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(527) Villes du futur Le dessous des cartes [ Arte ]

(527) Villes du futur Le dessous des cartes [ Arte ]

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L'essentiel sur… l'Île‑de‑France Démographie Au 1er janvier 2018, 12 213 447 personnes habitent en Île‑de‑France. Avec une croissance démographique de 0,4 % par an entre 2013 et 2018, la population de l’Île‑de‑France progresse au même rythme que celle de la France. Le dynamisme démographique de la région est essentiellement porté par un solde naturel élevé, qui contribue à accroître la population de 0,9 % par an ; en revanche, il est freiné par un solde migratoire déficitaire (‑ 0,5 % par an). La fécondité y est assez élevée ; c’est aussi la région la plus jeune de France métropolitaine (100 jeunes de moins de 20 ans pour 58 personnes âgées de 65 ans ou plus). tableau Une augmentation de la population identique à la moyenne nationaleÉvolution annuelle moyenne de la population entre 2013 et 2018

Quand les métropoles façonnent le monde - Ép. 1/4 - Le nouvel empire des villes Depuis les années 1970, les villes se développent et concentrent toujours plus de populations, d'activités et de pouvoirs au point de devenir les centres névralgiques de nos sociétés. Aujourd’hui, les villes génèrent plus de 80% du produit intérieur brut mondial et quasiment 40% pour les seules dix plus grandes régions urbaines, dans lesquelles vivent plus de la moitié de la population mondiale. Mais si l’urbanisation augmente la croissance, la productivité et qu’elle favorise l’innovation ; elle s’accompagne également de nombreux défis : en matière de logements, de transports et infrastructures en tout genre et ne sont pas sans poser problème, notamment en ce qu’elles produisent de l’inégalité et de l’exclusion. Le gouvernement chinois commence à comprendre qu’on ne peut pas forcer la mégapolisation et la métropolisation sous peine de créer des contraintes environnementales et socio-politiques majeures. Michel Lussault

Le classement des villes mondiales/globales du GaWC, version 2016 Le groupe de travail sur les villes mondiales du département de géographie de l'université de Loughborough a publié en mars 2017 la version 2016 de son glassement des villes mondiales/globales (le GaWC utilise cette double dénomination, voir notre entrée de glossaire Villes globales, villes mondiales). En voici les premières lignes (le tableau complet ici) : Le haut du classement connaît quelques réajustements par rapport à la version de 2012 : Paris passe derrière Singapour, Tokyo derrière Pékin, Sydney derrière Doubaï. Le GaWC propose également un portail de ressources pédagogique (en anglais) où on trouvera la carte de 1998 en forme d'archipel des villes mondiales, ou encore celle de 2010 qui insiste sur les interrelations entre les villes : Pour aller plus loin :

Istanbul : de la mégapole à la métropole mondiale 1. La construction d'une mégapole 2. Istanbul et la mondialisation Les quartiers fermés du Grand Caire. Dimensions urbanistiques et idéologiques d’une forme de ville : nouvelle urbanité ou césure urbaine ? 1 Le terme compound – transcrit tel quel en arabe ﮐﻣﺑﺎﻭﺌﺪ– est majoritairement employé plutôt que gat (...) 2 Nous entendrons ici par « agglomération mère » ou « ville mère » la tache urbaine continue comprena (...) 3 Les débats, en géographie notamment, sont nombreux sur les définitions et distinctions que l’on peu (...) 1En grande périphérie du Caire, à partir des années 1990, se multiplient des quartiers de haut et moyen standing, plus ou moins clos, juxtaposés aux villes nouvelles résultant du schéma directeur de 1970 : cette forme de production immobilière se fonde sur un nouveau mode de gestion urbaine associant étroitement les acteurs publics aux promoteurs privés d’abord égyptiens puis, rapidement, étrangers. 4 Je précise que les habitants des compounds seront peu évoqués de manière directe ici. En effet, hor (...) Figure 1a.

Moscou se rêve en « ville globale », par Vladimir Pawlotsky (Le Monde diplomatique, novembre 2020) Au pied du Kremlin, les touristes — russes ou étrangers —, armés de perches télescopiques pour se prendre en photo, se pressent sur la passerelle du nouveau parc Zariadié, qui surplombe la rivière Moskova. Synthèse florale de la Russie, ce parc intègre des paysages de steppe, de toundra, de forêt et de marais. Il comprend également une grotte de glace, un musée archéologique, des restaurants gastronomiques, un complexe multimédia où sont organisées des projections de films et des expositions, une salle de concert de 1 600 places et un amphithéâtre extérieur d’une capacité similaire qui accueillent depuis l’inauguration du parc, le 9 septembre 2017, les événements internationaux les plus prestigieux de la capitale.

Moscou, la capitale de la Russie à l’ère de la compétition métropolitaine 1Si au cours de l’histoire, Moscou a subi des métamorphoses brutales, depuis 1991, la mutation accélérée de la capitale répond-elle à l’ambition de devenir un pôle urbain international tant économique que politique ? Confrontée à l’économie de marché, la ville est devenue un réceptacle d’une mutation économique anarchique en même temps qu’un laboratoire du changement. La mondialisation constitue un puissant facteur de refondation urbaine, tout particulièrement dans les quartiers centraux de Moscou. Cette ambition n’empêche pas, bien au contraire, de réintroduire des signes de « russité » tant le désir des autorités est grand pour tenter d’enraciner leur légitimité dans le passé. Phénomène récurrent en Russie à chaque changement de régime. Ainsi tandis que Moscou s’internationalise, elle se doit de marquer l’espace urbain de signes typiquement russes.

Moscou en cartes et en photos commentées L’émission sur Moscou, avec Jean Radvanyi et Pascal Marchand, est disponible en podcast jusqu’au 31 mars à 14h, et en écoute en ligne pendant 4 semaines. Pour ceux qui l’écoutent devant leur ordinateur, et tous les autres, voici trois cartes tirées de l’Atlas de Moscou , de Philippe Marchand, suivies de quatre photos de paysages urbains commentées . Je vous ai mis aussi un reportage TV sur le déneigement et un cliché du tableau Moscou I de Kandinsky inspiré par le soleil sur la ville. Comment Moscou se transforme en ville géante capitaliste 1Les théories post-structuralistes et non repré-sentationnelles, les idées de Manuel Castells à propos des transformations de l’espace, qui ne s’apparente plus à une constellation de lieux mais plutôt de flux, et de la Cité informationnelle (Castells, 1989, 1996), ainsi que les progrès de la théorie du système mondial résultant des travaux d’Immanuel Wallerstein, de Peter Taylor et d’autres (Wallerstein, 1979 ; Taylor, 1993 ; Knox et Taylor, 1995), ont contribué à l’émergence de nouvelles idées. On songe ici aux propositions relatives à la connectivité qui existe entre grandes villes ou encore au développement du concept des villes mondiales comme lieux centraux d’importantes interactions dans le cadre d’un monde et de réseaux mondialisés étroitement liés entre eux. John Friedmann (1986, 1995), Saskia Sassen (1991) et d’autres ont suggéré des critères permettant de définir les villes mondiales. 17Il est aisé d’obtenir d’autres données confirmant la suprématie de Moscou.

Notion à la une : shrinking city Bibliographie | citer cet article | français | Deutsch Le regard des enseignants Shrinking city ou « ville rétrécissante », est une notion complexe à laquelle les professeurs sont de plus en plus confrontés en abordant en terminale la mondialisation et le continent américain (en DNL ou non) Ce court article permet de comprendre la complexité de la notion avec des exemples concrets, européens pour la plupart. L’article permet d’actualiser les connaissances et d’améliorer la maîtrise de ce concept assez récent dans la géographie scolaire et de ne pas le cantonner au seul continent américain, ouvrant l’utilisation de la notion vers les horizons des programmes de seconde et de première. A. De villes en métropoles : vocabulaire et notions générales Auteur(s) : Sylviane Tabarly, professeure agrégée de géographie, responsable éditoriale de Géoconfluences de 2002 à 2012 - Dgesco et École normale supérieure de LyonMarie-Christine Doceul, professeure de chaire supérieure, responsable éditoriale de Géoconfluences - DGESCO, ENS de LyonJean-Benoît Bouron, agrégé de géographie, responsable éditorial de Géoconfluences - DGESCO, ENS de Lyon. Etudiants du master "Systèmes territoriaux, développement durable et aide à la décision" sous la direction d'Emmanuelle Boulineau, maître de conférence à l'ENS de Lyon, pour l’année 2012-2013 : Constance Berte, Pauline Brunschwig, Paula Dolci, Marie-Caroline Gaymard, Chloé Reiser, Jean-François Perrat

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