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Elections européennes 2019 : les estimations en temps réel, pays par pays

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« Avec l’industrialisation de l’alimentation, nous avons probablement perdu en qualité » Article réservé aux abonnés Le professeur Matthieu Allez est chef du service de gastro-entérologie à l’hôpital Saint-Louis (APHP). Selon lui, de nombreuses substances contenues dans l’alimentation moderne, tels qu’émulsifiants, pesticides, perturbateurs endocriniens, pourraient avoir un effet néfaste sur le microbiote intestinal. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment l’alimentation ultratransformée affecte notre santé Quel est l’impact de l’alimentation sur notre organisme ? Les aliments font partie du vivant et ont un impact important sur notre santé, c’est une évidence. Des données nombreuses montrent que la bonne santé est associée à la qualité de ce microbiote, et notamment à sa diversité microbienne. On observe une moindre diversité de ce microbiote au cours de nombreuses maladies inflammatoires ou métaboliques, telles que les maladies inflammatoires de l’intestin (maladie de Crohn et rectocolite hémorragique), l’obésité.

Discrètement, l’Europe s’apprête à déverser des milliards d’argent public en faveur des industries de l’armement L’Europe, initialement pensée comme un vecteur de paix, se prépare à subventionner allègrement, et sans conditions, les marchands d’armes. Les industriels de l’armement, omniprésents à Bruxelles, sont en train d’obtenir la création d’un « fonds européen pour la défense », malgré l’absence de véritable politique commune en la matière. Le but : faire financer leurs recherches par l’Europe, sans contrôle sur la prolifération des armes ainsi développées, telles que des drones ou autres systèmes de combat autonomes. Le Parlement européen a approuvé le 13 mars une enveloppe d’un demi-milliard d’euros pour le développement d’équipements dans le secteur de la défense pour les deux années qui viennent (2019 et 2020). Comment en est-on arrivé là, alors qu’au début des années 2000 mobiliser des fonds publics européens pour le secteur militaire, au même titre que les aides aux agriculteurs ou aux régions défavorisées, aurait semblé scandaleux ? Les lobbies de l’armement à la conquête de l’Europe

Le "mini-bot", la monnaie alternative des partisans de l'Italexit Publié le : 05/06/2019 - 19:24 Au sein de la Ligue, les plus farouches partisans d’une sortie de l’Italie de l’Union européenne comptent sur une monnaie alternative, le “mini-bot”, pour réaliser leur rêve : l’Italexit. Une “monnaie alternative”. L'arme que les eurosceptiques entendent dégainer pour s’émanciper de ce que transalpins appellent la tutelle bruxelloise, et potentiellement préparer un “Italexit”, s’appelle le “mini-bot” (pour mini bonds of treasury, appelés en italien buono del tesoro). Des billets à l’effigie de Marco Tardelli ou Oriana Fallaci Officiellement, le mini-bot est présenté comme un moyen de rembourser les créanciers de l'État. Ces “mini-bots” viennent même de remporter un net succès au Parlement, à l’occasion du vote d’une motion incitant le gouvernement à les mettre en place et qui a été adoptée à l’unanimité des députés, le 30 mai. Fausse bonne idée contre le “bank run” L’inconnue Salvini Pour l’instant ce risque reste marginal.

Christophe Castaner et la Pitié-Salpêtrière : « Les politiques ont le devoir de ralentir la course de l’information et son interprétation » Pour avoir évoqué une « attaque » de l’hôpital Pitié-Salpêtrière en marge du défilé parisien du 1er-Mai, le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, s’est retrouvé sous le feu des critiques, le contraignant vendredi 3 mai à revenir sur ses propos. Sa version des faits a en effet été rapidement contredite par la diffusion de vidéos et de témoignages confirmant que l’intrusion des manifestants dans l’hôpital avait été provoquée par un mouvement de panique face une charge des policiers. Le ministre de l’intérieur a été accusé par l’opposition d’avoir « parlé trop vite », relayant « sciemment ou pas de fausses informations », qui contribuent à « rompre le lien de confiance » entre les citoyens et les politiques. Lire aussi Castaner sur la Pitié-Salpêtrière : « Je n’aurais pas dû employer le terme “attaque” » D’abord, face aux déclarations du ministre, je ne veux pas verser dans une indignation facile, et préciser qu’il a regretté ses propos. C’est exactement cela. Cécile Bouanchaud

Parlement européen Le Parlement européen (PE)[N 1] est l'organe parlementaire de l'Union européenne (UE) élu au suffrage universel direct. Il partage avec le Conseil de l'Union européenne le pouvoir législatif de l'Union européenne. Le Parlement européen est composé de 705 députés (parfois appelés eurodéputés ou MPE), qui représentent environ 360 millions d'électeurs inscrits — participant aux élections européennes — provenant des 27 États membres (en 2020) et répartis selon des règles fixées dans les traités. En 1976, le Conseil européen décide qu'à partir de 1979, le Parlement sera élu tous les cinq ans au suffrage universel direct, à la proportionnelle. Depuis le traité de Lisbonne de 2007, la procédure législative ordinaire, qui place le Conseil (représentant les États membres) et le Parlement européen (représentant la population) sur un pied d'égalité pour l'adoption d'une norme européenne, est devenue la procédure législative de droit commun[3]. Histoire[modifier | modifier le code]

Découvrez les 27 nouveaux visages de la Commission européenne d’Ursula von der Leyen La nouvelle équipe dirigeante de l’Union européenne est dans les starting-blocks. Le Parlement européen a approuvé définitivement, mercredi 27 novembre, la liste des vingt-sept membres de la Commission européenne dirigée par l’Allemande Ursula von der Leyen. Le nouvel exécutif européen pourra donc prendre ses fonctions le 1er décembre, pour un mandat théorique de cinq ans. La marge de manœuvre de Mme von der Leyen était limitée : la plupart des capitales européennes n’avaient proposé qu’un(e) seul(e) candidat(e) pour le poste de commissaire. Elle a en outre été contrainte de revoir sa copie après le revers infligé par le Parlement européen à trois des commissaires proposés – la Française Sylvie Goulard, le Hongrois Laszlo Trocsanyi et la Roumaine Rovana Plumb –, rejetés à l’issue de leur audition.

Du « moon hoax » aux Illuminati : les raisons du succès des théories du complot Cinquante ans après la spectaculaire réussite de la mission Apollo XI, 9 % des Français pensent que les Américains ne sont en réalité jamais allés sur la lune et que la NASA a fabriqué de fausses images de l’opération. Le gouvernement américain aurait donc fait croire à l’existence et au succès de cette mission spatiale, probablement dans le but d’impressionner son rival soviétique. Cette théorie d’un « complot lunaire », ou moon hoax, prend forme aux États-Unis durant la première moitié des années 1970, en plein contexte de défiance grandissante de la population américaine à l’égard de son gouvernement (guerre du Vietnam, Watergate…). Au début des années 2000, le développement d’Internet relance le moon hoax. Le moon hoax, comme toute théorie du complot, repose ainsi sur une accumulation d’arguments hétérogènes plus ou moins baroques, qui peuvent d’ailleurs fort bien se contredire entre eux sans que cela ne pose problème. Simplifier le réel à outrance « Comme par hasard !

Juncker présente au Parlement européen ses propositions pour relancer l’Union Le président de la Commission considère son Livre blanc comme « l’acte de naissance » de l’UE sans les Britanniques. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) Cinq scénarios pour l’avenir de l’Union : le président de la Commission de Bruxelles, Jean-Claude Juncker, devait présenter, mercredi 1er mars dans l’après-midi, devant le Parlement européen, un Livre blanc contenant ses propositions pour relancer le projet européen ou, en tout cas, tenter de redéfinir ce qu’il devrait être à l’avenir. Le Luxembourgeois, qui a indiqué récemment qu’il ne briguerait pas de nouveau mandat en 2019, estime que le temps des tergiversations, des polémiques, des remises en question permanentes et du « shopping » – en référence au fait que les capitales peuvent décider d’appliquer, ou non, telle politique commune – a assez duré. Lire aussi : Brexit : le défi de l’Union à vingt-sept Dans son document sur les cinq scénarios, lu par Le Monde, M. Propositions concrètes

Brexit : amer compromis pour l’Europe Editorial du « Monde ». La décision des Britanniques de quitter l’Union européenne représente une régression pour le continent et traduit un échec collectif. Mais, acquise à 51,9 % en juin 2016, elle doit être respectée. L’accord sur les modalités de ce départ, conclu jeudi 17 octobre à Bruxelles, prévoit une rupture nette, un Brexit plus dur que celui, flou, qui avait été vendu aux électeurs. Mais, face à la menace d’un « no deal », il représente sans doute la moins mauvaise façon de traduire dans les faits ce divorce douloureux dont les citoyens des vingt-sept pays de l’Union, mais plus encore ceux du Royaume-Uni, vont faire les frais. Il ne s’agit certainement pas du « très bon accord à la fois pour l’UE et le Royaume-uni » vanté par Boris Johnson. En apparence, le texte repose sur des concessions réciproques à propos de l’Irlande du Nord, le nœud gordien du Brexit. Un vote très incertain M. Lire aussi : les points clés du nouvel accord du Brexit Certes, M. Le Monde

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