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Et ses partenaires dévoilent la “Journalism Trust Initiative (JTI)”, un dispositif innovant contre la désinformation

Et ses partenaires dévoilent la “Journalism Trust Initiative (JTI)”, un dispositif innovant contre la désinformation
“Dans le nouveau système de l’espace public, les informations fausses circulent plus vite que les vraies : la défense du journalisme suppose de renverser la logique en donnant un avantage réel à tous ceux qui produisent des informations de manière fiable, quel que soit leur statut”, déclare Christophe Deloire, secrétaire général de RSF. La Journalism Trust Initiative consiste à créer un référentiel pour le journalisme sous la forme d’indicateurs sur la transparence des médias, l’indépendance éditoriale, la mise en oeuvre de méthodes journalistiques et le respect des règles déontologiques. “Nous avons conçu un dispositif d’autorégulation fondé sur une analyse globale du champ de l’information, qui permet de relier les aspects déontologiques aux questions économiques. Nous croyons profondément que notre initiative contribuera à favoriser l’intégrité du débat public en garantissant le pluralisme le plus large”, a ajouté Christophe Deloire. Contacts Presse: Reporters sans frontières (RSF):

https://rsf.org/fr/actualites/rsf-et-ses-partenaires-devoilent-la-journalism-trust-initiative-jti-un-dispositif-innovant-contre-la

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Twitter: La fonction "Avez-vous bien lu cet article?" pour les Retweets face au putaclic Twitter a annoncé mercredi 10 juin tester une option invitant ses utilisateurs à lire un article avant de le retweeter. Un outil qui responsabilise les lecteurs et veut limiter la propagation de fake news. Mais les personnes qui retweetent un article en n'ayant lu que le titre ne sont qu'une partie du problème. Lutter contre la désinformation - sources officielles concernant la COVID-19 Mesures de l'UE destinées à lutter contre la désinformation concernant la COVID-19 L'UE est déterminée à protéger les sociétés, les citoyens et les libertés contre les menaces hybrides, notamment les actes de mésinformation et de désinformation, comme le souligne le programme stratégique 2019-2024. L'objectif recherché est d'intensifier la coopération en vue de détecter, prévenir et combattre les attaques, tout en renforçant la résilience face à ces menaces.

Coronavirus : les "fake news" ont provoqué des centaines de morts à travers le monde l'essentiel Selon une récente étude publiée dans une revue scientifique américaine, les fake news pendant la pandémie mondiale de Covid-19 ont provoqué la mort de centaines d'individus à travers le monde. À en croire une étude publiée dans la revue américaine "The American Journal of Tropical Medicine and Hygiene", les "fake news" liées au coronavirus seraient mortelles. Elles auraient causé la mort d'environ 800 personnes, et entraînées l'hospitalisation de 5 800 individus dans le monde. Parmi les motifs d'hospitalisations récurrents liés à l'adhésion d'une fake news sur la Covid-19, beaucoup ont ingéré des produits désinfectants. Pour rappel, Donald Trump avait vanté les mérites de la Javel comme traitement anti-coronavirus.

Les dark RP des agence de com' sur Wikipedia épinglées par une enquête Pour faire de la pub ou nettoyer la e-réputation de leurs clients, des agences de com’ n’hésitent pas à abuser de la plus célèbre des plateformes collaboratives. Et c'est pas joli-joli. Deux administrateurs bénévoles de Wikipédia ont profité du confinement pour mener une enquête colossale dans les coulisses de l’encyclopédie en ligne. Et ainsi mettre à jour les pratiques crados de certaines agences de com’. Après un mois et demi d’enquête, ces Sherlock Holmes du web ont découvert près d’une centaine de comptes appartenant à quelques agences et utilisés pour soigner la e-réputation de leurs clients.

Présidentielle américaine : comment les complotistes du mouvement QAnon sont devenus les meilleurs alliés de Donald Trump En moins de trois ans, cette mouvance politique conspirationniste d'extrême droite a pris un poids politique non négligeable aux Etats-Unis, sous la présidence du milliardaire américain. Au recto, le drapeau américain. Au verso, le slogan "Trump 2020". Ken agite sa bannière, lundi 24 août, près du centre des congrès de Charlotte (Caroline du Nord), où le parti républicain investit officiellement Donald Trump comme candidat pour la présidentielle de novembre.

Etats-Unis : des partisans de la théorie complotiste QAnon candidats au Congrès QAnon en route pour Washington ? Au moins quatorze personnes ayant embrassé (ou déjà donné du crédit) à cette théorie complotiste d’extrême droite seront candidats en novembre prochain aux Etats-Unis : ils se présentent à des postes d’élus à la Chambre des représentants ou au Sénat, selon un décompte effectué par le site américain Media Matters for America. Une preuve que la théorie QAnon parvient, peu à peu, à se faire une place dans le monde politique américain, même si elle reste encore peu connue du grand public – 76 % des Américains interrogés disaient n’en avoir jamais entendu parler en mars dernier. Pourquoi la décision de Twitter de modérer le compte de Donald Trump est aberrante De la différence entre liberté d’expression et liberté d’expansion. Cette semaine, Twitter invita les utilisateurs de son réseau à consulter des informations complétant le contenu d’un tweet du Président des Etats-Unis et les avertit qu’un autre tweet de Donald Trump et un tweet du compte officiel de la Maison-Blanche violaient ses règles en matière de promotion de la violence : Le Président Trump et ses spadassins crièrent à la censure et à la violation de sa liberté d’expression alors que cette notion ne s’applique pas à un acteur privé tel que Twitter et que le réseau de micro-blogging n’avait pas supprimé ses messages. En revanche, ces mesures furent saluées par celles et ceux qui défendent les mêmes principes éthiques que ceux que j’affirme sur Superception et dans mes livres. Pourtant, je considère qu’elles sont non seulement inopérantes mais en outre contre-productives.

Go Viral!, la désinformation décortiquée par un jeu en ligne D’abord jouer sur l’émotion pour attirer l’attention. Puis citer de faux experts. Enfin dénoncer une conspiration. Faits alternatifs Kellyanne Conway est à l'origine de l'expression « faits alternatifs »[1]. « Faits alternatifs » (en anglais : alternative facts) est une expression utilisée en janvier 2017 par Kellyanne Conway, conseillère du président Donald Trump lors d'une rencontre avec la presse, afin de décrire les arguments de Sean Spicer, lui-même porte-parole de la Maison-Blanche, relatifs à l'importance de la participation publique lors de l'investiture du président, qui s'est déroulée la veille[2],[3],[4],[5]. Contexte[modifier | modifier le code] Contexte du moment[modifier | modifier le code] Spicer en conférence de presse. L'histoire se déroule en deux temps :

'Hold-Up' : "A partir de faits, le documentaire est bâti comme une vraie entreprise de désinformation" Le documentaire Hold-Up, sorti officiellement en ligne le 11 novembre, est autant contesté qu'il touche un très large public, soutenu notamment par Sophie Marceau ou le sénateur Les Républicains de Bourgogne Alain Houpert. Il a été réalisé grâce à un financement participatif de près de 200 000 euros sur la plateforme Ulule, dont le PDG s'est longuement justifié, pour un objectif initial dix fois moindre. Mais pas seulement, détaille le directeur de production Nicolas Réoutsky, puisque la plateforme Tipeee a aussi été utilisée.

Parler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il se décrit comme impartial, attaché à la liberté d'expression et protecteur des données de ses utilisateurs. Il voit son nombre d'utilisateurs augmenter significativement en juin 2020. En juillet 2020, il est remarqué comme étant un « refuge » de conservateurs américains dont les comptes ont été fermés sur Twitter depuis que ce dernier réseau sévit contre les messages du président Donald Trump en alertant sur les « fausses informations » qu'il y diffuserait[3],[4] Références[modifier | modifier le code] "Parler", le Twitter de la droite américaine ou la nouvelle arme de la famille Mercer Publié le : 17/11/2020 - 17:36 C’est le nouveau réseau social dont tout le monde parle… à droite et à l’extrême droite de l’échiquier politique américain. "Parler", un clone de Twitter, est aussi un outil d’influence financé par la richissime famille Mercer. C’est le nouvel enfant chéri des déçus de l’élection présidentielle américaine.

[Vidéo] La réponse parfaite à “Hold-up” existe, et c'est un docu sur les chats Un faux documentaire soutenant que les chats sont des extraterrestres, conçu pour démonter les théories conspirationnistes, refait surface. Une réponse très à propos aux personnes qui vous conseillent de regarder Hold-up. Depuis quelques jours, une vidéo publiée en 2016 sur Vimeo refait surface. Son titre est tout un programme : Révélation : la véritable identité des chats. Le Pr Fourtillan, l'un des intervenants de "Hold-up" interné dans le Gard, était recherché par la justice Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, l'un des intervenants du film "Hold-Up", le documentaire très contesté sur la Covid-19, est interné depuis jeudi au mas Careiron, l'hôpital psychiatrique d'Uzès dans le Gard. Il faisait l'objet d'un mandat d'amener d'un juge d'instruction lorsqu'il a été arrêté, écroué à la maison d'arrêt de Nîmes, puis interné. Depuis le 10 décembre, le professeur Jean-Bernard Fourtillan, âgé de 77 ans, est interné à l'hôpital psychiatrique du Mas Careiron à Uzès dans le Gard.

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