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Les nouveaux boulots 2.0

Les nouveaux boulots 2.0
Il y aurait en France 200 000 personnes travaillant pour les plateformes numériques du type Uber, Deliveroo, Lime... Ces travailleurs disposent d'une grande souplesse dans l'organisation de leur temps de travail. Mais leurs droits sociaux sont réduits au minimum. "J'aime bien le travail et quand j'ai vu ces opportunités là, j'ai foncé", dit d'emblée Christophe, 27 ans. Christophe est un travailleur multi-tâches et multi-casquettes. Il a été livreur chez Deliveroo et chez son concurrent Uber Eats. Travailler pour ces plateformes a des avantages, notamment une grande souplesse dans l'organisation de son temps de travail. Certains députés et sénateurs aimeraient faire évoluer la loi pour protéger davantage ces nouveaux travailleurs. Il y aurait en France, selon l'Institut Montaigne, 200 000 personnes travaillant pour les plateformes numériques, soit 0,8% des actifs occupés. "Les nouveaux boulots 2.0", un reportage de Vanessa Descouraux.

https://www.franceinter.fr/emissions/interception/interception-01-septembre-2019

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Plateformes : nouvelle économie, nouveau mythe ? Entre espoirs liés à une économie collaborative et inquiétudes quant à la prolétarisation des travailleurs, lesquels deviendraient de nouveaux «tâcherons du clic» (Antonio A. Caselli)), les plateformes numériques impliquent de nouvelles configurations du monde du travail. De Uber à Etsy, en passant par La Belle Assiette, la « gig economy » s’impose dans les imaginaires comme une économie disruptive, qui, à première vue, rend poreuses les frontières entre travail professionnel, domestique et bénévole. Que serait le travail dans une société post-croissance?

L’architecture de l’innovation technologique Les licornes et les nouvelles entreprises technologiques asiatiques ont en général un modèle commercial axé sur le renforcement du pouvoir des petites entreprises et de leurs propriétaires d’examiner le vaste potentiel et les possibilités infinies de la digitalisation. Qu’elles soient Fintech ou Deep Tech, les start-ups construisent des passerelles qui pourraient numériser et responsabiliser les petites et moyennes entreprises. Il est intéressant de noter que les PME représentent 96 % des entreprises des pays membres de l’ANASE et jouent un rôle croissant dans les revenus économiques de ces pays.

Ces innovations technologiques qui révolutionnent l'agriculture Suivre la météo en temps réel, se faire assister de robots pour désherber les champs, surveiller l’état de santé de ses vaches à distance…. Comme l’ensemble de l’économie, l’agriculture est gagnée par la déferlante numérique. A l’heure de l’AgTech ou de l’Agritech, qui représente à ce jour aujourd'hui plus de 4.000 applications dédiées à ce secteur, le quotidien des agriculteurs connaît un profond bouleversement. Loin d’être rétifs au changement, ces derniers sont déjà ultra connectés : 79% d’entre eux utilisent internet, relève le rapport Agriculture-Innovation 2025, publié par le ministère de l’Agriculture, et "le développement de l’AgTech s’accélère depuis cinq ans, indique Véronique Bellon-Maurel, directrice de l’Institut #DigitAg.

Création d’une forêt comestible à Montpellier – Lattes La Forêt Lattoise est une association œuvrant à la création d'une forêt comestible au sein de l'agglomération de Montpellier depuis avril 2018. Plus d'une centaine d'arbres et arbustes fruitiers ont déjà été plantés en automne 2018 par une quarantaine de personnes et l'automne 2019 sera marqué par près de 150 nouvelles plantations. Image fournie par l'auteur L’association de La Forêt Lattoise est issue d’un collectif d’une vingtaine de personnes souhaitant créer un espace d’abondance à proximité immédiate de la ville. Tout en expérimentant des outils de démocratie participative, les membres de l’association participent à la création d’une forêt comestible de plus de 5.000m².

Il y a 70 ans, la création du SMIG Le salaire minimum a 70 ans en France. Instauré par la loi du 11 février 1950, le SMIG est alors basé sur une durée de travail de 45 heures par semaine, et fixé à 78 francs de l’heure à Paris. Il deviendra le SMIC en 1970 (Salaire minimum interprofessionnel de croissance) et constitue toujours le salaire minimum auquel une entreprise peut aujourd'hui rémunérer son salarié. Entretien avec Jérôme Gautié, professeur d'économie à l'Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, directeur de l'Institut des Sciences Sociales du Travail (ISST) de Paris I.

L’ « Innovation Architecture » ou comment les entreprises créent leur futur Des millions d’objets connectés, des investissements numériques de plus en plus importants… Le digital croit de manière exponentielle. « D’après le baromètre 2017 des investissements numériques en France, les budgets consacrés à l’innovation technologique vont augmenter significativement pour plus d’une entreprise sur deux », explique Jean-Nicolas Brun, directeur exécutif, responsable de l’activité Équipements industriels, Automobile, Infrastructure et Construction d’Accenture en France. Mais pour autant, ces entreprises ne savent pas toujours comment appréhender ce changement. Jean-Nicolas Brun revient donc sur leurs besoins spécifiques. À quels impératifs les entreprises industrielles doivent-elles faire face ? En premier lieu, les entreprises industrielles doivent transformer leur cœur de métier afin de libérer la valeur existante, c’est-à-dire des capacités d’investissement pour l’innovation. Ensuite, elles doivent assurer la croissance de leur cœur de métier grâce

Agriculture 4.0 : drones, capteurs, circuits courts... bienvenue à la ferme digitale ! Publié le : 28/02/2019 - 13:58Modifié le : 28/02/2019 - 17:08 Chaque année, le Salon de l'agriculture présente sa ferme digitale, un repaire de start-up qui font la ferme de demain. Fondée par 5 start­up, la ferme digitale a pour objectif de promouvoir l’innovation et le numérique pour une agriculture performante et durable. L’association veut montrer comment les nouvelles technologies permettent aux agriculteurs d’être plus productifs, plus compétitifs et proches des préoccupations du consommateur. FRANCE 24 a rencontré trois start-up qui font partie de cette ferme digitale sur le Salon de l’agriculture 2019. Entretien avec Airinov, une société leader dans les drones destinés à l’agriculture, Weenat, une start-up spécialisée dans les capteurs connectés pour mieux maîtriser les cultures, et enfin Poiscaille, une entreprise qui propose des paniers de la mer en circuit court pour une pêche durable et transparente.

Les projets fous des scientifiques pour lutter contre le réchauffement climatique Anicet Mbida nous offre chaque matin ce qui se fait de mieux en matière d'innovation. L’innovation. Bonjour Anicet Mbida. Dans quelques jours, ce sera la journée de la Terre. Les scientifiques multiplient les projets fous pour lutter contre le réchauffement climatique. Malgré les accords de Paris (le premier accord universel sur le climat), la plupart des experts estiment que ça ne suffira pas, qu’il faut trouver des solutions plus radicales.

Le statut d’indépendant d’un chauffeur Uber est « fictif », selon la Cour de cassation La Cour de cassation a confirmé, mercredi 4 mars, la « requalification (…) en contrat de travail » du lien unissant l’entreprise Uber et un chauffeur, assurant que son statut d’indépendant n’est « que fictif », en raison du « lien de subordination » qui les unit. Un tel arrêt, une première en France, remet en cause le modèle économique du géant américain, déjà attaqué en Californie, notamment. La plus haute juridiction française a jugé que le chauffeur « qui a recours à l’application Uber ne se constitue pas sa propre clientèle, ne fixe pas librement ses tarifs et ne détermine pas les conditions d’exécution de sa prestation de transport ». Pour la Cour de cassation, la possibilité de se déconnecter de la plate-forme sans pénalité « n’entre pas en compte dans la caractérisation du lien de subordination ». Pour comprendre le contexte : Le modèle d’Uber menacé par une décision de la justice française Une menace pour le modèle économique d’Uber

Engie mène sa transformation numérique à marche forcée - L'Usine Energie Avec la décentralisation et la "décarbonation", le numérique est le troisième pilier de la transformation d’Engie. Le plus évident, mais le moins simple à piloter dans un groupe décentralisé. Pour relever le défi, Isabelle Kocher annonce en 2016 que 1,5 milliard d’euros seront investis dans la transformation numérique.

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