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Pierre Bourdieu : "Le musée est important pour ceux qui y vont dans la mesure où il leur permet de se distinguer de ceux qui n'y vont pas"

Pierre Bourdieu : "Le musée est important pour ceux qui y vont dans la mesure où il leur permet de se distinguer de ceux qui n'y vont pas"
En 1966, paraissait aux éditions de Minuit une étude de Pierre Bourdieu et Alain Darbel intitulée L’amour de l’art. Les musées d’art européen et leur public. Basée sur une série d’enquêtes, le propos en était résumé en ces termes dans la conclusion : Si l’amour de l’art est bien la marque de l’élection séparant, comme par une barrière invisible et infranchissable, ceux qui en sont touchés de ceux qui n’ont pas reçu cette grâce, on comprend que les musées trahissent, dans les moindres détails de leur morphologie et de leur organisation, leur fonction véritable, qui est de renforcer chez les uns le sentiment d’appartenance et chez les autres le sentiment de l’exclusion . Comme le résumaient avec humour les auteurs sur la quatrième de couverture, «Sans craindre de manquer au bon goût, ce livre prétend(ait) (ainsi) soumettre le bon goût à la rigueur de l’examen scientifique". On voit à l'évidence que les gens ne voient que ce qu'ils savent qu'ils peuvent voir. Related:  HIDApolitiques culturelles

Chagall au Centre Pompidou-Metz : visitez l'exposition en avant-première de c... En attendant l'ouverture de l'exposition « Chagall. Le passeur de lumière », le Centre Pompidou-Metz vous fait virtuellement découvrir l'événement en avant-première. Au programme : concert immersif, visite guidée et coulisses de l'exposition. Alors que « Chagall. Le passeur de lumière » devait commencer le 21 novembre au Centre Pompidou-Metz, le rendez-vous rejoint la triste liste des expositions qui ne peuvent ouvrir leurs portes avec le reconfinement. Les secrets de l’exposition Lors de la Nuit européenne des musées, les internautes ont eu la chance d’assister virtuellement au concert de clavecin avec l’instrument sur lequel figure La Rencontre d’Isaac et Rébecca (1980) de Chagall. « Pour moi, un vitrail représente la cloison transparente entre mon cœur et le cœur du monde. L’exposition inédite « Chagall. Marc Chagall, Job, 1975, huile, tempera, encres de couleur, encre de Chine et sciure sur toile, 170 × 121 cm, collection particulière © Adagp, Paris 2020 Photo © Ewald Graber

Quand nos coiffures racontent ce que nous sommes (51min) Et si nos coiffures apparemment superficielles racontaient ce que nous sommes en profondeur ? Que disent nos coiffures de notre identité, de nos humeurs, de nos goûts, de notre conformisme, de notre singularité ? Nos coiffures manifestent-elles vraiment ce que nous sommes ou plutôt, ce que nous voulons paraître ? 15 jours après notre émission consacrée aux poils, nous vous dirons ce que nos coiffures racontent de nous, de notre identité, de notre rapport aux autres. Et puis nous demanderons pourquoi nous aimons aller chez le coiffeur, qui ressemble parfois à un thérapeute, en tous cas un as de l’écoute. Nos coiffures qui peuvent également refléter notre position sociale ou devenir un acte politique… Et puis, au-delà d’une nouvelle coupe ou coloration, que recherchons-nous quand nous nous rendons chez notre coiffeur ? Et vous, racontez-nous ce que votre coiffure révèle de vous, pourquoi vous aimez aller chez le coiffeur…Et puis si vous êtes coiffeur n’hésitez pas à nous contacter !

La Scène n°88 - Version numérique PDF DOSSIERCompagnies : les stratégies de diffusion • Quels sont les outils pour informer les diffuseurs ?• Être persuasif avec tact• Emploi unique ou partagé, bureau de production : comment choisir ? • L'éditorial - Le temps de l'action• Avec les pros - Au Forum «Culture et régions» des BIS• Spectacles en images LE MÉTIER• Il y a 10 ans• Entretien - Hervé Bordier• Mémoire des textes• Le parcours - Anita Mathieu• Table-ronde - Une stratégie digitale modifie-t-elle la relation aux publics ? DOSSIERCompagnies : les stratégies de diffusion L'ÉPOQUE> Violences sexuelles : prévenir par la formation PRODUCTION / DIFFUSION> Conventionnement DRAC : l’avoir, le perdre> Formes brèves : un atout pour les festivals• Cas d'école L’Amicale se transforme en coopérative • Guide La magie nouvelle s’impose LIEUX / FESTIVALS• Lieux> RGPD : êtes-vous prêts ? POLITIQUES CULTURELLES / FINANCEMENTS• Collectivités> Monde rural : les lignes bougent> Marseille• Financements Métropoles : un jeu d’équilibres

Histoire de musées – série de podcasts à écouter – France Culture - Le cours de l'histoire janvier 2021 Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. The Drop Out Boogie (28min) Le programmateur culturel sert-il vraiment (à) quelque chose ? Catherine Dutheil-Pessin, sociologue de la culture, professeure à l’université de Grenoble, et François Ribac, compositeur et sociologue, maître de conférences à l’université de Bourgogne-Franche-Comté, publient aux éditions La Dispute La Fabrique de la Programmation Culturelle. Le livre est né au terme d’une étude menée auprès d’un panel de programmateurs issus d’institutions culturelles reconnues ainsi que de lieux plus petits, mais à la non moindre influence. Comme le notent les auteurs au début de l’ouvrage, cette enquête comble un vide, celui d’une analyse du spectacle vivant pour les chercheurs et les professionnels, forcés de se tourner vers le ministère de la culture lui-même. Une responsabilité artistique remise essentiellement aux programmateurs Ressource utile et jusque-là manquant à une analyse sociologique pertinente de la programmation culturelle française, l’étude conduite par Catherine Dutheil-Pessin et François Ribac a le mérite d’aller dans le détail. Maël LUCAS

La "Vierge voilée" de Strazza : un marbre transparent qui fascine "Extraordinaire !", "L'Italie est consternante de beauté, mais je n'ai jamais été aussi soufflée", "Pure beauté"... La Vierge voilée, une sculpture du milieu du XIXe siècle que l'on doit à Giovanni Strazza, suscite régulièrement des commentaires extatiques sur les réseaux sociaux. Pourtant, de ce sculpteur lombard formé à Rome par Pietro Terenari, on ne sait pas grand chose... pas plus que sur cette oeuvre aux effets textiles virtuoses, venue de Rome à Terre-Neuve en 1856, et aujourd'hui conservée chez des soeurs de la Présentation de l'archidiocèse de St. John's, au Canada. Pour lever le voile, nous avons rencontré Claire Barbillon, directrice de l'Ecole du Louvre, spécialisée dans la sculpture du XIXe siècle et auteur de Comment regarder la sculpture (2017). En tant qu'historienne de l'art, quel regard portez-vous sur cette "Vierge voilée" ? Quand je regarde cette œuvre de Strazza, je ne peux quand même pas oublier qu’il s’agit d’une sculpture religieuse.

Visibilité et place des lesbiennes au cinéma (53min) Gouinement Lundi, le rendez-vous des filles, une émission co-animée par Brahim Naït-Balk et Emilie Jéhanno, et réalisée par Isabelle, en partenariat avec Yagg, du lundi 26 octobre 2015 avec, comme intervenantes… … Oksana Milmeyster et Anne Beniguel, du festival Cineffable, le festival international du film lesbien et féministe de Paris… … Chriss Lag, réalisatrice du documentaire « Parole de King »… … Brigitte Rollet, chercheuse spécialiste des questions du genre au cinéma… Musique : Näd Mika – Girlfriend (feat. Sexy Sushi) (extrait du film « Too Much Pussy ») / King Du Berry – Un Nouveau Genre Est Arrivé Retrouvez l’émission en podcast sur iTunes ici ou bien en fichier MP3 ici (partie 1) et ici (partie 2). Partie 1 : Cinéffable / La représentation des lesbiennes au cinéma Partie 2 : Comment réaliser un film en tant que femme… et lesbienne ?

spip Résonance PREAC et art du mouvement Le costume : un protagoniste 27 & 28.05.19 Centre National du Costume de Scène et de la Scénographie à Moulins (Allier) En résonance au séminaire de septembre 2018 intitulé « Où l’égalité ? », proposé par la compagnie Maguy Marin et la Compagnie Tamèrantong ! Ces deux jours de stage s’articuleront autour du thème « le costume : un protagoniste. » Le déguisement dissimule et travesti, quand le costume confirme une identité, une référence sociale, professionnelle. Il éclaire sur le statut et la coutume depuis les techniques de parures jusqu’au rapport symbolique au monde. Séminaire national PREAC « danse contemporaine » Montpellier 18 > 20.03.19 Montpellier Porté par Julie Nioche, l’enjeu de ce PREAC est « l’être ensemble ». Séminaire PREAC Poitiers Corps et graphie 04>06.04.19 Poitiers Les formateurs impliqués dans des projets danse sont parfois confrontés aux freins de leur propre corps. Parcours de Master MEEF Art’enact 25.02.19>25.10.19 Créteil

5 quartiers où voir du street art à Paris - Office du Tourisme de Paris Paris est un musée à ciel ouvert ! En levant la tête, on peut découvrir des pièces étonnantes : des graffitis emblèmes de la culture hip-hop, des pochoirs malicieux, des collages poétiques ou encore des fresques monumentales venant habiller de nombreuses façades. De Montmartre à la Butte-aux-Cailles, il faut ouvrir les yeux car chaque interstice est un prétexte à la création et dans beaucoup d’endroits de Paris, des fresques colorées ont recouvert le béton. Alors, si l’humeur est à la promenade insolite pour découvrir Paris par le prisme du street art, voici 5 quartiers qu’il fait bon parcourir… Le 13e arrondissement : place aux fresques monumentales Depuis quelques années, le 13e arrondissement de Paris est le spot privilégié des street artists et est aujourd’hui devenu un véritable musée à ciel ouvert ! Juste à côté, une mosaïque de plusieurs mètres de haut représentant le médecin fantasque de série télévisée Docteur House est signée du français Invader. Du street art en intérieur

Le cinéma et le théâtre français à l'épreuve de la diversité (4/4) : Plan lar... Ils s'appellent Hala, Chakib, Nicolas ou Louise. Ils viennent du Jura ou de Syrie. Ils sont fils d'agriculteurs ou d'enseignants et sont titulaires d'un BEP ou d'un Master. Ils forment les professionnels du cinéma de demain. La CinéFabrique est une école nationale supérieure de cinéma d'un genre unique en France, ayant ouvert ses portes à Lyon il y a tout juste deux ans à l'initiative du réalisateur Claude Mouriéras. Gratuité, parité homme-femme, mixité sociale, faire-ensemble... Le fait d'ouvrir et de permettre à des gens qui viennent d'ailleurs, c'était vraiment une des idées de l'école. Louise, Nicolas, Susie, Wenda, Chakib, Hala..., étudiants de la CinéFabriqueClaude Mouriéras, directeur de la CinéFabriqueSacha Wolff, réalisateurEmmanuel Salinger, acteur et scénariste Le teaser de la CinéFabrique, réalisé par les élèves Prise de son : Jean-Pierre Pernelle, Benjamin Chauvin et Chantal Nouvelot. Une série documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisée par Anna Szmuc

RT14 Sociologie des arts et de la culture | Association Française de Sociologie Membres du bureau du RT 14 (2017-2019) : Anne Bessette, doctorante (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Cerlis)Samuel Coavoux, chercheur (Orange, SENSE)Clément Combes, docteur (PACTE)Florencia Dansilio, docteure (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, IHEAL, CREDA)Chloé Delaporte, MCF (Université Paul Valéry - Montpellier 3, RIRRA21)Rémi Deslyper, MCF (ECP, Lyon 2)Antoine Doré, docteur (Université Paris Nanterre)Marjorie Glas, docteure (EHESS, IRIS)Emmanuelle Guittet, doctorante (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Cerlis)Kaoutar Harchi, docteure (Cerlis, UCLA)Elodie Hommel, doctorante (ENS de Lyon, CMW), ATER (Lyon 2)Louis Jesu, docteur (CMH, 2L2S)Irina Kirchberg, post-doc (Université de Montréal, DPMQ-OICRM)Kevin Le Bruchec, doctorant (Université Paris 13, LabSIC)Tomas Legon, chercheur contractuel (EHESS, CEMS)Alexandre Robert, post-doc (IReMus, STMS)Emilie Saunier, MCF (Université de Franche-Comté, ELLIADD)Marie Sonnette, MCF (Université d’Angers, UMR ESO)

Actu - Les news insolites de l'art ActuGratuit Le Tati de Barbès renaît en centre culturel Tous les parisiens se souviennent de l'iconique Barbes qui, des années durant, fut l'un des symboles du 18ème arrondissement. Tati, nous l'aimons pour son réservoir à bon plan, mais aussi pour ses sacs à carreaux inimitables... ActuMode La collaboration Balmain x Evian : quand l’eau produit de l’art Peau d'Âne rêvait d’une robe couleur soleil, d’une robe couleur du temps et d’une robe couleur de lune. ActuFood & Drink Sushi Park, la nouvelle adresse food éphémère signée Saint Laurent La fashion week est enfin là et Sushi Park veut fêter ça !

Le cinéma et le théâtre français à l'épreuve de la diversité (3/4) : Alice Di... Tous les films que je fais sont des films qui ne cesse d'interroger le récit national. Alice Diop Née en 1979 et enfant de la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois, Alice Diop est l'auteure de documentaires incisifs qui travaillent la question de l'exil et des quartiers populaires, dont le dernier, "Vers la tendresse", a reçu le César 2017 du meilleur court-métrage. Le fait d'être un transfuge de classe, d'une certaine manière vous condamne à une certaine solitude. Notre documentaire radiophonique dresse un portrait au travail de la réalisatrice, qui nous a confié le carnet de repérages de son film en cours d'écriture, inspiré par la lecture du livre de François Maspero, "Les Passagers du Roissy-Express". Alice Diop, cinéaste. Filmographie Clichy pour l'exemple, 2005 La Tour du monde, 2005 Les Sénégalaises et la sénégauloise, 2007 La mort de Danton, 2011 La permanence, 2016 Vers la tendresse, 2016 Bibliographie Une série documentaire de Stéphane Bonnefoi, réalisée par Anna Szmuc

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