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Gulf Stream, le talon d'achille - Documentaire

Gulf Stream, le talon d'achille - Documentaire
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Comment bronzer écolo - avec ou sans crème solaire « La crème solaire tue le corail, alors si j’en mets sur ma peau, il se passe quoi ? » s’interroge Justine Dupont, surfeuse professionnelle. À 25 ans, cette sportive a beaucoup voyagé pour des compétitions : « Quand j’étais aux Maldives, j’en ai profité pour faire de la plongée ; et là, on le voit, le corail est blanc, il est mort. » Quand elle n’est pas à l’autre bout du monde, son port d’attache se situe au Pays basque, où la pollution l’empêche de surfer à sa guise. « Quand il pleut, il n’est pas possible de surfer le lendemain, il y a eu un lessivage des sols, des rivières qui vont dans l’océan, l’eau est polluée. On est obligé de porter des bouchons d’oreille pour éviter les otites. » L’impact des crèmes solaires sur le milieu marin a même poussé le Mexique, dans sa partie Sud-Est, au niveau de Cancún, à interdire ces produits au bénéfice de crèmes biodégradables, sans filtre UV chimique. Pauline Malterre est installée à Bordeaux. Les sources de pollution sont multiples

NOAA: Like 2017, 2018 will be a record year for floods Thanks to global warming-induced sea-level rise, coastal waters are increasingly spilling into communities. In a report released Wednesday, the National Oceanic and Atmospheric Administration quantified the extent of that inundation with some sobering statistics. The bottom line: As a whole, the U.S. is experiencing more coastal flooding than ever. NOAA scientists analyzed data regarding high-tide flooding —defined as flooding that causes public inconveniences, like road closures — from nearly 100 coastal water-level gauges across the country in the past meteorological year (May 2017 through April 2018). Since 2000, the report says, parts of the U.S., primarily along the eastern seaboard, have experienced more than a 250-percent increase in yearly flooding. And in the coming meteorological year, he said, “Records are expected to continue to be broken.” Here are the takeaways from Sweet and his colleagues’ findings: 2017 was a record-breaking year for flooding.

USA : une réserve de vie sauvage ouverte à l’exploitation pétrolière Au mois de décembre 2017, le Congrès Américain a voté un loi donnant le feu vert à l’exploitation pétrolière et gazière au sein du Arctic National Wildlife Refuge, une des plus vastes réserves naturelles d’Alaska, où évolue une faune sauvage aussi diversifiée que fragile… Explication. Boeufs musqués, rennes, oiseaux migrateurs, ours bruns et loups gris ne peuvent pas le deviner, mais les terres sur lesquelles ils évoluent renferment en leur sein des réserves de gaz et de pétrole qui, depuis des décennies, attisent les convoitises. Exploitation minière Mais en 2018, il semblerait que le glas sonne pour la vie sauvage. Le sous-sol de cette partie du continent nord-américain de 78 000 km carrés, classée en réserve naturelle depuis 1980, recèlerait en effet pas moins de 7.7 milliards de barils de pétrole. Un serpent de mer Un pétrole bientôt exploité par les étasuniens ? Faune VS profit Lire aussi : Donald Trump autorise la chasse aux oursons et aux louveteaux

Pour limiter le réchauffement climatique, quels sont les efforts "sans précédent" à fournir? SCIENCE - En 2015, lors de la COP 21, le monde entier semblait s'être mis d'accord pour tenter de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. Après la signature de l'Accord de Paris, les Etats ont donc demandé au Giec, l'organisme scientifique international en charge du climat, de réfléchir aux solutions pour y parvenir. Le résultat a été rendu public ce lundi 8 octobre. Le rapport, et son résumé aux décideurs, douche tout enthousiasme et inquiète. Les changements nécessaires sont "sans précédent" en termes d'échelle et impliquent des réductions drastiques d'émissions de gaz à effet de serre dans tous les secteurs, des mesures d'atténuations larges et une augmentation "significative des investissements". Pour autant, le jeu en vaut la chandelle, rappelle le Giec. Ce qui veut dire que si nous avons par le passé réussi, dans des secteurs spécifiques, des transitions très rapides, nous n'avons jamais tenté un changement de paradigme si global dans tous les secteurs de l'économie.

En Arctique, le réchauffement climatique est bon pour le business Pourquoi dialoguer avec Finkielkraut ou Zemmour ? Ça ne sert à rien, « il n’y a pas d’intellectuel de droite », répond le philosophe et sociologue Geoffroy de Lagasnerie. « La définition de la gauche, c’est l’incommensurabilité à la droite. C’est-à-dire que nous n’avons, avec la droite, aucun terrain d’accord. Nous ne sommes pas dans une position de débat, mais dans une position d’affrontement. C’est "une lutte – comme disait Bourdieu à propos de Manet et de l’Académie – à la vie, à la mort". » Contrairement à ce qu’on laisse croire, la force de la gauche aujourd’hui, c’est d’être « imaginatrice », « inventive » et d’avoir « une pensée ». À propos des médias, des révolutions symboliques, de Mai 68, des quartiers populaires ou encore de la politique pénale, Geoffroy de Lagasnerie prouve que la gauche peut encore avoir une pensée stimulante et enthousiasmante.

Les pauvres ont trop de pognon et les riches pas assez Ce sera la semaine qui aura donné au quinquennat sa couleur. Avec le vote de la loi contre la SNCF et les délires sur les pauvres qui reçoivent trop, le président des riches est devenu aussi l’ennemi des pauvres et celui du peuple en général. Sa politique économique, fiscale et sociale est désormais publiquement une de ces politiques d’ajustement structurel digne de ce qui a été fait à la Grèce, à l’Espagne et à d’autres. Comme cela a été infligé à n’importe lequel des pays d’Amérique latine jusqu’à ce que la révolution citoyenne y fasse son œuvre. Les niveaux d’accumulation de fortune et de hauts salaires font de notre pays une sorte de paradis des riches, des fraudeurs du fisc, de l’égoïsme social et du pillage des biens publics. Du coup on peut déjà dire que notre victoire impliquera de lourdes tâches de reconstruction de ce qui a été détruit. Pendant ce temps, la crise politique se répand d’un pays à l’autre dans l’Union européenne. Quoi qu’il en soit, un seuil a été franchi.

We can now see how humans have altered Earth’s water resources For millennia, humans have harnessed rivers, built dams, and dug wells to quench our growing civilization. Now, for the first time, we have a picture of what all those generations have wrought on our blue planet’s most defining resource. Newly analyzed data from groundwater-detecting satellites “reveals a clear human fingerprint on the global water cycle,” according to a study out Wednesday in the journal Nature. It’s the kind of result that is equal parts terrifying and long-expected in its implications. “We know for sure that some of these impacts are caused by climate change,” says lead author Matt Rodell, chief of the Hydrological Sciences Laboratory at NASA. The authors used the satellite data to construct a map of 34 rapidly changing regions around the world, painting a unified picture of current hot spots of water scarcity and excess. “Our future challenges could not be more clear from looking at this map.” For Famiglietti, the research was life-changing.

Réserves de pétrole et de gaz dans l'Arctique L'Arctique, d'une superficie de 14 M de km2, est couvert par la banquise à 80 % en hiver ; en été, celle-ci se rétracte pour atteindre 5 à 4 M de km2. Les technologies modernes et le réchauffement climatique tendent à faire de cet océan une mer intérieure disputée par les pays riverains pour des raisons géopolitiques et économiques. On se souvient que la Russie avait envoyé un sous-marin planter un drapeau russe à la verticale du pôle nord, malgré les protestations du Canada et de la Norvège. Avec ce dernier pays, la Russie a négocié en 2010, un partage de la mer de Barents par un tracé de la frontière maritime qui va de l'Est du Spitzberg à l'Ouest de Mourmansk. Ce traité accorde aux Russes la propriété du gisement pétrolier de Chtokman et aux Norvégiens ceux de Havis et Skrugard. L'exploitation des hydrocarbures aux latitudes arctiques n'est pas nouvelle. Les conditions naturelles, bien que difficiles, sont rarement un obstacle pour l'exploitation des gisements. Claude Robinot

Loi Hulot : nouvelles révélations sur le lobbying au sommet de l’État En juin dernier, les Amis de la Terre France et l’Observatoire des multinationales levaient le voile sur les mécanismes d’influence très mal connus mais très efficaces qui s’exercent en France sur le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, conduisant à la censure de nombreuses mesures fiscales ou environnementales, au nom de la protection des « droits et libertés économiques ». Notre rapport s’attardait en particulier sur les coulisses de la loi Hulot sur la fin des hydrocarbures, laquelle avait été vidée de sa substance suite à un avis du Conseil d’État (2). Nous avions alors officiellement demandé à cette instance, au nom de la transparence, qu’elle nous communique les « contributions extérieures » reçues de la part de lobbyistes. Suivant à la lettre l’avis du Conseil d’État, le gouvernement a alors immédiatement supprimé cette disposition du projet de loi. Contacts presse : Notes : (1) Le rapport est disponible en ligne : www.amisdelaterre.org/sages-sous-influence

L’ONU fait le lien entre le changement climatique et la sécurité internationale Pour la première fois, le Conseil de sécurité, l’organe décisif des Nations unies, a débattu du lien entre le changement climatique et les risques pesant sur la sécurité internationale, le 11 juillet. Un des exemples les plus mis en avant pour établir ce lien a été celui du lac Tchad. Selon le représentant de la Guinée équatoriale, « jamais Boko Haram n’aurait pu s’enraciner dans le bassin du lac Tchad sans la sécheresse et la désertification qui ont durement touché cette sous-région ». Pour le représentant de la Côte d’ivoire, « il y a un potentiel de radicalisation d’une frange de la jeunesse par le chômage et la pauvreté ». L’avis général - à la notable exception de la Russie - est que le changement climatique est un « multiplicateur de conflits ». Un enjeu du débat était de savoir si le Conseil devrait créer un « représentant spécial sur le climat et la sécurité ». Source : Reporterre Compléments d’info : . Vous avez aimé cet article ?

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