Sociétaire de la Comédie-Française
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sociétaires de la Comédie-Française sont, depuis l'origine de la troupe en 1680, des comédiens choisis parmi les pensionnaires ayant au moins une année d'engagement. Après son départ en retraite, un sociétaire peut continuer à jouer ; il devient alors « sociétaire honoraire ». Le doyen ou la doyenne de la Comédie-Française n'est pas le comédien le plus âgé, mais le sociétaire le plus ancien dans la troupe (depuis son entrée comme pensionnaire). Liste des sociétaires de la Comédie-Française[modifier | modifier le code] Note : L'année indiquée en regard du nom est l'année où le comédien a été nommé sociétaire. XVIIe siècle[modifier | modifier le code] XVIIIe siècle[modifier | modifier le code] XIXe siècle[modifier | modifier le code] XXe siècle[modifier | modifier le code] XXIe siècle[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Molière (2007
Pensées
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le projet apologétique de Pascal démontre que l'homme, dans son orgueil et son amas de concupiscence, ne peut trouver la paix intérieure et le véritable bonheur qu'en Dieu. Selon lui, c'est la relation brisée entre l'Homme et son Créateur qui produit chez l'humain l'insatisfaction constante de la vie qu'il mène, et le désir d'oublier, par le divertissement, qu'il est mortel et a besoin de la grâce de Dieu. Pascal, qui fut également l'un des plus grands génies scientifiques de l'Histoire, soutient que l'Homme est à la fois misère et grandeur, rien et tout, limité bien qu'il aspire à l'infini. Sa capacité de penser, son désir de l'illimité et sa quête insatiable de bonheur sont la trace de Dieu dans son esprit qu'il a été créé pour le connaître et l'aimer. Blaise Pascal, auteur des Pensées Genèse du texte[modifier | modifier le code] Présentation de l’œuvre[modifier | modifier le code] L'homme[modifier | modifier le code] La raison et le cœur
Administrateur général de la Comédie-Française
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Administrateur général de la Comédie-Française décide de la programmation des pièces. Il est assisté par un comité de lecture composé de six sociétaires, de membres de Conseil d'Administration, de quatre personnalités du monde des lettres et du théâtre et du doyen[1] de la Comédie-Française. Liste des administrateurs[modifier | modifier le code] Administrateurs de la Comédie-Française, de 1799[2] à nos jours Notes[modifier | modifier le code] ↑ Le doyen est le sociétaire le plus ancien.↑ Date de la réunion du théâtre de la Nation et du théâtre de la République.↑ Commissaire royal par intérim pendant les voyages de Taylor, directeur de la scène lorsque Taylor est à Paris.↑ Révoqué, puis réintégré le 27 novembre 1962 à compter du 31 janvier 1960, démissionnaire. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sociétaires de la Comédie-Française Source[modifier | modifier le code]
Le cas de Tartuffe
Le cas de Tartuffe Au Québec, la tradition du carnaval d’hiver est née vers la fin du XVIIe siècle. À l’époque du carnaval de Québec, les réjouissances étaient à l’honneur. Les autorités soutenaient les divertissements en finançant diverses activités pour occuper les gens durant la morte saison. Lors du carnaval, l’élite de la Nouvelle-France pouvait assister à des pièces de théâtre au château Saint-Louis. Pendant l’hiver 1693-1694, une troupe d’amateurs décide de produire au Québec le Tartuffe de Molière. Le lieutenant Jacques de Mareuil, de la marine royale, arrivé à Québec durant l’été 1693, propose de participer aux représentations théâtrales. On se prépare donc à représenter le Tartuffe de Molière. C’est alors que Jean-Baptiste de La Croix de Chevrières de Saint-Vallier, évêque de Québec, effrayé par la mauvaise influence que la pièce pourrait avoir sur ses ouailles, décide d’intervenir. Le 16 janvier 1694, l’évêque publie deux mandements. Lire aussi :
2201920190.pdf
Annie Ducaux
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avec René Arrieu (à gauche) dans Bajazet à la Comédie-Française, décembre 1957. Elle entra à la Comédie-Française en 1946, en fut sociétaire de 1948 à 1982, puis sociétaire honoraire, commandeur de la légion d'honneur et officier des arts et des lettres. Carrière[modifier | modifier le code] Après avoir étudié au Conservatoire national d'art dramatique où elle obtient le 1er prix de comédie, elle débute au théâtre de l'Odéon et interprète notamment sur scène les héroïnes de Racine, La Prisonnière d'Édouard Bourdet, ou encore l'impératrice Joséphine dans Napoléon unique de Paul Raynal[2]. En 1982, elle met fin à sa carrière de comédienne, nommée aussitôt sociétaire honoraire de la Comédie-Française. Filmographie[modifier | modifier le code] Cinéma[modifier | modifier le code] Télévision[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] 1930 : La Châtelaine de Shenstone, d'André Bisson, d'après Florence L. ↑ selon O.
Histoire du français au Québec
Section 1: La période de la Nouvelle-France (1534-1760) : l'implantation du français au Canada AUSSI: 1.1 Colonie de Plaisance (1650-1713) - Terre-Neuve 1.2 Colonie de Louisbourg (1713-1758) 1.3 Colonie de l'Acadie (1604-1755) 1.4 Colonie de la Louisiane française (1682-1763)La Baie d'Hudson (1682-1713) Le Pays-d'en-Haut (1604-1763) Le Pays des Illinois (1671-1763) Section 2: Le régime britannique (1760-1840) : la traversée du désert d'une majorité menacée Section 3: L'Union et la Confédération (1840-1960) : apprendre à vivre en minorité Section 4: La modernisation du Québec (1960-1981) : le français, langue étatique Section 5: Réorientations et nouvelles stratégies : de 1982 à nos jours Section 6: Bibliographie Supplément: Évolution des frontières du Québec de 1763 à 1927
Comique
En élaborant une poétique nouvelle du genre comique, Molière réussit une remarquable synthèse entre deux courants jusque là divergents, sinon contradictoires, de la vulgate comique : le premier, issu de Plaute et enrichi de l’ancienne farce, se caractérise par le seul désir de faire Rire en présentant une image caricaturale du monde ; le second, dans la lignée de Térence et du théâtre humaniste, nourrit la noble et séculaire ambition de la correction des mœurs, grâce à une peinture fidèle de l’homme. Une telle synthèse lui procure une large palette, riche des effets comiques les plus variés au sein desquels on distingue traditionnellement le comique de gestes ou de mots issu de la farce, le comique de situation, le comique de mœurs permettant une satire sociale, et le comique de caractère qui appartient en propre à notre poète, mais que depuis la IIIe République on a abusivement privilégié. Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope.