n ous présentons ci-après dix propositions, inspirées par la décroissance, que nous avons rédigées pour le contexte espagnol. Audit citoyen de la dette. Partage du travail. Revenu de base et revenu maximum. Réforme fiscale verte. Réduction de la publicité.

Energie : Les excréments humains recèlent d'importantes quantités de biogaz inexploitées - Science-et-vie.com Plutôt que de les envoyer à l'égout, pourquoi ne pas collecter les déjections humaines et les convertir en une source d'énergie ? Le biogaz ainsi obtenu pourrait fournir, mondialement, une quantité de combustible suffisante à alimenter 138 millions de foyers ! A lui seul, le gaz naturel (ou méthane) qui forme 60 % de ce biogaz, représenterait une valeur de 9,5 milliards de dollars, d'après les estimations de l'université des Nations unies, commanditaire d'un rapport publié aujourd'hui. De la matière organique, les bactéries font du gaz Ce sont les bactéries qui produisent le biogaz via un processus naturel de dégradation de matière organique (ou biomasse), comme la matière fécale, dans des conditions d'anaérobie (absence d'oxygène). Mais extraire du combustible de nos excréments n'est que l'un des bénéfices possibles. Une fois carbonisé, le biogaz donne un produit exploitable comme du charbon de bois Son résidu après combustion s'avère en effet un équivalent du charbon de bois !

GAC, Repair cafés, donneries,… Une carte interactive pour les localiser Le Réseau des Consommateurs Responsables propose en ligne et en version papier une carte qui répertorie toutes les alternatives de consommation à Bruxelles et en Wallonie. On sait qu’elles existent, qu’elles sont même de plus en plus nombreuses, mais il est difficile parfois de localiser les initiatives qui invitent à consommer « autrement » : potagers collectifs, Groupes d’achat commun, Repair cafés, systèmes d’échange local, réseaux d’échange de savoirs et donneries… L’ASBL Réseau des Consommateurs Responsables a décidé de les rassembler en une carte interactive de Wallonie et Bruxelles. Au total, plus 900 initiatives sont répertoriées. Il suffit de cliquer sur sa province, choisir l’initiative qui nous intéresse et ses coordonnées s’affichent. Cette carte, participative, appelle aussi les citoyens qui connaissent ou lancent de nouveaux projets à les ajouter sur la carte. > Consulter la carte en ligne

Faut-il prendre l’effondrement au sérieux Les scénarios d’avenir énergétiquement vertueux, qui nous proposent de changer de modèle énergétique pour des solutions plus durables à base de solaire, d’éolien, d’hydraulique, de géothermie… (et parfois encore, non sans polémiques, de nucléaire), comme ceux que nous proposent le prospectiviste Jeremy Rifkin (@jeremyrifkin) dans La troisième révolution industrielle (voir notre article « Nous avons à nouveau un futur »), le spécialiste de génie environnemental de Stanford, Mark Jacobson (@mzjacobson), le stimulant rapport (.pdf) de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) ou même le scénario Negawatt sont tous basés sur des déploiements industriels ambitieux en matière d’énergie renouvelable – même si tous évoquent également, d’une manière plus ou moins appuyée, l’exigence à décroître. Image : La table périodique des éléments selon leur abondance. L’insoluble équation des ressources Le mythe de la croissance verte La planète n’a pas de plan B L’effondrement

Hackez votre supermarché : Voici 11 fruits et légumes que vous ne devriez acheter qu'une seule fois dans votre vie, si vous connaissez ces astuces ! Si vous pensez que faire pousser vos propres légumes, c’est compliqué et que ça demande d’avoir un jardin, voici quelques trucs et astuces qui pourraient bien changer votre perception des choses. Et peu importe que vous vivez en ville, dans un petit T2 sans balcon, ou que vous ayez une ferme avec 120 hectares de terres : n’importe qui peut le faire chez soi et très facilement ! Faire pousser de la salade, des carottes, même un ananas (!), ce n’est pas aussi compliqué que vous ne le pensez : il suffit de manger vos légumes comme vous le faites d’habitude, d'utiliser les restes pour les recycler… pour en faire pousser d’autres ! Publicité Du coup, plus besoin d’acheter une nouvelle fois ces aliments, ni même de vous en occuper constamment. @Via Upsocl Pas besoin d’être un pro du jardinage, il faut juste suivre ces quelques étapes et prendre en compte certains facteurs pour que ça marche. 1. @via upsocl @Top tropicals.com Ensuite, il n’y a plus qu’à s’armer de patience. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Comment réussir en partant de presque rien En Belgique, il est encore possible de réussir brillamment en partant de pas grand-chose. Même si on est loin du monde anglo-saxon, prompt à célébrer ses self-made-men : Richard Branson, ce dyslexique qui a fondé Virgin après avoir quitté l'école à 16 ans ; Steve Jobs, le fondateur d'Apple, resté un semestre seulement à l'université ; Mary Barra, patronne de General Motors, entrée dans le groupe à 18 ans... Là-bas, être parti de rien est une fierté revendiquée haut et fort. Mais, contrairement à la France qui voue une passion aux diplômes, un brin aristocratique avec une élite "ENA-Polytechnique-HEC", la Belgique est un pays d'entrepreneurs et se montre ouverte avec ses talents. Certes aussi, la montée est devenue plus délicate : le chômage bouche les horizons, les discriminations sociales (et ethniques) entravent les progressions et l'école peine à jouer son rôle d'intégration. Il y a la rencontre, qui joue un rôle capital. Dans Le Vif/L'Express de cette semaine, le dossier.

Les dix tendances qui vont révolutionner les études supérieures Apprentissage croisé, fortuit... Les chercheurs de l’Open University ont repéré dix innovations pédagogiques pour les prochaines années, dont certaines sont déjà à l’œuvre. Quelles grandes tendances vont révolutionner la façon d’enseigner et d’apprendre au cours des prochaines années ? Le 4e rapport annuel « Innovating pedagogy » publié en décembre 2015 par les chercheurs de l’Open University, université à distance du Royaume-Uni avec l’organisme de recherche américain SRI international, deux institutions à but non lucratif, tente de répondre en avançant dix pistes : apprentissage croisé, contextuel, fortuit, par outils commandés à distance, par l’argumentation, en empruntant la démarche informatique, en intégrant le corps, adapté à chaque profil, aux émotions de l’apprenant ou en surveillant ses performances lors de parcours multimédias… Apprentissage croisé : un impact fort Lire aussi Quand les étudiants conçoivent eux-mêmes leurs cours Des outils restent à affiner

Qui sommes nous - Positive Planet Positive Planet a été créée, par Jacques Attali, en 1998 pour promouvoir la croissance et lutter contre la pauvreté en permettant aux populations les plus vulnérables de devenir autonomes et de transmettre un monde meilleur aux générations futures grâce à l’entrepreneuriat. En 20 ans, nos actions ont soutenues plus de 11 millions de famille à travers le monde. Nous sommes convaincus qu’en aidant ainsi les plus démunis, économiquement, culturellement et socialement, nous aidons la planète toute entière à devenir plus pacifique, plus durable et plus positive. Notre mission : La mission de Positive Planet est de fournir à chacun les moyens d’entreprendre, et de créer ainsi les conditions d’une résilience et d’un épanouissement professionnel, culturel et social durable. Positive Planet travaille dans plus de 35 pays avec l’ONG Positive Planet International, et en France avec l’ONG Positive Planet France et son programme « Entreprendre en banlieue ».

Crowdfunder le projet d'un sans-abri Pourquoi les entrepreneurs seraient-ils les seuls à bénéficier de la mécanique de crowdfunding ? En Californie, même les plus démunis ont leur profil en ligne et leur projet à financer. A San Francisco, la start-up Handup est devenue la première plateforme de crowdfunding de la ville. Dédié aux plus démunis, le site propose un profil pour chaque sans-abri, avec une photo perso, un récit de vie et le descriptif de son « projet ». La plateforme leur offre un peu de reconnaissance publique et la capacité de « faire connaissance » avec des donateurs. Découvrez l'histoire de Rodney qui a pu accomplir son rêve : danser.

Troisième révolution industrielle Une maison passive n'a pas, ou presque pas, besoin de sources artificielles de chaleur. Il y est plus facile de produire un surplus d'énergie, qui peut être stocké pour un besoin futur ou exporté vers un usager qui en a besoin à proximité par un réseau de type Smart grid, fonctionnant sur le modèle distribué de l'Internet selon les principes de la Troisième Révolution. Le second pilier de la Troisième Révolution industrielle consiste à transformer chaque bâtiment en « mini-centrale » intelligente qui injecte dans le réseau son excédent de production et y prélève de l'énergie quand elle en manque. Un stockage tampon se fait grâce à des batteries (fixes ou de véhicules en chargement) ou un stockage d'hydrogène. Description[modifier | modifier le code] L'enjeu est aussi la survie des écosystèmes et donc de l'humanité qui en dépend et Rifkin ne voit pas de « plan B »[6]. En 2007, le Parlement européen a officiellement adopté cette vision[7]. Justifications[modifier | modifier le code]

Achères - Projet de ferme urbaine : des cultures au pied des tours Et si les Achérois pouvaient acheter aux pieds de leur immeuble des fruits et légumes de saison à des prix attractifs, participer à un atelier contre le gaspillage alimentaire, et ensuite cueillir les produits qu’ils ont découverts ? Cela pourra peut-être se réaliser en 2021, avec la création d’une ferme urbaine le long de la D30, entre les jardins familiaux d’Achères, le quartier des Plantes d’Hennemont, et le magasin Leclerc en vis-à-vis. Ce projet, intitulé Integr@terre, unique en vallée de Seine et initié en août 2017, a pour objectif de recréer un lieu de vie agricole sur ce terrain de sept hectares, mis à disposition gratuitement par la mairie. Doivent y être créés un jardin pédagogique, un atelier de sensibilisation pour les enfants et les adultes, un espace de restauration, des cours de cuisine, mais aussi des cours de jardinage. Le public pouvait également participer à des ateliers pour partager le maximum d’idées autour du projet.

Namur Volontaire - Un site pour les volontaires namurois La Sécu selon Uber, par Evgeny Morozov (Les blogs du Diplo, 16 septembre 2016) La Silicon Valley n’a pas dû saisir l’ironie de la situation : Uber, une entreprise dirigée par un homme qui affiche ouvertement son admiration pour la romancière et philosophe libertarienne Ayn Rand (1), apparaît de plus en plus comme le sauveur des transports publics américains, en contractant des partenariats avec nombre de communes désireuses d’offrir une alternative privée qui fonctionne parallèlement au système public. Certaines d’entre elles proposent déjà des réductions impressionnantes aux habitants qui utilisent Uber. Après tout, pourquoi dépenser tout l’argent des contribuables dans l’amélioration des infrastructures quand on peut tout simplement confier la tâche à des entreprises de la Silicon Valley ? D’autres envisagent de sous-traiter certaines missions imposées par la loi, telles que le transport d’handicapés. Là encore, Uber reste le candidat le plus évident pour bénéficier des largesses de l’État.

Related: