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Les compétences comportementales, ce nouveau critère de recrutement

Les compétences comportementales, ce nouveau critère de recrutement
Pôle emploi présente les nouvelles tendances du recrutement dans son infographie et se concentre sur les nouvelles attentes des recruteurs. Quelles sont les compétences de demain ? Faut-il dire adieu à l’expertise métier et accueillir les compétences comportementales comme le nouveau critère du recrutement ? Pour une majorité d’employeurs, les diplômes n’ont plus autant d’importance aujourd’hui ! 59 % des interrogés considèrent que le diplôme n’est pas un critère essentiel. Parmi eux, on retrouve généralement des employeurs des secteurs du transport, de l’hôtellerie ou du commerce. 60 % des employeurs considèrent que les compétences comportementales sont plus importantes que les compétences techniques. Quelles entreprises favorisent les soft skills et ne prêtent pas trop d’attention au diplôme des candidats ? Mais de quelles compétences parlons-nous ? Quelles sont les principales compétences comportementales qui attirent l’attention des employeurs ? Related:  Soft Skillsvzvd

Les compétences du 21e siècle Avec l’industrialisation massive, le développement d’une économie et d’une politique mondiales, ainsi que des moyens de transport et de communication, et l’invention d’Internet, qualifier le 20e siècle d’ère de changement résonne comme un euphémisme. Toutefois, en comparaison avec le début du 21e siècle, le monde en était alors possiblement encore seulement aux premiers pas d’une courbe exponentielle de changements ayant le pouvoir de balayer entièrement la manière de vivre que nous connaissions jusqu’ici. La problématique soulevée ci-dessus agit comme trame de fond du rapport de Cynthia Luna Scott qui affirme la nécessité de redéfinir et d’enseigner de nouvelles compétences pour faire face aux principaux défis du 21e siècle. [Intégrer les compétences du 21e siècle dans l’enseignement des sciences et de la technologie] Pourquoi repenser les compétences? Scott recense de nombreuses études pour réfléchir sur l’apprentissage de demain et elle souligne d’entrée de jeu deux choses. Référence :

Zone d’apprentissage, zone des possibles Entre zone de confort et inconnu total, la zone d’apprentissage est celle qui révèle les possibles, en particulier en termes de projets professionnels et de leur faisabilité. Partons donc explorer cette zone d’apprentissage, ses bénéfices, ses obstacles, pour en faire l’alliée de nos ambitions. Cette vidéo, réalisée par Inknowation est une société espagnole qui aide les organisations à se transfomer et à s’adapter au changement. Elle a conçu cette vidéo pour montrer comment chacun peut être acteur des changements choisis en osant rêver ses projets. On ne nous apprend pas à avoir confiance en nos rêves et en général, celui qui a une vision claire de ce qu’il veut pour lui-même et son avenir est facilement estampillé arrogant: nous sommes censés faire des sacrifices et à accepter un lot pas toujours très excitant, sous prétexte qu’on n’est pas là pour rigoler. Rêver ses objectifsLeur donner une date d’expirationŒuvrer pour leur réalisation La zone de confort La zone d’apprentissage

Soft skills, les 15 compétences douces à maîtriser en entreprise Management Les 15 soft skills à maîtriser en entreprise Matryoshka doll / @A.Munich Flickr Forbes France 22 novembre 2023 Les soft skills suscitent de plus en plus l’intérêt des entreprises Pour être recruté puis être performant au travail, les seules compétences techniques ne suffisent plus. Jérôme Hoarau précise : « l’évolution du monde du travail, notamment avec la robotisation, l’automatisation et l’intelligence artificielle, nous oblige à miser sur le capital humain, donc les soft skills. » Les soft skills sont littéralement les « compétences douces », que les auteurs du livre préfèrent qualifier de « compétences comportementales, transversales et humaines ». Comment acquiert-on la confiance en soi par exemple ? Pour les deux auteurs, les softs skills sont transversales, chacune ayant un impact sur l’autre. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. * Le réflexe soft skills, les compétences des leaders de demain, Fabrice Mauléon, Julien Bouret et Jérôme Hoarau, Ed. Je m'abonne

Les 4 piliers de l'apprentissage de Stanislas Dehaene D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant. 2. 3. 4.

TEST : Pensée intuitive ou analytique ? Le Test de réflexion cognitive, publié en 2005 par le psychologue Shane Frederick (1), évalue la tendance à utiliser une pensée intuitive ou analytique. Les résultats de ce test, ont montré des études, sont généralement (c'est-à-dire en moyenne, au niveau d'un groupe et pas nécessairement pour chaque personne) en corrélation avec des mesures de l'intelligence telles que le test de quotient intellectuel. Voyez, après avoir répondu aux 3 questions que comporte ce test, comment sont définies les pensées intuitive et analytique. FAITES LE TEST (gratuit, sans inscription.) Pour plus d'informations sur les modes de pensée, voyez les liens plus bas. (1) « Cognitive Reflection Test » : Frederick, S. (2005), Cognitive reflection and decision making, Journal of Economic Perspectives. Psychomédia Tous droits réservés.

L'engagement actif, la curiosité, et la correction des erreurs Outre l’attention, deux facteurs jouent un rôle déterminant dans les apprentissages : l’engagement actif de l’enfant, et le retour rapide d’informations (feedback). Selon la théorie du « cerveau bayésien », que nous avons examinée dans les années précédentes, l’algorithme fondamental qui permet au cerveau d’ajuster ses représentations du monde extérieur consiste en trois étapes : prédiction descendante, fondée sur le modèle interne actuel ; comparaison de ces prédictions avec les entrées reçues du monde extérieur, ce qui engendre des signaux d’erreur ; utilisation de ces signaux d’erreur afin d’ajuster le modèle interne. Ce modèle du cerveau Bayésien suggère que deux ingrédients sont indispensables à l’apprentissage : la génération d’une anticipation sur le monde extérieur (engagement actif), et le retour d’information sous la forme de signaux d’erreur (en provenance de l’environnement ou de l’enseignant). Quelles sont les conséquences pédagogiques de ces découvertes ?

25 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui représentent une déviation de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations. Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu'un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes. Ces processus de pensée rapide sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques. Le concept de biais cognitif a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel d'économie 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Certains biais s'expliquent par les ressources cognitives limitées (temps, informations, intérêt, capacités cognitives). Voici une liste de 30 biais cognitifs fréquents Raisonnement et jugement Le biais de confirmation Le (ou effet barnum

Apprendre à désapprendre. En voilà un sacré challenge!!! Beaucoup d’entre vous savent faire du vélo. En général, on apprend ça au cours de notre petite enfance. Comme tous les apprentissages, celui-ci nécessite un certain nombre de répétitions sur un mode essai – erreur – essai – erreur -, etc. Une fois trouvé l’équilibre dans le mouvement, il est reconnu que faire du vélo, “ça ne s’oublie pas”. De nouvelles connexions neuronales se sont créées et renforcées au fur et à mesure que l’expérience se renouvelait. Alors, surprenant n’est-ce pas ? L’ensemble de nos comportements, compétences et croyances ne sont ni plus ni moins que des apprentissages acquis depuis notre plus tendre enfance. Je propose souvent la métaphore suivante à mes clients pour illustrer cette notion d’apprentissage. Imaginez vous tenir à l’entrée d’un champ de blé. Là où le bât blesse, c’est quand cette voie toute tracée vient à vous créer des problèmes. Exemples : Fabien, quant à lui, est persuadé que s’il donne sa confiance aux autres, il va le regretter tôt ou tard.

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