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Boris Razon - Prêts pour la cyberguerre ? Les Experts du Dessous des cartes

Boris Razon - Prêts pour la cyberguerre ? Les Experts du Dessous des cartes

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Related:  Axe 1 - La dimension politique de la guerrevidéos pour le chapitre 3OTC: LE CYBERESPACE : CONFLICTUALITÉ ET COOPÉRATION ENTRE ACTEURSTh6 - Objet conclusif

Aujourd'hui la guerre : penser la guerre : Clausewitz, Mao, Schmitt, administration Bush Le 13 novembre 2015, beaucoup d'acteurs politiques, médiatiques ou de témoins des attentats parisiens répétaient en boucle : « Nous sommes en guerre. » Cette expression ambiguë n'a pas permis de mieux comprendre ce qui s'était passé. Elle interroge d'autant plus si l'on considère que, durant les années 2000, l'on avait annoncé la fin de la guerre au profit de l'avènement d'« opérations de police » et d'« états de violence ». En s'attachant à restituer ce qui fut pensé sous le nom de guerre à partir des écrits de Clausewitz, Mao, Schmitt et l'administration Bush, Catherine Hass nous montre que la guerre n'apparaît pas ou ne disparaît pas selon les périodes mais qu'elle change de mode selon la politique à l'oeuvre, redistribuant ses catégories - ami, ennemi, antagonisme, nation, révolution, terrorisme... Le pari de ce livre est que des pensées révolues de la guerre peuvent constituer une forme de recours pour réfléchir notre contemporain, à l'instar de la Syrie ou de Daech.

Des députés plaident pour une prolongation et une extension des « boîtes noires » du renseignement Quel bilan tirer de la loi sur le renseignement, cinq ans après son adoption, à l’été 2015 ? Deux députés, Jean-Michel Mis et Loïc Kervran, se sont penchés sur le sujet et le résultat de leurs travaux, rendu le 9 juin, vient d’être publié sur le site de l’Assemblée nationale. Lire notre décryptage : Renseignement : des députés alertent sur « l’obsolescence technologique » de la loi de 2015 Parmi les nombreux outils dont l’utilisation fut légalisée par ce texte figure « l’algorithme ». Les cinq grands fléaux du cyberespace en 2018, selon l'ANSSI Du mieux, mais prudence. L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), qui a présenté lundi son rapport annuel, a recensé beaucoup moins de cyberattaques en France en 2018 qu'en 2017 : 1.869 signalements d'événement de sécurité numérique, 16 incidents majeurs et 14 opérations de cyberdéfense afin de répondre à un incident menaçant et compromettant les opérations liées l'activité d'une organisation d'importance vitale (OIV) ou fortement sensible. En 2017, le "cyberpompier", qui fête ses dix ans d'existence cette année, avait alors recensé 2.435 signalements, 20 incidents majeurs de sécurité et 12 opérations de cyberdéfense et, surtout, trois crises publiques majeures (menace sur l'élection présidentielle, rançongiciel Wannacry et attaque à des fins de sabotage NotPetya). Un modèle français efficace

Qu’est-ce que la guerre aujourd’hui ? Quel sens donner au mot "guerre" aujourd’hui? Avec Catherine Hass, anthropologue, pour "Aujourd’hui la guerre" (Fayard, janvier 2019). En dialogue avec Andreï Makine, écrivain et académicien, auteur de "Au-delà des frontières" (Grasset, 30 janvier 2019). Ce n’est pas un mot nouveau mais un mot à redéfinir : dans Aujourd’hui la guerre (Fayard, 2019), l’anthropologue Catherine Hass, chercheuse associée au CERNA (Centre d'Économie Industrielle), chargée de cours à Sciences Po Paris, donne son analyse de ce terme employé pour qualifier des réalités très différentes. Nouvelle lecture des enjeux contemporains.

Rançons exorbitantes, attaques ciblées : 2019, année « faste » pour le rançongiciel 2019 fut l’année où les rançongiciels, ces programmes informatiques qui verrouillent les données de leurs victimes et réclament une rançon, ont fait le plus de dégâts. C’est l’un des enseignements d’un rapport, publié mercredi 29 janvier par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), alors que se tenait le Forum international sur la cybersécurité (FIC), à Lille. Le garde du corps numérique de l’Etat, chargé de la défense des administrations et des entreprises les plus sensibles, est intervenu à 69 reprises en réaction à une infection par un rançongiciel. « C’est une courbe exponentielle » a expliqué son directeur, Guillaume Poupard, mercredi 29 janvier lors d’une conférence de presse en marge du FIC. Il s’attend à voir des attaques simultanées dans le futur : « La question qui se pose, c’est comment on traite toujours plus de cas.

La cyberguerre, nouveau visage de la puissance russe ? - Ép. 1/5 - 2021 : les grands dossiers d'une année diplomatique Pour la première émission d’une semaine entièrement consacrée aux grands dossiers diplomatiques « à surveiller » en cette année 2021, nous nous penchons sur la puissance russe dans le domaine de l’espionnage informatique. Et nous le faisons en ayant à l’esprit l’actualité de ces dernières semaines : une cyberattaque d’une ampleur sans précédent a été révélée le 13 décembre dernier. Les faits se seraient déroulés à partir du mois de mars.

Culture stratégique: mieux connaître l'oeuvre de Carl von Clausewitz, général prussien du 19e s LES HUIT LIVRES de Vom Kriege (De la Guerre), écrits entre 1820 et 1831 par le général prussien Carl von Clausewitz, inspirent depuis longtemps stratèges et stratégistes, en dépit de l’inachèvement de l’ouvrage et du criticisme philosophique souvent ardu qui en structure la trame [1]. Centre de gravité, point culminant, supériorité de la défensive ou notion de friction, pour ne citer que quelques-uns des concepts généraux clausewitziens, ont été en grande partie absorbés par la pensée et les doctrines des forces militaires du monde entier, de Moltke à Foch, de Lénine à Mao, du Corps des Marines américain aux combattants irréguliers contemporains de toutes obédiences. Rançon de ce succès, Clausewitz a bien entendu été critiqué et parfois mal lu, se voyant accusé d’être responsable de l’obsession napoléonienne pour la bataille décisive (B. Liddell Hart [2]), de ne plus être vraiment pertinent pour l’analyse des « nouvelles guerres » (M. Le général prussien Carl von Clausewitz (1780-1831)

Cybercoercition : un nouveau défi stratégique pour la France - Le monde - janvier 2020 Tribune. Alors que des doutes planent sur la pérennité de la solidarité transatlantique et sur la capacité de l’Europe à s’y substituer, la France doit réagir à deux défis majeurs pour ses intérêts vitaux. Le premier est la relance de la course aux armements nucléaires entre les superpuissances couplées à la prolifération de ces armes.

VIDEO. Le "rançongiciel" WannaCry porterait la signature de la Corée du Nord Cet article date de plus de trois ans. Publié le 14/12/2017 14:07 Mis à jour le 18/12/2017 12:49 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par L’organisation Etat islamique à l’offensive en Afrique – Un si Proche Orient Daech est en train de relancer ses activités terroristes au Maghreb et dans le Sahel, malgré la violente rivalité qui l’y oppose aux fidèles d’Al-Qaida. La police tunisienne sur les lieux de l’attaque jihadiste de Sousse, le 6 septembre (Bechir Taieb, AFP) Daech, l’acronyme arabe de « l’Etat islamique », est dirigé par Saïd al-Mawla depuis octobre 2019, quand un commando américain a éliminé en Syrie le « calife » auto-proclamé Abou Bakr al-Baghdadi. La branche libyenne de Daech a perdu son assisse territoriale, en décembre 2016, avec la chute de son bastion de Syrte, après six mois de combats acharnés. Les milices de Misrata, loyales au gouvernement de Tripoli, seul reconnu par l’ONU, ont payé un lourd tribut à cette reconquête, durant laquelle « l’armée nationale » de Haftar, fidèle au gouvernement de Benghazi, est demeurée ostensiblement passive.

« Cyber. La guerre permanente » : pour comprendre que la cyberguerre est sous nos yeux Le livre. Enfin un ouvrage accessible à tous sur la cyberguerre. Enfin un ouvrage sur la cyberdéfense qui n’étouffe pas le lecteur sous une avalanche de cyber-sigles plus imprononçables les uns que les autres. On doit cette facilité d’accès aux coauteurs, Jean-Louis Gergorin, ancien chef du centre d’analyse, de prévision et de stratégie (CAPS) du Quai d’Orsay, et Léo Isaac-Dognin, consultant en transformation numérique auprès d’entreprises et des institutions publiques. A la portée de tous, l’enquête que proposent ces deux spécialistes de stratégie est à la fois un avertissement et une invitation.

Au Sahel, l'État islamique peut-il affaiblir Al-Qaïda ? On attend toujours la libération, que l’on disait imminente avant-hier, de l’humanitaire française Sophie Pétronin, enlevée il y a quatre ans dans le nord du Mali par des hommes armés que l’on suppose liés à Al-Qaeda. En échange de la promesse de sa délivrance, ont été relâchés ce week-end une centaine de djihadistes des prisons maliennes…. C’était la stratégie du président IBK, semble-t-il reproduite par le gouvernement de transition à Bamako : négocier avec Al-Qaeda au Maghreb islamique.

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