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Fichier:Comment réperer de « fake news » (How To Spot Fake News).jpg

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Related:  Fiabilité de l'info / Fake news / complotisme / fact checking / viralisationDésinformation/fake newsFormation esprit critique - CLEMI - 7 février 2019

Ateliers Déclic' Critique - CLEMI Des ateliers filmés en classe par des formateurs du CLEMI Le CLEMI intervient dans les classes et propose des ateliers Déclic’Critique dans le premier et le second degrés. Objectif? Apprendre aux élèves à décoder les médias et l’information. Chaque atelier dure environ 1h et sensibilise les élèves aux problématiques du numérique. Modules vidéo et kit pédagogique Ces ateliers sont filmés et font ensuite l’objet d’un montage vidéo d’environ 5 minutes illustrant des cas concrets d’éducation aux médias et à l’information et destinés aux enseignants. Pharrell Williams refuse que Donald Trump utilise « Happy » dans ses meetings Quelques heures après la tuerie de Pittsburgh, le président utilisait le titre « Happy » du chanteur, qui le menace de poursuites judiciaires. LE MONDE | 30.10.2018 à 17h54 • Mis à jour le 30.10.2018 à 18h12 | Par Pierre Bouvier D’un côté, il y a la « bromance » entre Donald Trump et Kanye West (plus quelques rockeurs dispensables comme Ted Nugent et Kid Rock), et de l’autre, la cohorte des musiciens qui contestent l’utilisation de leurs œuvres par le 45e président des Etats-Unis. Le chanteur Pharrell Williams vient d’entrer dans la danse en s’en prenant au président, rapporte le site du Hollywood Reporter. De l’hommage au meeting politique L’avocat affirme encore que « Pharrell Williams n’a pas accordé et n’accordera pas à Trump la permission de jouer ou de diffuser sa musique », et soutient que l’utilisation de Happy sans son consentement constitue une violation du droit d’auteur. Les artistes contre Trump Des précédents plus ou moins connus

Incendie à Notre-Dame de Paris: Disparition des rosaces, origine du feu, silhouette sur le toit... Attention aux intox Edit : Cet article, publié initialement le 16 avril à 00 h 40, est mis à jour régulièrement avec de nouvelles informations. Disparition des rosaces, origine de l’incendie… Ce lundi soir, alors que Notre-Dame-de-Paris est toujours en proie aux flammes, plusieurs intox se sont répandues sur les réseaux sociaux. 20 Minutes démêle le vrai du faux. Trois rosaces n’ont pas disparu Le compte Twitter La Plume libre a soutenu à 22 h 11 que les rosaces nord, ouest et sud « ont explosé et disparu dans l’incendie ». A cette heure, aucune source officielle n’avait confirmé cette information. Mardi en début d’après-midi, Franck Riester, ministre de la Culture, s’est montré rassurant, en indiquant « les grandes Roses (les rosaces de l’édifice religieux) n’ont apparemment pas subi de dommages catastrophiques ». Un homme sur le toit de la cathédrale ? La photo alimente des théories du complot. Notre-Dame-de-Paris déjà ravagée par un incendie ? Non, le feu n’a pas été déclaré « intentionnellement »

Complotisme en France : une nouvelle enquête d’opinion Conspiracy Watch-Fondation Jean-Jaurès | Conspiracy Watch [EXCLUSIF] « Manipulation » autour de l’attentat de Strasbourg, « complot sioniste mondial », « assassinat » de Lady Diana, Illuminati… : pour la deuxième année consécutive, une grande enquête de l’Ifop tente d’estimer l’influence de ces thèses conspirationnistes chez les Français. Un an après une première enquête de grande ampleur sur la prégnance du complotisme dans l’opinion publique française et alors que ce phénomène semble de plus en plus perceptible, la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch poursuivent leur partenariat. Une nouvelle enquête, réalisée par l’Ifop du 21 au 23 décembre 2018 et menée auprès de 1 760 personnes, met en lumière l’influence préoccupante des représentations conspirationnistes dans la société française : si deux Français sur trois peuvent être considérés comme relativement hermétiques au complotisme, 21% des personnes interrogées se déclarent cependant « d’accord » avec 5 énoncés complotistes parmi les 10 qui leur ont été soumis. Contact presse :

Découvrir les fake news Objectifs : Comprendre ce que sont les rumeurs et les fake news, comment elles se propagent et comment les déjouer. Développer son esprit critique face à l’information circulant sur internet. Découvrir un outil pour vérifier la fiabilité d’un site. Définir des règles à adopter dans sa démarche d’information sur internet. Séance : J’ai décidé de lancer cette séance en confrontant directement les élèves à une fake news, sans qu’ils en aient d’abord conscience. Après ce premier "choc", on prend du temps pour expliquer le pourquoi de cet article, son contexte (ici, c’est le Gorafi), puis on réfléchit aux notions de rumeur et de fake news, lesquelles peuvent déjà aisément être mises en lien avec toutes les informations qui circulent au collège. Enfin, il est important de réfléchir à des solutions pour démasquer ces fake news et savoir valider une information. Prolongement : Rédiger une fake news.

Il y a 80 ans : une théorie du complot comme prétexte à la « Nuit de Cristal » | Conspiracy Watch Transmué en « complot juif », l’assassinat d’un diplomate allemand à Paris par un jeune Juif d’origine polonaise sert de prétexte aux nazis pour déclencher la « Nuit de Cristal », étape cruciale de la persécution anti-juive dans l’avant-guerre. Incendie de la synagogue de Hanovre (Allemagne), le 9 novembre 1938 / photographie de Herschel Grynszpan Le 7 novembre 1938, Herschel Grynszpan, Juif allemand d’origine polonaise âgé de 17 ans, pénètre dans l’Ambassade d’Allemagne en France, rue de Lille (Paris, VIIe arrondissement), et tire sur un diplomate du Reich, Ernst vom Rath. Ce dernier décède deux jours plus tard à l’hôpital. La LICA en ligne de mire Pour les nazis, le crime de Grynszpan constitue une nouvelle preuve de la haine qu’éprouveraient les Juifs à l’égard de l’Allemagne. Autodéfense juive Les journaux allemands et les publications antisémites françaises sont prompts à rappeler deux précédents. Un geste individuel Que lisait donc Grynszpan ? Prétexte

Info vs intox - Vidéo Fake news : comment distinguer une info d'une intox ? - Je suis Karine Baste Régis, je présente le "6h Info" sur France 2 et "la matinale" sur France Info. - Et je suis Cyrus North, j’ai une chaîne Youtube spécialisée en philo et en société. On voulait vous parler des fake news, un terme qu’on entend beaucoup mais qui a une signification assez complexe. - Une fake news, c’est une info présentée comme authentique mais qui est en réalité complètement bidon. - Ouais et ici on a clairement un but humoristique et satirique, c’est-à-dire qu’on est là pour se moquer et se marrer. - Très amusant, ça. - Non, mais ce n’est pas vraiment ces fake news-là, qui posent le problème. - Et oui, alors la NRA diffuse une courte vidéo dans laquelle on voit Emma González déchirer la constitution des Etats-Unis. - L'utilisation d'une fake news dans le but de tromper on appelle ça de la désinformation, et c'est une technique vieille comme le monde ! - Oui, clairement oui. - Le fameux "putaclic" ! - Fake News ...

Enquête complotisme 2019 : les grands enseignements Les grands enseignements Cette nouvelle enquête, réalisée par la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch, avec l’institut Ifop, en décembre 2018, met en lumière l’influence préoccupante des représentations conspirationnistes dans la société française : si deux Français sur trois sont relativement hermétiques au complotisme, 21 % des personnes interrogées se déclarent cependant « d’accord » avec 5 énoncés complotistes parmi les 10 qui leur ont été soumis. Les moins de 35 ans, les moins diplômés et les catégories sociales les plus défavorisées demeurent les plus perméables aux théories du complot : 28 % des 18-24 ans adhèrent à 5 théories ou plus, contre seulement 9 % des 65 ans et plus. Invités à se prononcer séparément sur l’attentat de Strasbourg du 11 décembre 2018, seuls les deux tiers des sondés estiment que la version des autorités est conforme à la réalité. 10 % pensent qu’il s’agit d’une manipulation du gouvernement. Contexte Méthodologie La possibilité de ne pas se prononcer

Hoax, rumeur et désinformation A l’heure ou les élèves utilisent quotidiennement les mails, les réseaux sociaux, il nous a semblé indispensable de les faire réfléchir sur ce qu’est la rumeur, la manière de la détecter, avec un esprit critique. Dans le cadre du Mooc Médias, nous avons décliné cette idée en l’adaptant à deux situations différentes avec une trame commune mais des étapes et des outils adaptés : une classe média impliquant le professeurs de lettres et le professeur documentaliste d’une part, et une séquence anglais / documentation d’autre part. Nom des enseignants : Margaret Tisserand, Delphine Poirier, Sarah Staunton, Cécile Diet E-mail : margaret.tisserand@ac-besancon.fr *protected email* , delphine.binetruy@ac-besancon.fr , sarah-alison.staunton@ac-besancon.fr , cecile.diet@ac-besancon.fr Descripteurs : désinformation, source d’information, évaluation de l’information, éducation aux médias Date de la création de la ressource : Mai 2016 Date de péremption de la ressource : Mai 2021 Compétences Compétences EMI

Espace familles - CLEMI L’explosion de nos pratiques numériques a redéfini les défis de la parentalité et bouleversé les dynamiques familiales. Quels réflexes adopter face à la désinformation ? Comment conseiller vos enfants sur les réseaux sociaux et les protéger des images violentes ? Quelles sont les règles à respecter et à inventer dans ce monde d’ultraconnexion dans lequel ils grandissent ? Pour apporter des réponses, le CLEMI, Centre dédié à l’éducation aux médias et à l’information, étend sa mission au-delà des murs de l’école pour écouter, comprendre et accompagner les parents et sensibiliser l'ensemble de la communauté éducative. Ces ressources ont pour vocation de fournir des éclairages utiles et des conseils pratiques.

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