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Gender stereotypes and education

Gender stereotypes and education

http://www.youtube.com/watch?v=nrZ21nD9I-0

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Le livre pour pré-ados "On a chopé la puberté", accusé de sexisme, visé par une pétition L'ouvrage, à destination des pré-adolescents, fait l'objet de vives critiques sur les réseaux sociaux. Il a même été visé par une pétition en ligne, vendredi. Près d'un mois après sa parution, le livre On a chopé la puberté est au cœur d'une vive polémique sur les réseaux sociaux. Le livre de la collection "Les Pipelettes" (Editions Milan), à destination des pré-ados, est accusé de relayer des idées sexistes et dégradantes à l'égard des femmes.

Être ou ne pas être misandre Pour commencer cet article j’aimerais que nous nous mettions d’accord sur quelques points de vocabulaire. Premièrement, lorsque l’on parle de sexisme, on parle d’un système, d’un fonctionnement, d’une construction sociétales, pas d’actes individuels. Il n’existe donc pas de « sexisme anti-hommes » ou de « sexisme inversé ». En effet, la société dans laquelle nous évoluons est tenue par les hommes et privilégie les hommes. Deuxièmement, lorsque l’on dit d’un homme qu’il est misogynie, on ne sous-entend pas qu’il déteste chaque femme individuellement pas vrai ? Les princesses à l’épreuve de leur rôle modèle - CultureNego En tant que figures tutélaires, les princesses issues des dessins animés de notre enfance représentent pour nous de véritables modèles d’inspiration. Tandis que les petits garçons sont poussés à davantage s’identifier à des pirates, des grands sportifs ou des aventuriers intrépides, de nombreuses petites filles grandissent en nourrissant le rêve de devenir comme leurs héroïnes télévisées. Mais à quelles valeurs et à quelles aspirations ces princesses, notamment chez Disney, renvoient-elles ? Si les représentations d’un idéal féminin évoluent au fil des années, introduisant davantage de diversité et d’ambition, force est de constater que les modèles inspirationnels des fictions destinées aux petites filles entretiennent un clivage genré à même de se répercuter dans leur réalité de femmes adultes.

Pourquoi le genre dérange Une décision que les pages idées de _Libération_ résument ainsi en titre: « Valérie Pécresse coupe les bourses au genre ». C’est en effet le nième épisode de cette absurde « chasse aux sorcières », déclenchée dans l’orbite de la Manif pour tous, contre un domaine de recherche extrêmement fécond, transdisciplinaire, né dans la foulée des mises en cause formulées par les mouvements féministes, et qu’on ne peut réduire à ce que ses adversaires désignent comme la « théorie du genre », qui n’est qu’un fantasme, une manipulation idéologique. En gros, cette prétendue « théorie » soutiendrait un « déni manifeste du sexe biologique » et « engendrerait un chaos identitaire et existentiel » avec la fin de la différence des sexes, la transformation des filles en garçons », voire « l’apprentissage de la masturbation à l’école… » D’une certaine manière c’est tout le contraire. Discrimination, ségrégation, la revue de psychanalyse Cliniques méditerranéennes en explore « les figures actuelles »

Influence des images véhiculées par les médias sur nos jeunes – L'institut EgaliGone Par Violaine Dutrop Ce texte a servi de base à l’intervention en table ronde du 7 mars 2014 sollicitée par le Conseil Général de l’Isère : “Image des femmes dans les médias : notre jeunesse sous influence ?”. A noter : Une restitution succincte est disponible sur le site de Jeu de société production, dont les intermèdes théâtraux ont été brillants. Les médias : quels sont-ils ? TV (publicité / séries / télé-réalité / films / émissions / journaux TV / clips (je pense à celui de Robin Thick notamment)/ divertissements…)Presse (publicité / tous sujets d’information, de réflexion, de mode ou de divertissement)RadioInternet (ex.: clips, jeux en réseau)Eventuellement les médias culturels (dont livres, médias musicaux, jeux vidéo…)

En finir avec l'opposition égalité/équité - Une heure de peine... Vous êtes peut-être déjà tombé sur l'image ci-dessus : sur Facebook, sur Twitter, sur Tumblr, dans un mail qu'un ami vous aura envoyé, sur un blog, un site ou que sais-je encore. Et vous vous êtes peut-être dit "ah ben ouais, pas con, tiens". C'est la force des memes : un message simple, un brin d'humour, l'apparence de l'évidence, et donc un pouvoir de conviction très important par rapport aux efforts déployés. Il y aurait tout une étude à faire sur leurs effets sur les perceptions et les comportements politiques. Mais ce n'est pas le sujet ici. Si ce dessin a particulièrement retenu mon attention, c'est que l'on ne peut pas étudier, et encore moins enseigner, la sociologie et l'économie sans chopper quelques notions de philosophie de la justice au passage.

Miyazaki, Ghibli et le souhait d'émancipation des femmes Depuis sa création en juin 1985, le Studio Ghibli, grande figure de l’animation japonaise, a toujours été considéré comme innovateur et avant-gardiste. Il faut croire qu’Hayao Miyazaki avait décidé de cette ligne directrice à la création du Studio. Il avait personnellement choisi son nom en référence au Caproni Ca.309² Ghibli. C’était un avion de reconnaissance italien utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est clair qu’il avait voulu donner à son travail ce rôle d’éclaireur, de pionnier qui caractérise aujourd’hui tant le Studio Ghibli. Depuis 30 ans, leurs animations dénoncent les dérives d’un monde autour des thèmes de l’écologie, la violence liée à la guerre ou encore l’avancée technologique.

Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espacePartie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversationPartie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…). Nous verrons également qu’il est considéré comme peu convenable pour une femme de les arborer. Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Cela m’a passionnée et j’ai voulu approfondir ce point. Les dominants ont droit à plus d’espace1.

Livres pour enfants : les clichés sexistes n'ont jamais été aussi présents Que les angoissés d’une pseudo «théorie du genre», de nature à gommer toute différence entre garçons et filles, se rassurent. Vraiment. Faites un tour dans n’importe quelle librairie jeunesse, vous verrez : des rayons entiers de livres pour enfants reproduisant parfaitement les clichés et les stéréotypes. Des livres roses, avec des paillettes, des histoires de fées et de princesses qui poireautent en attendant leur chevalier. Pour les petits gars virils : l’escadron de pirates, cow-boys, et autres pompiers dans leur gros camion. Certes, derrière les piles, il y a aussi des livres qui sortent du lot, féministes et antisexistes assumés. L'inégalité salariale, ça commence très tôt, entre les garçons et les filles, avec l'argent de poche Aux Etats-Unis, l’inégalité salariale entre hommes et femmes commence très tôt: les petits garçons sont plus nombreux à toucher de l'argent de poche que les petites filles. Et ils gagnent davantage d'argent. Une étude de l’organisation Junior Achievement relayée par Slate.com révèle que les inégalités hommes-femmes n’attendent pas l’âge adulte pour se déclarer. Quand 67% des garçons âgés entre 8 ans et 18 ans reçoivent de l’argent de poche aux Etats-Unis, seules 59% des filles en touchent. Mais l’injustice ne s’arrête pas là: les adolescents, même s’ils participent moins aux tâches ménagères, sont mieux «rémunérés» que leurs sœurs, cousines, ou amies filles.

Les femmes et la vie politique Bien que le droit de vote soit reconnu en France depuis deux siècles, les femmes françaises ne peuvent voter que depuis la fin de la seconde guerre mondiale... En effet, il faut attendre l’Ordonnance d’Alger d’avril 1944 pour qu’elles puissent pour la première fois élire et… être élues. Depuis, leur participation à la vie politique n’a cessé de croître : les femmes sont ministres, députées, sénatrices, élues locales… Peut-être aurons-nous bientôt une femme Présidente de la République ! Mais, pour en arriver là, il en a fallu du temps… Ne forcez pas vos petites filles à faire des câlins ou bisous à leurs proches «Fais un bisou à Papa, il t'a acheté un beau cadeau!», «Dis au revoir à Mamie, fais-lui un gros câlin». Rares sont les parents qui n'ont jamais insisté pour que leur petite fille ou leur petit garçon se montre affectueux avec un proche.

Cette série photo brise les stéréotypes féminins La photographe Kate Parker met en scène ses filles dans la très belle série photo "Strong is the new pretty". L'idée : montrer qu'il est important d'être fidèle à soi-même et de ne pas céder aux pressions de la société. © Kate Parker "Fort est le nouveau joli", voilà comment on pourrait traduire la série photo "Strong is the new pretty" de Kate Parker.

Le genre à l'école et la mixité filles-garçons Vous avez sûrement entendu parler cette semaine de l’étude publiée par le centre Hubertine Auclert sur les supports pédagogiques utilisés en CP : moins de filles et de femmes dans les manuels scolaires et les livres jeunesses, des rôles stéréotypés pour tous. Encore aujourd’hui l’école ne sait pas trop quoi faire de la question du genre (le mot est lancé) et quand le ministère de l’éducation s’attaque à la problématique, comme avec les ABCD de l’égalité, il finit par reculer devant l’incompréhension d’une partie, pas si importante, de l’opinion, et décevoir les attentes qu’il a lui-même suscitées. La question reste brûlante, pas à cause des contestations non, mais à cause des vrais problèmes d’inégalités, de discriminations et de violences symboliques ou réelles, parce que les individus finissent par performer des stéréotypes que l’école n’a jamais remis en question et que cela conditionne leur existence même, les privant d’une certaine forme de liberté. Avec : Le budget com à la diète

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