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Julia de Funès: "Le bonheur en entreprise est une absurdité"

Julia de Funès: "Le bonheur en entreprise est une absurdité"
Conférencière et philosophe de l'entreprise, Julia de Funès fustige le management "moderne" qui fait souvent fuir les meilleurs. Wirtschaft 8 Min.07.10.2019Aus unserem online-Archiv Nadia DI PILLO C'est un soir d'automne au Mudam. Julia de Funès intervient devant un parterre de patrons et de présidents de chambres professionnelles, réunis par la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc) pour sa «Journée des Présidents». La conférencière et philosophe de l'entreprise leur donne une leçon de management. Julia de Funès, pourquoi les entreprises s'évertuent-elles à bâtir des organisations qui font fuir les meilleurs alors que leur principal objectif devrait être d'attirer les talents? D'abord je tiens à préciser que ce ne sont pas "les meilleurs" au sens élitiste ou diplômé du terme, mais je me réfère aux salariés qui ont envie d'agir et d'aller de l'avant pour leur entreprise. Ces nouveaux modes de fonctionnement ont changé la donne... Vous n'y allez pas un peu trop fort?

https://www.wort.lu/de/business/julia-de-funes-le-bonheur-en-entreprise-est-une-absurdite-5d976c02da2cc1784e34cf5b

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L’intérimaire est-il le freelance de demain ? - Maddyness - Le Magazine des Startups Françaises De nombreuses startups ont récemment fait le choix de passer au salariat. C’est par exemple le cas de Bird et Lime, spécialisées dans les trottinettes électriques, qui proposent de plus en plus d’emplois salariés, notamment aux équipes de juicers (les auto-entrepreneurs chargés du déplacement et du rechargement des trottinettes). C’est dans ce contexte sociétal que la startup Side, qui avait créé une plateforme de mise en relation entre freelances et entreprises, a récemment changé de modèle, et propose désormais un nouveau statut juridique aux siders : le statut intérimaire. Ces signaux faibles sont-ils révélateurs d’une nouvelle tendance ? Le très technophile « New Deal Vert mondial » de Jeremy Rifkin Dans son New Deal Vert mondial (Les Liens qui Libèrent, 2019), Jeremy Rifkin expose un plan ultra technologique pour répondre à la crise climatique et précipiter l’effondrement de la civilisation fossile dès 2028. Un récit plus séduisant que réaliste. Les énergies fossiles vont s’effondrer d’elles-mêmes, vers 2028, rendues obsolètes par la compétitivité des renouvelables qui vont devenir quasi gratuites, abondantes et vont booster la démocratie et l’autonomie dans un monde ouvert et ultra connecté. Voilà dans les grandes lignes la nouvelle prophétie de Jeremy Rifkin, exposée dans son dernier ouvrage, Le New Deal vert mondial (Les Liens qui Libèrent, octobre 2019). Le célèbre prospectiviste a construit sa réflexion autour d’un argument central : le coût des énergies renouvelables connaît une chute vertigineuse et va, selon lui, continuer de plonger. « Pour la première fois en 2019, le coût moyen du solaire à l’échelle industrielle est passé bien en dessous de tous les autres.

Demain, un monde sans travail ? Tu fais quoi dans la vie ? Voilà probablement le plus commun des préambules, l’alpha et l’oméga de la socialisation, notre façon de nous présenter au monde. Nous faisons aujourd’hui, pour la plupart, comme si le travail nous définissait et l’acceptons bon gré mal gré comme un mal nécessaire. Pourtant, dehors, la rumeur gronde : avec l’intelligence artificielle et la robotisation croissante des tâches, les cols blancs commencent à leur tour à être confrontés au manque de travail pendant que d’autres, désabusés ou abîmés par les horaires de bourreaux rêvent de revenu universel. Le travail questionne plus que jamais. Comment le définissons-nous ?

Science fiction and HR: imagining alternative futures It is more than 200-years since 19-year-old Mary Shelley published her widely acclaimed novel, ‘Frankenstein’– known to some as ‘the first work of science fiction.’ Although it was popular at the time, even Shelley, with her remarkable foresight could not predict how popular her novel, or the genre she was forming, would become. Today, science fiction (SF) is an influential force, not only as an industry, where stories can generate billions in revenue, but as a cultural resource – a way to engage with and imagine different futures, good and bad. It is not uncommon for science fiction to be invoked when trying to make sense of the many technological changes or innovations with which we might be involved and affected by. In HR, enthusiasm for SF is not a given.

Travailler 4 jours en étant payé 5, c'est possible - Madame Figaro Travailler moins, gagner autant, produire plus. L'équation fait rêver au moins autant qu'elle semble insoluble. C'est pourtant le pari que s'est lancé la direction de Welcome to the Jungle il y a quelques mois. «On s'intéresse à l'équilibre vie pro - vie perso, mais on estimait que les RTT et les congés payés n'étaient pas une solution suffisante», explique Jérémy Clédat, fondateur du portail de recherche d'emploi et d'informations sur le travail. Are Offices Obsolete? The COVID-19 epidemic has highlighted the vulnerabilities of the traditional physically co-located office, forcing many Asian companies to work remotely. However, a small but growing number of tech companies are intendedly going “all-remote”. They may well be harbingers of the future of work. This article is part of a series entitled “The Future of Management”, about how changes in culture and technology are reshaping what managers do. INSEAD professors Pushan Dutt and Phanish Puranam serve as academic advisors for this series.

Comment les entreprises peuvent-elles se projeter dans le futur pour anticiper les crises ? Peut-on réellement anticiper des évènements comme la crise sanitaire que nous vivons aujourd’hui ? Cette pandémie peut être qualifiée de « cygne noir », concept qui désigne un évènement hautement improbable statistiquement car, comme chacun le sait, les cygnes sont tous blancs. Il a été largement diffusé par Nassim Nicholas Taleb, un épistémologue des probabilités, spécialisé dans l’évaluation des risques d’évènements rares et imprévus.

La semaine de quatre jours n'est pas un luxe, elle est nécessaire au progrès de l'humanité! « Nous devrions travailler pour vivre et non vivre pour travailler ». Voilà ce qu'a déclaré John McDonnell dans son discours à la Conférence du Parti travailliste britannique, le 23 septembre dernier. Le député travailliste s'est ensuite engagé à respecter l'engagement d'instaurer la semaine de travail de 32 heures ou de quatre jours. Cet objectif, a ajouté John McDonnell, serait atteint dans un délai de dix ans, et ce, sans perte de salaire. La semaine de 4 jours, une bonne idée pour relancer l’économie ? Après le revenu universel, c'est au tour de la semaine de 4 jours de réapparaître dans les programmes politiques. En pleine récession, cette mesure a été évoquée mercredi 20 mai par la première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern pour relancer le tourisme dans son pays. L'occasion de revenir sur deux expérimentations de la semaine de 4 jours - plutôt probantes - menées par le passé. En novembre 2019, le parti travailliste britannique l’avait introduite dans son programme pour les élections législatives.

Pourquoi on a supprimé les réunions - Alan - Medium Tout le monde déteste les réunions. Personne n’arrive préparé, ça commence en retard, et la personne avec la voix qui porte le plus ne veut plus lâcher la parole. Une heure plus tard, vous avez l’esprit encore plus confus qu’avant d’entrer dans la pièce et vous vous demandez s’il vous reste du paracétamol.

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