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Molière

Molière
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Molière Molière dans le rôle de César dans La Mort de Pompée, peint par Nicolas Mignard (1658). Collection Comédie-Française de Paris. L'inscription que l'on peut lire aujourd'hui sur une façade au 31 rue du Pont-Neuf sous un buste de Molière est erronée. Issu d'une famille de marchands parisiens (son père tient une boutique de tapissier qui vend mobilier, tissus et tapisseries à la haute bourgeoisie et à la riche aristocratie et il détient depuis 1631 la charge prestigieuse de « tapissier valet de chambre du Roi »), Jean-Baptiste Poquelin se consacre au théâtre à 21 ans après la rencontre de Madeleine et Joseph Béjart avec qui il fonde « l'Illustre Théâtre » ; il prend alors le pseudonyme de Molière. Molière demeure depuis le XVIIe siècle le plus joué et le plus lu des auteurs de comédies de la littérature française, chaque époque trouvant en lui des thématiques modernes. Biographie La jeunesse de Molière Famille Ses études Des débuts difficiles Related:  Théâtre

Sociétaire de la Comédie-Française Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sociétaires de la Comédie-Française sont, depuis l'origine de la troupe en 1680, des comédiens choisis parmi les pensionnaires ayant au moins une année d'engagement. Après son départ en retraite, un sociétaire peut continuer à jouer ; il devient alors « sociétaire honoraire ». Le doyen ou la doyenne de la Comédie-Française n'est pas le comédien le plus âgé, mais le sociétaire le plus ancien dans la troupe (depuis son entrée comme pensionnaire). Liste des sociétaires de la Comédie-Française[modifier | modifier le code] Note : L'année indiquée en regard du nom est l'année où le comédien a été nommé sociétaire. XVIIe siècle[modifier | modifier le code] XVIIIe siècle[modifier | modifier le code] XIXe siècle[modifier | modifier le code] XXe siècle[modifier | modifier le code] XXIe siècle[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Pensées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le projet apologétique de Pascal démontre que l'homme, dans son orgueil et son amas de concupiscence, ne peut trouver la paix intérieure et le véritable bonheur qu'en Dieu. Selon lui, c'est la relation brisée entre l'Homme et son Créateur qui produit chez l'humain l'insatisfaction constante de la vie qu'il mène, et le désir d'oublier, par le divertissement, qu'il est mortel et a besoin de la grâce de Dieu. Pascal, qui fut également l'un des plus grands génies scientifiques de l'Histoire, soutient que l'Homme est à la fois misère et grandeur, rien et tout, limité bien qu'il aspire à l'infini. Sa capacité de penser, son désir de l'illimité et sa quête insatiable de bonheur sont la trace de Dieu dans son esprit qu'il a été créé pour le connaître et l'aimer. Blaise Pascal, auteur des Pensées Genèse du texte[modifier | modifier le code] Présentation de l’œuvre[modifier | modifier le code] L'homme[modifier | modifier le code] La raison et le cœur

Administrateur général de la Comédie-Française Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Administrateur général de la Comédie-Française décide de la programmation des pièces. Il est assisté par un comité de lecture composé de six sociétaires, de membres de Conseil d'Administration, de quatre personnalités du monde des lettres et du théâtre et du doyen[1] de la Comédie-Française. Liste des administrateurs[modifier | modifier le code] Administrateurs de la Comédie-Française, de 1799[2] à nos jours Notes[modifier | modifier le code] ↑ Le doyen est le sociétaire le plus ancien.↑ Date de la réunion du théâtre de la Nation et du théâtre de la République.↑ Commissaire royal par intérim pendant les voyages de Taylor, directeur de la scène lorsque Taylor est à Paris.↑ Révoqué, puis réintégré le 27 novembre 1962 à compter du 31 janvier 1960, démissionnaire. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sociétaires de la Comédie-Française Source[modifier | modifier le code]

2201920190.pdf Annie Ducaux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avec René Arrieu (à gauche) dans Bajazet à la Comédie-Française, décembre 1957. Elle entra à la Comédie-Française en 1946, en fut sociétaire de 1948 à 1982, puis sociétaire honoraire, commandeur de la légion d'honneur et officier des arts et des lettres. Carrière[modifier | modifier le code] Après avoir étudié au Conservatoire national d'art dramatique où elle obtient le 1er prix de comédie, elle débute au théâtre de l'Odéon et interprète notamment sur scène les héroïnes de Racine, La Prisonnière d'Édouard Bourdet, ou encore l'impératrice Joséphine dans Napoléon unique de Paul Raynal[2]. En 1982, elle met fin à sa carrière de comédienne, nommée aussitôt sociétaire honoraire de la Comédie-Française. Filmographie[modifier | modifier le code] Cinéma[modifier | modifier le code] Télévision[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] 1930 : La Châtelaine de Shenstone, d'André Bisson, d'après Florence L. ↑ selon O.

Comique En élaborant une poétique nouvelle du genre comique, Molière réussit une remarquable synthèse entre deux courants jusque là divergents, sinon contradictoires, de la vulgate comique : le premier, issu de Plaute et enrichi de l’ancienne farce, se caractérise par le seul désir de faire Rire en présentant une image caricaturale du monde ; le second, dans la lignée de Térence et du théâtre humaniste, nourrit la noble et séculaire ambition de la correction des mœurs, grâce à une peinture fidèle de l’homme. Une telle synthèse lui procure une large palette, riche des effets comiques les plus variés au sein desquels on distingue traditionnellement le comique de gestes ou de mots issu de la farce, le comique de situation, le comique de mœurs permettant une satire sociale, et le comique de caractère qui appartient en propre à notre poète, mais que depuis la IIIe République on a abusivement privilégié. Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope.

Sarah Bernhardt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sarah Bernhardt Sarah Bernhardt vers 1880, cliché de Napoléon Sarony Répertoire Henriette-Marie-Sarah Bernhardt dite Sarah Bernhardt, née à Paris vraisemblablement en octobre 1844 et morte dans la même ville le 26 mars 1923, est une des plus importantes actrices françaises du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Biographie[modifier | modifier le code] Naissance[modifier | modifier le code] La mère de Sarah, Judith-Julie Bernardt[1] (1821-1876), modiste sans le sou et fille d'un marchand de spectacles néerlandais juif itinérant, était une courtisane parisienne connue sous le nom de « Youle »[2],[3]. De même le lieu de sa naissance n'est pas plus sûrement établi : une plaque mentionnant sa naissance est apposée au n°5 de la rue de l'École-de-Médecine, on évoque également la rue Saint-Honoré - au 32 ou au 265 - ou encore le 22 de la rue de la Michodière[5]. Enfance[modifier | modifier le code] Sarah Bernhardt dans Le Passant

Fantaisie - Nerval Introduction La première moitié du XIXème siècle est marquée par le Romantisme. En 1831, Gérard De Nerval publie le poème Fantaisiedans le recueil nommé Odelettes. Lecture du poème Télécharger Fantaisie - de Gérard de Nerval en version mp3 (clic droit - "enregistrer sous...") Annonce des axes de lecture Commentaire littéraire I. 1. Poème composé de 4 quatrains ce qui montre une libre création car la forme du sonnet (2 quatrains + 2 tercets) n'est pas suivie. 2. Fantaisie : l'imagination a libre court et ne respecte pas une forme définie traditionnelle. 3. « un air » : une chanson indéfinie, anonyme, transmise par la tradition qui suggère une mélancolie douce et rêveuse peut-être mélodie de berceuse. 4. Un rythme ternaire : « Tout Rossini (4 syllabes), tout Mozart (3 syllabes) et tout Weber (2 syllabes : prononcé Wèbre) » ces trois termes imposent le rythme ternaire qui est le rythme de la valse qui décroit au cours de l'énumération. 5. II. 1. 2. 3. III. 1. La Dame : image finale. 2.

Armande Béjart Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Béjart. Armande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjart est une comédienne française, née entre 1640 et 1642, et morte à Paris le 30 novembre 1700. Biographie[modifier | modifier le code] Naissance[modifier | modifier le code] Armande est née dans la famille Béjart, célèbre famille de comédiens du XVIIe siècle. D'après l'acte de mariage de Molière et d'Armande Béjart[1], Armande serait fille de Joseph Béjart (1585-1641) et de son épouse Marie Hervé (1593-1670). Des rumeurs ont couru sur sa naissance. D'après Roger Duchêne, auteur de Molière (1998), l'hypothèse d'une filiation entre Madeleine et Armande est possible, mais pas avérée. Épouse de Molière et actrice[modifier | modifier le code] Élevée dans le giron de la troupe des Béjart et de Molière, elle l'épouse celui-ci le 20 février 1662, « âgée de vingt ans ou environ »[7]. Contrat de mariage entre Molière et Armande Béjart, 23 janvier 1662.

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