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De bonnes conditions de travail, ça vous branche ?

Related:  Q3. Comment concilier GRH et coût du travail ?QG1 CADRE JURIDIQUE

Emploi : pourquoi il faut bichonner ses salariés Cet article date de plus de sept ans. Publié le 17/06/2015 15:36 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par Pour garantir une qualité de vie au travail adéquate à leurs employés, certaines entreprises multiplient les initiatives. En cette semaine pour la qualité de vie au travail, une équipe de France 2 a rendu visite à un cabinet de conseil de Sèvres (Hauts-de-Seine). Lucie Piedelièvre, chargée des ressources humaines, explique : "Le but est de faire en sorte qu'il y ait une super ambiance, un bon état d'esprit. Tous ces avantages ne sont pas sans contrepartie de la part des 100 salariés. Pour Hervé Lanouzière, de l'agence pour l'amélioration des conditions de travail, les entreprises ont tout intérêt à favoriser le bien-être de leurs employés : "Un des leviers actuels de la performance est d'agir sur les conditions de vie au travail". Partager :

Dépenses sociales: la France reste le pays le plus généreux de l'OCDE Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi La France reste le pays dont les dépenses sociales sont les plus élevées de l'OCDE, celles-ci représentant 32% du PIB en 2018. Le pays garde sa première place dans le classement, qu'il occupe depuis 2014. Retraites, santé, famille, emploi: les dépenses sociales publiques ont représenté l'an dernier 32% du produit intérieur brut (PIB) de la France, qui reste de loin le pays riche le plus généreux en la matière, selon une étude publiée mercredi par l'OCDE. Comme en 2016 et en 2014, la France arrive nettement en tête du classement établi par l'Organisation pour le développement et la coopération économiques. Avec des "dépenses publiques brutes" équivalentes à 32% de son PIB, l'Hexagone devance sur le podium la Belgique (28,9%) et la Finlande (28,7%). L'Italie et la Grèce dépensent plus pour les retraites La France n'est pourtant pas la plus dépensière dans toutes les catégories. Plus de graphiques sur le site de Statista Tweeter Partager

ENQUETE FRANCE 2. Cadences effrénées, forte pression, salaire minimum... Dans les coulisses des "drives" des supermarchés Publié le 30/10/2018 20:28 Mis à jour le 31/10/2018 11:34 Durée de la vidéo : 4 min Comment les services "Drive" des supermarchés peuvent-ils livrer en quelques minutes les courses à leurs clients ? France 2 a enquêté sur les conditions de travail du secteur en se faisant employer dans un de ces magasins. "Le but c’est que tu fasses une livraison en moins de cinq minutes", explique d'emblée le formateur. Cinq minutes, ça c’est pour la théorie. Dans ce temps record, les salariés doivent trouver les codes correspondant aux commandes à livrer, les scanner avec un appareil appelé “douchette”, qui chronomètre chacun de leurs gestes et enfin livrer les sacs au client dans sa voiture. Dès qu’un nouveau client arrive, une alarme, pour le moins désagréable aux oreilles, retentit dans tout l’entrepôt. Ce rythme est tellement effrené qu'une salariée affirme parcourir 23 km par jour. Une situation dénoncée par les syndicats.

Horaires de travail atypiques : nuit, samedi, dimanche, on vous dit tout ! Le travail en soirée, la nuit, le samedi ou le dimanche concerne de nombreux salariés français. Combien précisément, c’est ce qu’a étudié la Dares en s’appuyant sur une enquête de l’Insee réalisée en 2017. Les résultats ont été publiés en Juin 2018. Bilan : 44% des salariés français sont concernés au moins une fois par mois par des horaires de travail atypiques. Vers une diversification des horaires de travail Ce ne sera une découverte pour personne, le bon vieil horaire de bureau de 8h30 à 17h30 du lundi au vendredi, tend à ne plus être une norme même s’il reste le modèle majoritaire. Comment définir un horaire atypique ? Pour la Dares, « les horaires de travail atypiques s’opposent aux horaires standards en journée, du lundi au vendredi. Combien de salariés sont concernés ? Parmi les salariés, la DARES estime qu’ils sont 44% (soit 10,4 millions de personnes) à être soumis au moins une fois par mois à des horaires atypiques. Des horaires de travail atypiques souvent répétitifs

sans titre Célèbre pour ses brioches et ses viennoiseries industrielles, le groupe Pasquier est l’une des premières entreprises à avoir testé la méthode dite du « management socio-économique » mise au point par l’Institut de socio-économie des entreprises et des organisations (Iséor). Concrètement, il s’agit de faire reculer l’absentéisme en regonflant la motivation de ses salariés. Première règle : chez Pasquier, qui compte 4000 salariés répartis sur 18 usines dans le monde, chaque site, spécialisé sur un métier, un produit ou un client, reste à taille humaine. L’objectif est d’éviter l’anonymat et les problèmes qui pourraient en découler. Autre règle mise en place dans les usines du groupe : « les salariés ont une très forte autonomie sur leur poste de travail, détaille Henri Savall, président-fondateur de l’Iséor. Et les résultats semblent plutôt probants. «Replacer l’humain au cœur du magasin» « En 2017, la surface du magasin a été multipliée par deux, le nombre de salariés également.

Emploi : l'absentéisme en hausse chez les salariés du privé ENTREPRISE - Le taux d'absence des salariés du privé s'est élevé en moyenne à 4,72% en 2017, en hausse par rapport à 2016 (4,59%), selon un baromètre publié jeudi. Cet absentéisme est plus marqué chez les femmes et les plus de 55 ans. 06 sept. 2018 16:03 - La rédaction de LCI Des arrêts maladie de plus en plus fréquents dans le privé. Dans le détail, le taux d'absence des salariés du privé s'est élevé en moyenne à 4,72% en 2017, en hausse par rapport à 2016 (4,59%). 45% des absences correspondent à "plus d'un mois d'arrêt consécutif" En outre, l'autre grande disparité entre salariés relève de l'âge. Le taux d'absence - l'enquête prend en compte les arrêts pour maladie, accidents de travail, accidents de trajet et maladies professionnelles mais pas les congés maternité et paternité - varie également significativement d'un secteur à l'autre.

La pyramide des besoins de Maslow – Psychologue du Travail La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L’article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of Human Motivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d’une pyramide, mais cette représentation s’est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de hiérarchie, et il en a une vision dynamique. La pyramide est constituée de cinq niveaux principaux. Source : C’est au contact de l’Autre que Je me modifie. C’est sur cette distinction que s’appuie le modèle de McClelland, psychologue qui étudie dans les années 60 le lien entre le développement économique d’un pays et sa culture entrepreneuriale (comprenons développement de projets dans un objectif de création d’entreprise).

Sieste obligatoire pour les soignants aux urgences de l'hôpital d'Évreux Aux urgences de l'hôpital d'Évreux, la sieste est obligatoire pour les médecins de garde depuis un an et demi, et depuis six mois pour les infirmiers et infirmières. Il est vrai qu'au départ, les personnels étaient plutôt dubitatifs sur l'intérêt de la sieste. "Pour travailler bien, il faut travailler heureux", leur répond le chef du service des urgences de l'hôpital d'Évreux, le docteur Arnaud Depil-Duval. C'est ainsi que deux protocoles ont été signés pour encadrer des temps de sieste qui, à écouter le praticien hospitalier, n'ont que des avantages, même si les mettre en place et les faire accepter aux soignants n'a pas été une mince affaire. Je dois parfois engueuler les médecins pour qu'ils aillent se reposer" - Arnaud Depil-Duval, chef des urgences de l'hôpital d'Évreux Un dispositif inspiré des armées Arnaud Depil-Duval est médecin réserviste. Soignant reposé, patient en sécurité Les premiers retours sont positifs. Plus on est fatigué, plus on augmente le risque d'erreur.

Qu'est-ce qui détermine les conditions de travail ? Organisation, environnement, relations professionnelles, sens du travail, exigences des salariés... Une définition L'expression "conditions de travail" désigne un "ensemble de faits dont dépend le travail". Sans ces "faits", le travail n'est pas possible. Reste à définir ces faits... Plus que des faits, il s'agit des conditions dans lesquelles le travail peut être réalisé. On peut les classer en 4 grandes familles : La combinaison de ces éléments détermine les conditions de travail. En savoir plus : Comment regarder le travail ? 4 étapes pour comprendre le travail : la... par ARACT-PaysdelaLoire

Harcèlement sexuel au travail: ce que dit la loi Tout comme le harcèlement moral, le harcèlement sexuel au sein de l'entreprise est prévu et réprimé par le code du travail et par le code pénal. Le but du législateur est de protéger les salariés contre de tels agissements. Le point avec Maï Le Prat, avocate en droit social. LIRE AUSSI >> "Ma cliente a été victime d'un harcèlement moral et sexuel" 1. Le harcèlement sexuel est défini par le code du travail à l'article L. 1153-1. Selon la Cour de cassation, un fait unique peut suffire à caractériser le harcèlement sexuel (Cass. soc., 17 mai 2017, n° 15-19.300). LIRE AUSSI >> "Il aurait mis la main aux fesses de l'apprentie et l'aurait incitée à boire" LIRE AUSSI >> Un tiers des Françaises auraient déjà été victimes de harcèlement sexuel Enfin, aucun salarié, aucune personne en formation ou en stage ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire pour avoir témoigné de faits de harcèlement sexuel ou pour les avoir relatés (article L 1153-3 du code du travail).

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