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Campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs par la libération des semences paysannes et fermières<a href=" class="twitter-follow-button" data-show-count="false" d

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cyberaction La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ? Cette cyberaction est maintenant terminée Mise en ligne du 16/11/2013 au 18/03/2014 Cette loi va condamner tout agriculteur qui produit à la ferme ses semences, ses plants, ses animaux reproducteurs ou ses préparations naturelles à base de micro- organismes ou d'autres éléments naturels issues de sa ferme ou de l'environnement naturel et destinées à ses productions fermières ou aux soins de ses cultures et des ses animaux. Bilan de la cyberaction : Présentation de la cyberaction : Le Sénat doit examiner le 20 novembre 2013 en procédure accélérée une proposition de loi destinée à renforcer la lutte contre les contrefaçons. Cette loi, qui s'ajoute à tout un arsenal juridique d'appropriation du vivant, criminalisera les agriculteurs qui ne payeraient pas tous les ans pour acheter ou reproduire eux-mêmes leurs semences et animaux reproducteurs et interdira de facto la sélection paysanne telle qu'elle existe depuis l'invention de l'agriculture. La lettre qui a été envoyée : 25 commentaires

Forêt >  Programme - Relier L’exploitation de la forêt s’oriente de plus en plus vers des coupes rases et de la monoculture, des filières longues et cloisonnées, la précarité du travail. Pour en sortir, RELIER participe, depuis 2008 à l’exploration de pratiques pour une gestion alternative de la forêt. Le Réseau pour les Alternatives Forestières propose ainsi une recherche-action visant à favoriser l’émergence et le développement de pratiques forestières alternatives, pour que les besoins émergents en ressources naturelles et locales soient effectivement vecteurs de solidarité, d’humanité et de respect de la terre. Pour cela, le Réseau pour les Alternatives Forestières apporte un soutien à ceux qui s’engagent dans cette recherche de cohérence en : 1. Favorisant les échanges et le débat pour créer des liens entre professionnels et non professionnels de la forêt en sortant de l’opposition entre écologie et économie. 2. 3. 4. 5.

GDE-Nonant le Pin : une méga décharge inquiètante Rappel du projet : GDE (Guy Dauphin Environnement) a déposé en 2006 un projet de décharge CSDU pour résidus de broyages automobile (RBA) et DIB de 150 000 tonnes/an, associé à un centre de tri 47 500 tonnes/an. Après avis négatif de la commission d’enquête, le prefet refuse le permis d’exploitation, mais le tribunal administratif après le recours de GDE annule l’arrêté du préfet. Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’environnement, ne donne pas l’autorisation au préfet de faire appel du jugement du tribunal administratif. GDE a donc le champ libre pour démarrer ce projet. Situé au cœur des élevages de chevaux les plus prestigieux, à quelques kilomètres du Haras du Pin, les opposants reçoivent désormais le soutien des éleveurs qui craignent les conséquences d’une telle activité pour la réputation de la région. Objectif transition apporte son soutien aux opposants à ce projet et le place sous surveillance négative. Toutes les infos sur le projet et la mobilisation :

Un nouveau droit des semences pour protéger la biodiversité et notre alimentation Une véritable confiscation du vivant se prépare, avertit un collectif qui redoute les effets de trois textes à propos desquels les parlementaires devront bientôt se prononcer. Le Monde.fr | | Par Priscille de Poncins (membre des Poissons roses), Philippe de Roux (co-fondateur des Poissons roses), Bernard Perret (essayiste), Guy Kastler (délégué général du Réseau des semences paysannes) et Marc Dufumier (agronome, membre du comité scientifique de la Fondation Nicolas-Hulot pour la Nature et l'Homme) Que diriez-vous s'il n'était plus possible de choisir une alimentation saine et variée, une eau non polluée par les pesticides ? Les semences de ferme et paysannes, fruits d'une tradition millénaire d'adaptation aux terroirs, aux évolutions climatiques, sont essentielles pour garantir notre alimentation de demain. Pourquoi le débat est-il si vif en France ? C'est une menace pour l'humanité.

La Convention Européenne du Paysage 10 février 2010 (mis à jour le 30 septembre 2013) - Ville durable, aménagement et construction La convention européenne du paysage est un traité inscrit dans le cadre du Conseil de l’Europe. Cette instance est plus large que l’Union européenne, 47 États en sont membres contre 28 pour l’Union. La Convention européenne du paysage, ouverte à la signature en octobre 2000, à Florence, est entrée en vigueur en France le 1er juillet 2006 et publiée au Journal officiel par décret du 22 décembre 2006. En premier lieu, la convention aborde la question du paysage en privilégiant son utilité sociale : « Le paysage est partout un élément important de la qualité de vie des populations : dans les milieux urbains et dans les campagnes, dans les territoires dégradés comme dans ceux de grande qualité, dans les espaces remarquables comme dans ceux du quotidien… il constitue un élément essentiel du bien-être individuel et social… ». La convention de Florence donne un nouvel élan aux politiques du paysage.

Le saumon d’élevage norvégien nage dans les eaux sombres des fjords Du diflubenzuron contre le pou de mer, « les fjords aux eaux fraîches et limpides offrent un cadre de vie exceptionnel » au saumon d’élevage norvégien. La Norvège est fière de la qualité de son saumon : « Les produits de la mer de Norvège sont reconnus pour leur qualité, leur saveur et les garanties qu’ils offrent. » Mais l’association Green Warriors est loin d’être convaincue. Elle publie un rapport fin 2011 alertant sur les conséquences de l’élevage de saumon norvégien : pollution de l’environnement et impact sur la santé humaine. Le pou de mer le parasite qui dérange Le pou de mer est un petit parasite qui se nourrit du saumon et provoque la mort des poissons. En 2010 un reportage de France 3 sur le saumon d’élevage montre une utilisation abusive du pesticide diflubenzuron pour tuer le pou de mer (Lepeophteirus salmonis) dans les fjords norvégiens. « Cette substance ne dispose pas d’autorisation de mise sur le marché (AMM) communautaire ou française en tant que médicament vétérinaire.

Les chroniques d'Olivier de Robert: des tomates hors catégorie Conter, ce n'est jamais que dire avec lenteur les joyeux brassages de la besace à mémoire. Mais avant de parler, le conteur écoute. J'aime à me cacher dans les coins de bistrots. J'aime aussi à flâner sur les marchés, ceux où s'entremêlent les couleurs et les parfums, allant des fromages aux origines incertaines jusqu'aux parfums d'orient, ceux où bérets et longues chevelures se croisent et se voient enfin... J'aime écouter les paroles de hasard glanées au bord des chemins, à la boulangerie, sur un banc ensoleillé ou au coin d'une cheminée quand le vent hurle au dehors... J'aime ma terre, celle de la montagne, du confit de canard, de la ressegue, des lotos du gras, des fêtes de village, des péluts en yourtes, des châteaux bouffés par les ronces et des mémés qui attendent l'épicier ambulant. Avec tendresse et un opiniâtre refus de se prendre au sérieux, ces chroniques racontent cette terre et ceux qui en font la saveur. ariège chroniques

Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits - Innovation Monter dans un bus sans composter un ticket, et sans risquer de passer pour fraudeur, tel est le quotidien des Aubagnais. Depuis trois ans, l’agglomération du Pays d’Aubagne – 104 000 habitants – en périphérie de Marseille, a fait le choix de la gratuité totale dans les transports en commun. Cette gratuité était auparavant réservée aux demandeurs d’emplois, aux allocataires du RMI et aux personnes âgées et handicapées. S’inspirant de l’esprit du « droit au transport pour tous » énoncé par la loi d’orientation des transports intérieurs votés par la gauche en 1982, le maire communiste d’Aubagne, Daniel Fontaine, et son équipe proposent cette mesure à leurs administrés lors des élections municipales de 2008. Réélue, la municipalité entame alors un bras de fer avec la société des Autobus Aubagnais, propriété du groupe Veolia, qui exploite le réseau depuis 2007 dans le cadre d’une délégation de service public. A qui profite la gratuité ? Qui finance les transports gratuits ? Anthony Laurent

hovding Wich size should i choose? Hövding is currently available in two sizes; Small (S) and Medium (M). As far as performance/safety goes, it doesn't matter whether your Hövding is a tight or a loose fit around your neck. Sizing guide: We'd recommend getting a Small if your neck circumference is up to 37 cm (that's 14 1/2 inches). Le Sénat discute d'une loi visant à limiter la liberté des semences La Confédératiion paysanne occupe ce soir mardi 21 janvier les locaux du GNIS (Groupement national interprofessionnel des semences). Le syndicat entend protester contre une loi en discussion au Parlement. Cette proposition de loi "sur la contrefaçon", vise à contrôler davantage la liberté de semer. Si vous faites du jardinage, il vous est sans doute déjà arrivé de conserver les graines produites par vos fleurs pour ensuite les ressemer l’année suivante. Mais cette pratique n’est que tolérée par la loi : depuis le début des années 1960, les semenciers peuvent protéger leurs variétés grâce à un "certificat d’obtention végétale" (COV). Mais dans les faits, de nombreux agriculteurs gardent une partie de leur récolte pour la semer l’année suivante. Les semences de ferme, de la contrefaçon Cette pratique est donc considérée comme relevant de la contrefaçon depuis la loi du 8 décembre 2011 relative aux certificats d’obtention végétale. "Des lois pour l’industrie semencière" Photos : .

Les riches fabriquent des pauvres et la surpopulation détruit la Terre Les écologistes, affligés par l’épuisement des ressources et le déclin des écosystèmes, font remarquer qu’il nous faudra deux planètes ou plus pour survivre. Dans un autre domaine, ces deux planètes existent déjà, tout le monde sait bien qu’il y a une planète des riches et une autre des pauvres. La première, usurpée, n’est pas pour nous déplaire… Un milliard de riches occupe l’Amérique du Nord, l’Europe, l’Australie, le Japon et un club très privé de privilégiés qui règnent tyranniquement sur les pays du tiers monde. Ce milliard de riches cache aussi sa misère (qu’on ne saurait voir) : quart monde dormant sur les trottoirs des quartiers boursiers, Enfants de Don Quichotte s’adonnant aux joies du camping urbain, gastronomes des restos du cœur, etc. Le solde de la communauté terrienne, soit un peu plus de 5 milliards et demi de gens dont le pauvre destin est joué d’avance, croupit dans le reste (et les restes) du Monde. Sont-ce les riches ou les pauvres qui détruisent la Planète ?

À LA RECHERCHE D'UNE BOISSON SANS ALCOOL? - Sojennie Sojennie Il y a de nombreuses raisons de déguster une boisson festive sans alcool ! Que vous soyez amateur de golf, une passion nécessitant précision et concentration, ou conducteur d’un soir, vous pouvez vous faire plaisir sans alcool avec nos bulles légères et raffinées. Le Figaro Golf souligne l’intérêt d’une boisson non alcoolisée pour les personnes pratiquant ce sport où la méticulosité tient une place si importante: Avec « So Jennie », vous n’aurez plus de raison de refuser un dernier verre avant de regagner votre domicile après un pro-am réussie ou une compétition de golf mémorable. » Cliquez ici pour accéder à notre page dédiée aux événements sportifs. Pour une vie sans alcool, le site dédié aux boissons affichant un taux d’alcool de 0,0%, propose plusieurs alternatives, informations, et conseils à ce sujet. Pour une grossesse harmonieuse, une hygiène de vie responsable s’impose, cependant de nombreuses femmes enceintes sont à la recherche d’une boisson sans alcool festive et prestigieuse.

Agriculteurs et jardiniers seront-ils bientôt obligés de cultiver dans la clandestinité ? Les paysans qui ressèment leur récolte seront-ils considérés comme des trafiquants ? Oui, ont répondu les sénateurs en adoptant le 20 novembre à l’unanimité un projet de loi élargissant aux plantes le délit de contrefaçon. S’émanciper des droits de propriété détenus par les grandes firmes semencières sera désormais un délit. La loi prévoit aussi de nouveaux moyens de répression contre paysans et jardiniers clandestins. Pour les promoteurs de la loi, il s’agit simplement de « protéger les entreprises ». Semer sa propre récolte. L’État au service des entreprises privées Cette loi vient renforcer un arsenal juridique qui protège les entreprises commercialisant des semences. « La nouveauté, c’est que ce projet de loi demande à l’administration d’aider l’entreprise à lutter contre les contrefaçons et de transmettre toutes les informations dont elle dispose », poursuit Guy Kastler. Des douaniers infiltrés en zone rurale ? Généralisation des OGM ? Paroles, paroles, paroles...

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