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Lutte contre le cyber harcèlement - Prevention harcèlement

« Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail. L’infraction est également constituée : a) Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l’instigation de l’une d’elles, alors même que chacune de ces personnes n’a pas agi de façon répétée ; b) Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime, successivement, par plusieurs personnes qui, même en l’absence de concertation, savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition. 1° Lorsqu’ils ont causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ; Related:  HARCELEMENT

Ligue du LOL : cinq questions pour comprendre l’affaire et ses enjeux Une trentaine de membres d’un groupe Facebook – la Ligue du LOL – sont accusés de s’être livrés à du cyberharcèlement depuis 2009, en particulier sur Twitter. Quels faits précis leur sont reprochés ? Peuvent-ils être sanctionnés par la justice ou par leurs employeurs ? Pourquoi tant d’intérêt pour cette histoire ? 1. La Ligue du LOL était au départ un groupe Facebook privé, créé par le journaliste Vincent Glad à la fin des années 2000, réunissant « une trentaine de personnes, pour la plupart issues de nombreuses rédactions parisiennes, du monde de la publicité ou de la communication », selon l’article de Libération, qui a révélé l’affaire, vendredi 8 février. « C’est un groupe d’amis Facebook, comme tout le monde en a », a déclaré Vincent Glad au journal. Mais ce ne sont pas les échanges privés au sein de cet espace qui sont en cause dans l’affaire. 2. « Pourquoi n’avons-nous pas parlé pendant toutes ces années ? Un « travail de démolition parfois quotidien » Le Monde Offre spéciale 3. 4.

L'Observatoire International de la Violence à l'Ecole - OIVE Date limite de Soumission prolongée Télécharger l'appel à communications Le colloque " Les jeunes et l'incitation à la haine sur Internet: victimes, témoins, agresseurs? Comparaisons internationales" dans la presse : Reportage azur TV Parution du deuxième numéro du Journal International sur le Climat Scolaire et la Prévention de la Violence Pour accéder à ce numéro thématique, merci de cliquer ci-dessous : Les enjeux de l'ethnicité à l'école : contributions pour penser les inégalités et les discriminations --------------------------------- Colloque "Les jeunes et l'incitation à la haine sur Internet: victimes, témoins, agresseurs ? Les 23 et 24 janvier 2017 au théâtre du Grand Château - Campus Valrose - Nice Pour retrouver toutes les informations, merci de cliquer ci-dessous : Appel à Communications "The UNESCO Week for Peace and Sustainable Development: The Role of Education" Date limite d'application : 23 décembre 2016 Sous la direction de Eric Debarbieux Dans la presse :

Harcèlement scolaire - Violences scolaires - Provocation au suicide Porter plainte contre les auteurs La victime mineure ne peut pas porter plainte seule. Toutefois, elle peut signaler les faits, par le biais d'une main courante, en se rendant (seule ou accompagnée) dans les locaux de la police ou de la gendarmerie. Mais si la victime mineure veut être impliqué dans le reste de la procédure, elle devra obligatoirement être représenté par une personne majeure (parent, tuteur,...). En revanche, la victime émancipée ou majeure peut porter plainte contre les élèves qui ont commis les faits de harcèlement, quel que soit leur âge. Dans tous les cas, la victime a 6 ans, après les faits, pour déposer plainte. Sur place Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix. La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie. Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes. Par courrier

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