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Génération Y, génération casse-tête !

Génération Y, génération casse-tête !
La bonne entente est essentielle au fonctionnement d’une entreprise et la gestion des relations intergénérationnelles en est l’un des piliers. Comprendre ce qui caractérise chaque génération permet d’apprendre à travailler ensemble… et de sortir du casse-tête du management de la génération Y. Afin d’optimiser les relations intergénérationnelles dans le milieu professionnel, il faut commencer par connaître l’autre. Portraits robot de 3 générations de pros Les « baby boomers » nés entre 1945 et 1965 ont bénéficié de la croissance et du plein emploi ; c’est une génération qui a connu la liberté sexuelle, a inventé la société de consommation, et croit en la réussite sociale. La génération « X », née entre 1965 et 1980, elle est marquée par la crise économique, l’effondrement des valeurs, le choc de la révolution technologique… C’est la génération de la désillusion marquée par la remise en cause du progrès, avec un ascenseur social en panne... mais aussi par le sida, Tchernobyl... Related:  Web / Generation Y

Seniors et génération Y : des attentes identiques envers le management Publié le 21/12/2011 Attention, cet article a été publié le 21/12/2011. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Pour la première fois, trois générations aux valeurs et attentes différentes doivent collaborer dans l’entreprise. En 2005, le groupe EDF gérait 3 000 départs en retraite et un millier de recrutements. Un même risque de désinvestissement Guillaume Truttmann, directeur de Cross-Commerce Company, rejoint les propos de Denis Bouchard sur les difficultés des entreprises à s’adapter à la nouvelle donne. Rassurer le management D’après les intervenants, les responsables RH ont tout intérêt à rassurer les managers. Gilles Marchand Crédits photo : Fotolia.com

L'utilisation des technologies, pas forcément innée pour la génération Y La toute-puissance de la génération Y en matière de technologie aurait du plomb dans l'aile. En effet, toute la jeune génération ne serait pas hyper-connectée et une minorité ne maîtriserait pas totalement certains outils. Les nouvelles technologies ne seraient pas l'apanage de l'ensemble de la génération Y. En effet, l'argument qui prône une rupture générationnelle dans l'usage et la maîtrise des nouveaux outils serait remis en cause par Christopher Jones, chercheur à la Open University. Celui-ci a mené une étude auprès de plus de 2 000 étudiants de cinq universités britanniques qui montre que la différence entre la génération actuelle des jeunes, immergée dans les nouvelles technologies, et les générations plus anciennes, moins familières avec la technologie, est imparfaite. Disparités dans l'utilisation Alors, c'est vrai, une grande majorité de la jeune génération est équipée de téléphones mobiles (97,8%). Un effort de démocratisation à faire

Petite Poucette, la génération mutante Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Je le baptise Petite Poucette, pour sa capacité à envoyer des SMS avec son pouce. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux grandes révolutions : le passage de l’oral à l’écrit, puis de l’écrit à l’imprimé. Cette mutation, quand a-t-elle commencé ? Pour moi, le grand tournant se situe dans les années 1965-1975, avec la coupure paysanne, quand la nature, notre mère, est devenue notre fille. Cela vaut pour tous les domaines.

Millennials: Confident. Connected. Open to Change. - Pew Social & Demographic Trends Executive Summary Generations, like people, have personalities, and Millennials — the American teens and twenty-somethings who are making the passage into adulthood at the start of a new millennium — have begun to forge theirs: confident, self-expressive, liberal, upbeat and open to change. They are more ethnically and racially diverse than older adults. They’re less religious, less likely to have served in the military, and are on track to become the most educated generation in American history. Their entry into careers and first jobs has been badly set back by the Great Recession, but they are more upbeat than their elders about their own economic futures as well as about the overall state of the nation. They embrace multiple modes of self-expression. Nearly one-in-four have a piercing in some place other than an earlobe — about six times the share of older adults who’ve done this. They are the least overtly religious American generation in modern times. They respect their elders.

Petit, je voulais être boulanger, mais j'étais bon en maths Petit, je voulais être boulanger, puis facteur, puis berger. On m’a poussé à faire des études. On m’a expliqué que c’était le seul moyen de réussir ma vie, de gagner de l’argent, de m’épanouir dans un métier. J’ai enduré de longues heures, de longues années de cours. Et maintenant que j’ai cinq années d’étude en poche, que je travaille - je suis ingénieur, je passe mes journées à concevoir des cuillères en plastique à moindre coût, pour environ 1700 euros par mois- je continue à m’ennuyer, et regrette profondément de n’avoir pas écouté le petit enfant qui voulait élever ses moutons en Ardèche. Et autour de moi, lorsque je tends l’oreille, voici ce qui tombe dedans : « J’ai fait cinq ans d’étude, je passe mes journées à faire des additions. Des agents économiquement productifs ou des ratés Ainsi, tant qu’un élève aura de bonnes notes, on lui conseillera vivement de suivre la voie royale : seconde générale, première scientifique, option mathématiques, maths sup, etc.

Les « digital natives » la génération multi-écrans - Philippe Ma Une des conférences du récent Webcom qui a eu le plus de succès était celle de Marc Prensky, inventeur dès 2001 du terme « Digital native ». De quoi parle-t-on? Wikipédia donne cette définition:« A digital native is a person who has grown up with digital technology such as computers, the Internet, mobile phones and MP3». Les avis divergent sur les dates à prendre en compte, je serais plutôt tenté de dire que ce sont tous les enfants nés après 1997 dont les plus âgés ont 11-12 ans en 2008. A l'instar de la génération précédente, dite Y, qui a vécu le passage de la cassette audio au CD, de la cassette vidéo au dvd, qui a vu l'arrivée des premiers laptop, des premiers téléphones mobiles, de l'Internet haute vitesse, nos petits natifs ont grandi entouré de toute cette quincaillerie: ils n'ont pas migré, tout était là. Bien sûr tout le monde les scrute à la loupe et se demande comment ils vont fonctionner dans l'avenir. - Mac ou pc: aucune importance pour lui.

Ces trentenaires qui n'ont plus envie de se lever pour bosser Ils ont des diplômes, un job, un bon salaire... mais s’ennuient à mourir, découvrant sur le tard les affres de la quête de soi. Alexandre a un parcours plutôt classe : il est diplômé d’une grande école de commerce parisienne, après avoir effectué un parcours universitaire et scolaire à l’étranger. Son CV a de la gueule et c’est une mince consolation. Sa vie professionnelle l’ennuie terriblement (il n’en voit pas le bout). Alors qu’il méprise la comptabilité, il a travaillé trois ans à la direction financière d’un groupe de luxe suisse. Alors que fin 2009, le taux de chômage des moins de 30 ans était de 17,3%, de nombreux trentenaires surdiplômés, qui ont décroché un contrat indéterminé, n’arrivent pas à s’en réjouir. « Je suis un forum américain depuis bientôt six ans, où les mecs balancent leurs videos Youtube. Des bandes de potes s’envoient au moins cent mails par jour, articles ou vidéos « lol » (cet article fera peut-être l’objet d’un mail).

9 ados sur 10 sont sur Facebook. Et le dixième, il fait quoi? - LePost.fr Web 02/02/2011 à 12h26 - mis à jour le 07/02/2011 à 16h28 | vues | réactions 7h Le réveil sonne. Encore une journée de cours. Hier, plongé dans Les Pensées de Pascal plutôt qu'à traîner sur le tchat de Facebook, Noé s'éveille avec l'angoisse d'avoir raté la rumeur qui animera les conversations dans la cour de récré. 7h50 Noé débarque au collège. Forcément, le temps de faire le tour des 30 personnes... 10h: après 2h, pardon, 1h45 de grammaire, un peu de détente dans la cour de récré. (Vidéo envoyée par FidelCast0r sur Youtube) 10h15: Noé se rend compte de visu que Chloé sort avec Théo. 12h: à la cantine, Noé voit son pote Théo (celui qui sort avec Chloé, si vous avez suivi) mettre à jour son statut Facebook via son Blackberry: "un homme aime être le premier amour d'une femme, alors qu'une femme aime être le dernier..." 12h02: Chloé répond à Théo: "trop <3 <3 <3" 12h03: Chloé rejoint le groupe "Si toi aussi tu comprends pas comment ça fonctionne les mecs" 17h: fin du cours de maths.

Niveau informatique des digital natives : la fin d’un mythe La génération Y (ou digital native ) dispose d’une compétence incontestable aux yeux de beaucoup d’observateurs : la maîtrise complète des outils informatiques, du web et des smartphones. La presse est d’ailleurs l’un des relais importants de cette théorie. Pourtant une analyse sérieuse du phénomène amène le mythe à s’effondrer très rapidement. Le grand quiproquo La naissance d’un mythe des compétences informatiques de cette génération tient bien sûr à des observations bien réelles. Il y a cependant un grand malentendu dans ce raisonnement : la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. Pour éclairer mon propos, prenons l’exemple d’un produit nettement plus simple : la voiture. Le niveau informatique de cette génération Vous n’êtes pas encore convaincu ? La France dispose d’un outil statistique remarquable pour évaluer objectivement la compétence de cette génération : le taux de succès au Certificat Informatique et Internet. L’avenir de la génération digital native

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