18 vidéos sur les nouvelles pédagogies Critique Gandhi de Richard Attenborough L’Inde est indépendante depuis le 15 aout 1947. Si un tel acte n’est possible que par la volonté de tout un peuple, c’est bel et bien grâce à Gandhi que le peuple d’Inde s’est libéré de l’empire colonial Britannique. En 1982, Hollywood, par l’intermédiaire du réalisateur Richard Attenborough, décide de porter la vie de Gandhi sur grand écran. Le film remportera 8 Oscars dont meilleur film et meilleur acteur. SynopsisLa vie de Gandhi et l’accès de l’Inde à l’indépendance. Le film raconte la vie de Gandhi, mais ce n’est pas réellement le sujet. Il est impossible de raconter en trois heures la vie d’un homme. Si le travail de reconstitution du réalisateur Richard Attenborough est incroyable, c’est surtout la performance de Ben Kingsley dans le rôle de Gandhi qui nous marque. En conclusion, Gandhi est un très grand film.
Situations-problèmes : regards croisés d'Astolfi et Meirieu Qu’est-ce qu’une situation problème ? La situation-problème est une situation d’apprentissage C’est un moyen d’apprentissage et non le résultat. C’est une stratégie d’enseignement qui favorise l’engagement des élèves. Elle permet la construction des savoirs. La situation-problème, c’est une tâche : globale, complexe, signifiante. La situation-problème est une tâche globale : elle est complète, c’est-à-dire qu’elle a un contexte (des données initiales) et qu’elle contient un but ; elle requiert plus d’une action, plus d’une procédure ou plus d’une opération à faire ; elle pourrait être décomposée en plusieurs parties ou éléments. La situation-problème est une tâche complexe : elle fait appel à plusieurs connaissances et à plus d’un type de connaissances (déclaratives, procédurales et conditionnelles) ; elle amène un conflit cognitif, la solution n’est pas évidente ; elle présente un défi à la portée de l’élève (réaliste et réalisable) ; La situation-problème est une tâche signifiante :
Meograph. Creer des histoires multimedia Meograph est un outil tice en ligne qui permet de créer des histoires multimédia facilement. Meograph est un outil de « storytelling » qui met à la portée d’un enseignant ou d’un élève la création d’un clip qui associe du son, une frise chronologique, une carte, et des illustrations qui peuvent être des photos ou des vidéos. C’est pour cela que Méograph se présente comme créateur d’histoires en quatre dimensions. Le principal atout de cet outil gratuit, c’est sa simplicité d’utilisation. Pas besoin d’un mode d’emploi compliqué, l’interface et la table de montage de votre histoire multimédia sont d’une ergonomie et d’un usage simples et faciles. Vous n’avez m^me pas besoin de vous inscrire pour créer une histoire. On crée une histoire en suivant un pas-à-pas proposé par la plateforme. Méograph vous propose un enregistrement directement depuis son interface, mais vous pouvez aussi uploader un Mp3. Dans la classe. Meograph pour l’éducation est gratuit et mérite amplement que vous le testiez.
Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Un objectif pédagogique doit être exprimé avec précision et clarté, mais ce n’est pas suffisant : Pour être complet, un objectif pédagogique devrait comporter (« devrait », car dans la pratique, les objectifs pédagogiques comportent rarement tous ces éléments) : Un comportement observable (c’est-à-dire vérifiable de manière formelle) : le comportement est indiqué par le verbe dont l’apprenant est le sujet, par exemple :« être capable de remplacer un disque dur SATA défectueux par un disque en bon état ayant les même caractéristiques techniques »Des conditions d’exécution, précisant comment est effectuée l’action, par exemple :« en utilisant la documentation constructeur n° XY-385″Des critères de performances, qui précisent les limites d’acceptation de l’action effectuée, par exemple :« en moins de 30 minutes, et avec un taux d’erreur de moins de 5% » Quelques exemples d’objectifs pédagogiques précis et complets :
Les légumes perpétuels Les légumes perpétuels Les légumes perpétuels sont des variétés de légumes généralement vivaces et rustiques : ils résistent aussi bien aux canicules de l'été qu'aux rigueurs de l'hiver. Elles survivent très bien dans leur milieu naturel, et donc ne nécessitent souvent aucun arrosage, désherbage, semis, labourage, butage ... - Oignon - Poireau - Choux - Céléri - Cerfeuil - Rhubarbe - Artichaut - Bette à tondre (Beta vulgaris var. cicla) - Chénopode Bon-Henri (Chenopodium bonus-henricus) - Chou perpétuel (Brassica oleracea) - Crambé maritime (Crambe maritima) - Cresson de jardin vivace (Barbarea verna) - Oseille épinard (Rumex patienta) - Pimprenelle (Sanguisorba minor) - Poireau perpétuel (Allium ampeloprasum) - Rhubarbe (Rheum rhaponticum) - Roquette vivace (Diploataxis tenuifolia) - Potimarron - Châtaignes - Panais - Crosne - Crosne du japon Le Chervis ombellifère C'est une plante vivace oubliée qui était pourtant présente dans tous les potager au moyen age. * Reproduction Céleri Oignon Ail
La carte de concepts Lorsque vous préparez une formation, vous devez établir les contenus à faire apprendre. Ces contenus se divisent en trois catégories : Le savoir : Il constitue le contenu théorique que les participants à la 1. formation doivent apprendre pour être en mesure de comprendre. Souvent nommé « théorie » ou « notion », le savoir doit être explicité pour que le formateur puisse le présenter et les apprenants se l’approprier. La partie la plus simple d’un savoir est le mot ou concept. Le savoir-faire : Il constitue le contenu pratique que les participants à 2. la formation doivent être en mesure de réaliser pour démontrer leurs capacités. Le savoir-être : Il constitue le contenu comportemental que le 3. participant doit manifester, à la fin de la formation, pour être en mesure d’utiliser le savoir et de réaliser le savoir-faire visé par les objectifs. L’outil de la carte de concepts facilite le travail du formateur en lui permettant d’organiser les savoirs de sa formation. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
Une nouvelle manière d’enseigner : Participer ensemble à une recherche de sens L’approche pédagogique de Britt-Mari Barth A travers ses recherches et les livres dans lesquels celles-ci sont exposées, Britt-Mari Barth propose une nouvelle manière d’enseigner. Mais, en quoi les pratiques traditionnelles deviennent-elles aujourd’hui contre productives ? Les pratiques traditionnelles deviennent contreproductives dans ce sens qu’elles ne prennent pas en compte ce qu’on sait aujourd’hui sur la façon dont on apprend. Britt-Mari Barth a un parcours original, puisque de nationalité suédoise, elle est venue s’installer en France. Justement, je voulais inviter les élèves à participer à des activités qui les incitaient à réfléchir, à chercher à comprendre, à participer à des interactions, à trouver un intérêt à cette recherche de sens, un peu comme des chercheurs le font… Pour cela j’ai conçu des « scénarios », qui peuvent se comparer à des jeux de société, avec des règles qu’il faut suivre pour atteindre le but. La cinquième condition nous mène vers la métacognition.
Edgar Morin : "Il faut enseigner ce qu'est être humain" Edgar Morin, sociologue et philosophe, directeur de recherche émérite au CNRS, plaide pour une prise en compte de la complexité dans l'enseignement. Il intervient au WISE, sommet mondial pour l'innovation dans l'éducation, qui se tient du 29 au 31 octobre à Doha, au Qatar. Quelle est la mission des enseignants du XXIe siècle ? Edgar Morin : La mission essentielle de l'enseignement est de nous préparer à vivre ! Vous souhaitez même qu'on enseigne dès le primaire des notions d'épistémologie : qu'est-ce que la connaissance ? On donne des connaissances sans enseigner ce qu'est la connaissance. D'ailleurs, je trouve que, par la pluridisciplinarité de sa compétence, le maître du primaire est plus réceptif à l'interpénétration des connaissances que celui du lycée ou de l'université, jaloux de sa souveraineté disciplinaire. On n'enseigne pas non plus la compréhension d'autrui et de soi-même, ce qui est également vital. Vous portez un regard sévère sur l'enseignement actuel ... Non.
Communication non violente Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. La Communication NonViolente ou CNV ("Nonviolent Communication" en anglais) est un ensemble de concepts et d'outils destinés, selon ses promoteurs, à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres[1]. Ce processus de communication a été initié par Marshall B. Rosenberg dans les années 1970 qui s'est inspiré notamment des travaux du psychologue Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales. Le terme non-violent est en référence au mouvement de Gandhi et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire (voir ahimsa). Pour le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication ou CNVC), promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée[2]. Enjeux La girafe est le symbole de la communication non violente Résultats et impacts
Aménager autrement sa salle de classe : une clé de la réussite des élèvesLeWebPédagogique Depuis le début de l’année scolaire, j’ai pris l’habitude de m’exiler dans d’autres salles que la mienne. J’ai enseigné dans la classe de mon collègue d’Arts plastiques, au CDI, en salle informatique, dans la salle polyvalente, dans une prairie surplombant la ville ou dans les couloirs des musées. L’activité menée avec les élèves justifie de changer d’espace de travail. Débat argumenté, lecture de paysage, cours magistral, travail de groupes, TICE, atelier artistique : le panel des activités pédagogiques nécessite un équipement et une configuration de l’espace spécifiques. Rester entre les quatre murs de ma classe limite ma pratique professionnelle : les élèves n’ont pas accès à un ordinateur hormis le mien (je reste donc le principal pourvoyeur d’informations), je manque de ressources papiers (dictionnaires, atlas, magazines attendent patiemment au CDI), le seul vidéoprojecteur interactif de l’établissement est en salle informatique et le lot d’IPAD un matériel dont je rêve encore.
Les légumes perpétuels Voici une curieuse façon de cultiver un potager mais que les futés du jardinage adopteront volontiers. Parmi les légumes, un certain nombre peuvent survivre plusieurs années et continuer à produire pendant de longs mois. Plus besoin de labourer, semer et conserver la récolte ! Rustiques, ils peuvent pousser partout en France, parmi les fleurs ou le potager pourvu que l’endroit soit ensoleillé. Les légumes perpétuels sont souvent proches des espèces sauvages aussi leur saveur souvent typée fait le bonheur des gourmets. 1 - L’oignon rocambole (Allium cepa var proliferum) On le dit perpétuel car vous n’avez pas besoin d’arracher la plante pour consommer les bulbes et il reste en place de nombreuses années. Les tiges vertes de 50 cm à 1 m de haut, remplacent agréablement le poireau ou la ciboule. v Au printemps ou à l’automne, plantez ses bulbilles ou semez les graines, dans une terre plutôt sableuse et humide, à exposition ensoleillée, ou bien en pot pour orner terrasses et balcons.