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Rotterdam, géant des mers

Rotterdam, géant des mers
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Ikea, la mondialisation vue de l'intérieur En 70 ans, Ikea s'est imposé dans 41 pays. La marque suédoise connaît mieux que personne les habitudes domestiques de ses millions de clients. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Laure Belot Quel est l'ouvrage le plus publié au monde après la Bible et le Petit Livre rouge ? Le catalogue Ikea. Et pourtant, personne n'est au courant : dimanche 28 juillet, le fabricant de meubles suédois fêtera ses 70 ans. Il est vrai que le fringant septuagénaire, au capital sympathie certain – allez trouver ailleurs un canapé convertible à 131 euros ! Faut-il y voir un lien ? Les informations enfin obtenues sont saisissantes. Premier constat : telle la Grande Muraille de Chine visible de la lune, Ikea marque déjà la planète de son empreinte. Une mécanique marketing bigrement efficace : prix abordables, astuces foisonnantes, lignes épurées... les 9 000 produits maison ont révolutionné l'habitat jeune et moderne de la fin du xxe siècle. Le jeu de la mondialisation en quatre familles, donc.

La Somalie, piraterie et affairisme Depuis 2008, l’Union européenne est présente au large des côtes somaliennes à travers l’opération « Atalante » (EUNAVFOR), aux côtés des Etats-Unis et de l’OTAN et de pays présents à titre individuel (Chine, Russie, Inde, Iran, Japon…). Soit une trentaine de navires de guerre couvrant une surface supérieure à celle de la mer Méditerranée. Malgré ce déploiement, les attaques des pirates n’ont jamais été aussi nombreuses qu’en 2010, et les premières semaines de l’année 2011, bien que marquées par quelques interceptions et libérations réussies, ne semblent pas montrer d’inflexion (il y aurait aujourd’hui 1 181 membres d’équipage retenus en otages le long des côtes somaliennes). Les attaques s’effectuent de plus en plus loin du littoral (là où la surveillance maritime s’estompe), jusqu’à 1 500 kilomètres des côtes africaines, soit entre les Seychelles et Maldives vers l’est, et jusqu’au canal du Mozambique au sud. Une « approche globale » pour dépasser la piraterie Il y a en effet urgence.

Les hyper-lieux : une nouvelle espèce d’espace - Les Inrocks : magazine et actualité culturelle en continu A l’encontre des analyses qui voient le monde comme de plus uniforme et indifférencié, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose les “hyper-lieux”. Des espaces intenses et divers où s’exprime la créativité et la volonté d’engagement social et politique de ceux qui les occupent. Aux “non-lieux“, autrefois théorisés par Marc Augé, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose aujourd’hui les “hyper-lieux“, comme régime spatial dominant à l’heure de l’urbanisation généralisée des espaces. Des lieux intenses où s’inventent des nouvelles formes de vie politiques et sociales. Concluant une trilogie démarrée avec L’Homme spatial et L’Avènement du monde, Hyper-Lieux renouvelle de manière fulgurante la pensée de la spatialité contemporaine. D’où vous est venue l’intuition de définir les espaces urbains dominants d’aujourd’hui comme des “hyper-lieux” ? (Flickr) Comment comprenez-vous le succès de ce concept de non-lieu ? Deux raisons au moins l’expliquent.

La carte des pays qui n'utilisent pas Facebook Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. D’où l’idée de proposer une vision quelque peu différente: celle des endroits sur la planète où Facebook n’a pas encore réussi à conquérir les foules. Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. D’où l’idée de proposer une vision quelque peu différente: celle des endroits sur la planète où Facebook n’a pas encore réussi à conquérir les foules. C’est ce que propose FlowingData, reprenant une carte réalisée par Ian Wojtowicz, la « UnFacebook Map », un étudiant en arts graphiques, qui a utilisé pour cela une carte de la NASA montrant la Terre de nuit. (source)

Productions Numériques - Un monde d'océans - Webproductions Dans les glaces du Groenland Il y a plus de 80 ans Alfred Wegener entreprenait la plus grande expédition encore jamais tentée au Groenland. Une véritable aventure à rebondissements, qui pose les bases des expéditions scientifiques polaires. Du plastique plein la mer Un web-documentaire d’Alexander Lahl et Max Mönch sur l’omniprésence du plastique dans les océans et ses effets sur les organismes marins… et au final sur nous ? Une enquête surprenante auprès des plus grands spécialistes. Le monopoly des océans Un web-documentaire d’Alexander Lahl et Max Mönch. Des projets interactifs réalisés en partenariat avec le « Wissenschaftsjahr 2016*17 ».

(20+) Dix questions pour comprendre le conflit en mer de Chine méridionale Ce mardi, la Cour permanente d’arbitrage (CPA) de La Haye a rendu public son verdict sur le conflit qui oppose la Chine et les Philippines, donnant raison à Manille. La réaction de Pékin pourrait déstabiliser une région du monde où se confrontent des intérêts économiques et politiques multiples. «La décision des juges est nulle et non avenue», a réagi immédiatement l'agence de presse gouvernementale Chine nouvelle, tandis que Manille appelait à la «retenue et la sobriété». La mer de Chine méridionale, c’est où ? C’est une mer semi-fermée, appelée aussi mer de Chine du Sud, qui mesure environ 3 000 kilomètres de long sur 1 000 kilomètres de large. En quoi est-elle un secteur clé de la planète ? Un tiers du commerce maritime de la planète transite sur ses eaux. Que s’y joue-t-il en ce moment ? Depuis quelques années, la situation s’est beaucoup dégradée entre les pays frontaliers. Que se passe-t-il entre les Philippines et la Chine ? Lire notre analyse : Bras de fer pour un bras de mer

Réseaux et frontières: Internet aux marges C’était il y a vingt ans. Les Cahiers du CREPIF rendaient compte d’un colloque sur la communication électronique [1] Cahiers du CREPIF, n° 8, novembre 1984. [1] . Dans l’introduction Jean Bastié s’interrogeait : «…le progrès technique se précipite… Comment tirer le maximum de parti de cette avalanche d’informations et chacun sera-t-il capable de les sélectionner?». Mais la parole était plutôt aux praticiens des réseaux de télécommunications. La géographie semblait alors très discrète sur les incidences des nouvelles technologies d’information et de communication alors qu’aux États-Unis le protocole Internet était déjà en vigueur depuis dix ans et que les militaires venaient de livrer leur réseau ARPANET aux civils, scientifiques et universitaires. Dix ans de plus ont passé. Que s’est-il passé pendant ces dix dernières années ? Dix ans : la période est à la fois courte et longue. On mesure donc bien le changement intervenu au cours de ces dix ans. La France n’est pas le monde.

Comment les Etats se partagent l’océan et ses ressources Transport, frontières, pêche, sous-sol… A qui appartient la mer ? La question est aussi simple que les réponses sont complexes. Comment est régi le droit de la mer ? Le droit de naviguer et commercer librement à travers le monde a été théorisé en 1609 par le Hollandais Hugo Grotius. Il s’agissait alors d’empêcher les Portugais de bloquer la route des Indes. En 1958, les Nations unies font une première tentative de codification du droit maritime, aussitôt remise en cause par les pays en développement. Elle n’entrera en vigueur qu’en 1994. Que dit la convention de Montego Bay ? Elle découpe la mer en tranches en fonction de son éloignement de la côte. Au-delà, c’est la «haute mer», territoire appartenant à la fois à personne et à tout le monde. Quelle est la particularité de la mer de Chine méridionale ? Que réclame la Chine ? A lire aussi Chine Méridionale : bras de fer pour un bras de mer Quelle est la réaction internationale ? La Chine n’utilise que des moyens civils pour occuper la zone.

BRIC : la fin d’un acronyme Depuis l’invention de l’acronyme BRIC, en 2001, par l’économiste Jim O'Neill, pour désigner cet ensemble de pays émergents à fort potentiel de croissance, que de chemin parcouru pour le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine… Ces pays pesaient environ 21,5 % du PIB mondial en 2014 (PIB courant en dollars), contre moins de 8 % en 2000. Durant les années 2000, leur dynamique a permis de soutenir la croissance mondiale et d’instaurer une recomposition de la division internationale des échanges. Les BRIC ont progressivement remplacé les anciennes locomotives économiques (Etats-Unis, Japon, Europe) en s’offrant même, de prime abord, un « certain » partage sectoriel international : au Brésil et à la Russie un pouvoir de marché sur les matières premières énergétiques, minérales et alimentaires, à la Chine une spécialisation marquée dans le secteur manufacturier et industriel et, enfin, à l’Inde une affirmation de son poids dans le secteur des services. Figure 1 : Taux de croissance du PIB

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