
Libération.fr – Le P'tit Libé Utiliser la Communication Non Violente dans un groupe Qu'on soit en entreprise, en milieu scolaire, dans une association ou dans un cadre familial, la communication fait souvent défaut et dégénère en rapport de force. Face à ce constat, Marshall B. Rosenberg a initié un processus de communication inspiré notamment des travaux des psychologues Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales et a donné naissance à la Communication Non Violente. Qu'est-ce que la Communication Non Violente ? Il s'agit d'un ensemble de concepts et d'outils destinés à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres. Pour le Centre pour la Communication Non Violente promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée. Quel impact sur le territoire ? Mettre en place la Communication Non Violente Mettre en place la Communication Non Violente permet au groupe de : Comment faire ? 1. 2. 3. 4.
Jouons la carte de la fraternité 2014 La Ligue de l’enseignement a un rôle d’animateur de campagne nationale autour de la problématique du racisme. Depuis 1984, elle participe, au sein d’un collectif composé d’associations, de syndicats et de mouvements d’éducation populaire, aux Semaines d’éducation contre le racisme. Dans ce cadre, la Ligue de l’enseignement a lancé sa propre opération, baptisée « Jouons la carte de la fraternité ». À cette occasion, plus de 100 000 enfants et jeunes adressent chaque année un message de fraternité à des inconnus dans leur département. Un comité de pilotage sélectionne chaque année 6 cartes postales photographiques. Enfin, le texte finalisé est écrit sur la carte postale. Télécharger l’affiche Télécharger le dossier pédagogique
Permis Piéton - on n'est jamais aussi bien protégé que par soi même ! Qu'appelle-t-on triangle dramatique (victime, persécuteur, sauveteur) ? Dans son livre Sortir du triangle dramatique, Bernard Raquin explique en quoi consiste le triangle dramatique de Karpman. Le triangle dramatique est un jeu psychologique, c’est-à-dire un scénario pratiqué inconsciemment et qui peut se répéter tout au long de la vie s’il n’est pas conscientisé. Le jeu psychologique est un système de comportements si codifiés et habituels qu’ils en paraissent naturels. Dans un échange/ une relation, si un des protagonistes opte pour un des rôles du triangle dramatique, les réactions se déclenchent automatiquement. Les partenaires se manipulent eux-mêmes et l’un l’autre. Ce jeu psychologique nous offre le choix entre trois positions inconfortables, limitantes et douloureuses : être une victime La victime se sent impuissante et irresponsable et espère que quelqu’un soulagera son malaise interne. La victime est davantage tournée vers elle-même, se sent impuissante et compte sur les autres pour régler ses problèmes ou ceux de la société. Sur le même thème
La famille en débat Ce serait faire preuve d’une certaine naïveté que de considérer la question du mariage homosexuel et de l’homoparentalité comme une question secondaire. La Ligue de l’enseignement est plurielle et ses adhérents peuvent se rejoindre dans un effort commun pour préciser la discussion, pour cerner ce qui est accessoire et ce qui compte davantage, pour essayer de mieux comprendre le fond du débat et se concentrer sur l’essentiel. C’est tout l’enjeu de ces quelques pages, qui visent à remettre en perspective les discussions en cours.Lire l’édito Etat des lieuxDu Pacs au mariage homosexuel La création du pacte civil de solidarité (Pacs) en 1999 a suscité des débats enflammés. La famille, repère des jeunes La famille est une institution d’une vitalité étonnante, consolidée plutôt qu’ébranlée par les mutations culturelles du XXIe siècle. « Est-ce naturel ? AnalysesLe droit mis à l’épreuve Le droit n’a cessé de modifier la famille légale et, par conséquent, les règles de succession.
Les 5 risques du cycliste urbain La roue des émotions : un outil d'intelligence émotionnelle et de non violence pour les enfants Connaître et accueillir ses émotions est un pilier de la non violence et du bonheur. Tant que le cerveau n’a pas atteint sa pleine maturité (pas avant 20 ans, certains chercheurs affirmant même vers 30 ans), les processus de gestion des émotions ne sont pas totalement fonctionnels. L’enfant a alors des difficultés à contrôler et maîtriser ses réactions émotionnelles. L’enfant n’est pas en mesure de gérer l’ensemble des émotions qui affluent en lui du fait de l’incomplétude de ses réseaux neuronaux. Le cortex préfrontal est incapable de jouer son rôle de régulateur des émotions fortes. L’apprentissage du langage des émotions aura alors sur l’enfant un impact sur son comportement social, et notamment sa capacité à surmonter le stress, à gérer son agressivité et à exprimer ses affects. Par ailleurs, un enfant qui enfouit ses émotions, ses peurs, qui ne peut pas manifester sa joie ou sa colère, n’apprend pas à tenir compte de ce que lui ou les autres ressentent.
Les droits de l'enfant Chargement... Image suivante Moduloroute, Education routière collège lycée, Support pédagogique jeunes Des modules interactifs pour mieux comprendre les risques routiers (web + CD-Rom). Objectifs : Comprendre le bien-fondé des règles de sécurité routière (distance de sécurité, port de la ceinture de sécurité…) et mieux appréhender certains dangers (alcool, cannabis, téléphone au volant…) Contenu : Moduloroute est composé de modules présentant de manière interactive et ludique douze thématiques de sécurité routière. Moduloroute existe aussi sur support CD-Rom afin que vous puissiez l’utiliser facilement en classe ou dans le CDI de votre établissement. Moduloroute est « reconnu d’intérêt pédagogique » (label RIP) par le ministère de l’Éducation nationale. Se procurer ce support : Vous êtes enseignant : demandez la version CD-Rom de Moduloroute au comité de l’association Prévention Routière de votre département. Grâce au soutien de Assureurs Prévention, ce support vous sera remis gracieusement.
Et si on apprenait la paix dans le monde à l’école en jouant Au même titre que l’a fait Charlie Chaplin dans sa célèbre scène où il incarne Hitler qui joue avec un globe terrestre, si nous laissions jouer les enfants avec le monde en classe pour apprendre la vie, pour la rendre meilleure et ne pas reproduire les mêmes erreurs que leurs ancêtres. Qu’en serait-il ? Et si nous donnions le champ libre aux enseignants, plutôt que de leur imposer un programme ? Après tout, n’apprenons-nous pas de nos propres expériences et qui de plus expérimenté qu’un enseignant qui est lui-même passé sur les bancs de l’école et qui sait mieux que quiconque, en tant que pédagogue, ce qu’il y a à faire et à ne pas (re)faire ? Les programmes scolaires d’aujourd’hui ne sont-ils pas trop classiques et obsolètes ? Vous vous dites que voilà bien beaucoup de questions réunies en trois paragraphes dans un article où on est censé trouver des pistes et/ou des réponses. Un jeu de plateau Chaque élève joue un rôle choisi en commun accord avec l’enseignant. La Fondation
Edgar Morin : « Nul ne naît fanatique » Nul ne naît fanatique, rappelle le sociologue et philosophe. Pour empêcher le basculement dans la radicalité, l’enseignement devrait œuvrer sans relâche à délivrer la connaissance et à repérer les illusions. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Edgar Morin (Sociologue et philosophe) Par Edgar Morin, sociologue et philosophe La première déclaration de l’Unesco à sa fondation avait indiqué que la guerre se trouve d’abord dans l’esprit, et l’Unesco a voulu promouvoir une éducation pour la paix. Cela dit, en temps même de paix peut se développer une forme extrême de l’esprit de guerre, qui est le fanatisme. Une structure mentale commune Nous avons pu constater dans l’histoire des sociétés humaines de multiples irruptions et manifestations de fanatisme religieux, nationaliste, idéologique. Le mot de « terrorisme » est à chaque fois employé pour dénoncer ces agissements tueurs, mais il ne témoigne que de notre terreur et nullement de ce qui meut les auteurs d’attentats.
L'empathie de l'enseignant, source de réussite scolaire Pour renforcer la motivation et les compétences des élèves, la clé du succès tient en un mot : empathie ! C’est ce que tend à démontrer une étude de grande ampleur menée par trois universités finlandaises (1). Depuis 2006 et jusqu’en 2016, les chercheurs suivent les parcours de plusieurs milliers d’enfants, en se focalisant sur les interactions avec leurs professeurs, ainsi que les coopérations entre parents et enseignants. Selon les premiers résultats de l’enquête, l’attitude empathique et chaleureuse de l’enseignant agit favorablement sur la motivation et les compétences des enfants, aussi bien en lecture, écriture ou arithmétique.
La pyramide des besoins de Maslow Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Voici l’explication de chacun des niveaux. Besoins physiologiques: Ils sont liés à la survie. Besoin de sécurité : Ce besoin se réfère au fait que tout individu doit se protéger des dangers. Besoin d’appartenance et affectif : Ce besoin a une dimension sociale. Besoin d’estime : Il est le prolongement du besoin précédent. Besoin de s’épanouir : Ce besoin se retrouve au sommet des aspirations humaines. Nous devons tenir compte, en tant qu’enseignant, de ces besoins. Voilà donc la pyramide vue sous un regard ayant une vision pédagogique: Besoins physiologiques : L’enseignant doit toujours s’assurer que l’enfant est prédéterminé à écouter.