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Paul Watzlawick

Paul Watzlawick
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Watzlawick, né le à Villach (Autriche) et mort le à Palo Alto (Californie) est un théoricien dans la théorie de la communication et le constructivisme radical, membre fondateur de l'École de Palo Alto. Il fut à la fois psychologue, psychothérapeute, psychanalyste jungien et sociologue. Ses travaux ont porté sur la thérapie familiale et la psychothérapie générale. Biographie[modifier | modifier le code] Watzlawick termine ses études secondaires en 1939 dans sa ville natale de Villach. Il obtient un poste pour les Nations unies en Italie. En 1960, il se rend à Philadelphie pour étudier l'approche thérapeutique de John Rosen à l'Institute for Direct Analysis. Ce groupe de chercheurs avec entre autres Gregory Bateson, Jay Haley, et Don Jackson, Paul Watzlawick va faire de cette École de Palo Alto une référence dans les domaines des théories de la communication, de la psychothérapie et de la thérapie familiale. 1. 2. 3. 4. 5. En collaboration Related:  CybernétiqueMEMOIRE

Gregory Bateson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bateson. Gregory Bateson (né le à Grantchester, Royaume-Uni – mort le à San Francisco) est un anthropologue, psychologue, épistémologue américain. Influencé par la cybernétique, la théorie des groupes et celle des types logiques, il s'est beaucoup intéressé à la communication (humaine et animale), mais aussi aux fondements de la connaissance des phénomènes humains. Il est à l'origine de l'école de Palo Alto. Biographie[modifier | modifier le code] En 1924, suite à un voyage aux Galápagos, Bateson, initialement voué à la zoologie, décide de devenir anthropologue. En 1938, il revient chez les Iatmul. En 1948, le psychiatre Jurgen Ruesch lui procure un emploi dans son équipe de recherche clinique à San Francisco et, en 1951, ils publient ensemble Communication et société. Il meurt le 4 juillet 1980, à l'âge de 76 ans, au San Francisco Zen Center. Parmi ses apports principaux, la postérité a retenu :

Autorégulation L’autorégulation est le nom donné à la régulation d'un système par lui-même. C'est le cœur de ce qui constitue l’autonomie du système[1] : ce qui fait qu'il se maintient une forme donnée selon des règles de fonctionnement interne. L’autorégulation est parfois liée à la complexité : les systèmes dont l'autorégulation est le plus inattendue sont les complexe. On l'étudie également dans les questions d'auto-organisation et d’émergence, qui désignent la façon dont un système construit de lui-même des caractéristiques que ne laissaient pas nécessairement prévoir ses composants ni leurs interactions, en général simples. L’autorégulation se fonde sur une ou plusieurs boucles de rétroaction (feedback), action d'un facteur sur lui-même par le biais d'un ou plusieurs autres facteurs. La cybernétique étudiée par Norbert Wiener et W. Trois exemples typiques[modifier | modifier le code] Neige[modifier | modifier le code] Solutions tamponnées en chimie[modifier | modifier le code] Voir[8]. Voir[9]. soit :

La Société de consommation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « La publicité tout entière n’a pas de sens, elle ne porte que des significations. Ces significations (et les conditions auxquelles elles font appel) ne sont jamais personnelles, elles sont toutes différentielles, elles sont marginales et combinatoires. C’est-à-dire qu’elles relèvent de la production industrielle des différences, par quoi se définirait, je crois, avec le plus de force le système de la consommation. » Dans nos sociétés où la consommation prend la place de la morale, le corps devient un objet, un capital soumis à un impératif de faire-valoir. Le pouvoir de la société de consommation est énorme. La société de consommation repose sur son propre mythe : « Si la société de consommation ne produit plus de mythe, c’est qu’elle est elle-même son propre mythe. Renversement de perspective fréquent, la « culture de masse » fait ainsi sienne la « contre-culture » .

Apprentissage formel, informel, non-formel, des notions difficiles à utiliser... pourquoi? Formel, non-formel et informel sont des notions en usage pour penser l’éducation, la formation et l’apprentissage tout au long de la vie et nous devons à la Commission européenne et au CEDEFOP de leur avoir donné une posture universelle au tournant des années 2000, si bien qu’aujourd’hui on y réfère soit pour y adhérer, tout ou partie, ou pour s’en distancer. Rappelons les définitions. L’apprentissage formel est celui qui est dispensé dans un contexte organisé et structuré (par exemple dans un établissement d’enseignement ou de formation, ou sur le lieu de travail), et qui est explicitement désigné comme apprentissage (en termes d’objectifs, de temps ou de ressources). L’apprentissage formel est intentionnel de la part de l’apprenant; il débouche généralement sur la validation et la certification. L’apprentissage informel découle des activités de la vie quotidienne liées au travail, à la famille ou aux loisirs. Pourquoi en est-il ainsi? La mise à mort du triptyque En conclusion

école de Palo Alto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'école de Palo Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir du début des années 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l'information et de la communication en rapport avec les concepts de la cybernétique. Ce courant est notamment à l'origine de la thérapie familiale et de la thérapie brève. L'école a été fondée par Gregory Bateson avec le concours de Donald D. Historique[modifier | modifier le code] Le Projet Bateson[modifier | modifier le code] En 1952 l'anthropologue Gregory Bateson obtient le financement de la fondation Rockefeller pour une étude du « paradoxe de l'abstraction dans la communication ». Bateson est fortement influencé par le courant cybernétique, né des conférences Macy auxquelles il participe de 1942 à 1953. Le MRI[modifier | modifier le code] Bateson quant à lui quitte Palo Alto en 1963.

Cybernétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cybernétique (en anglais cybernetics) est un terme, formé à partir du grec κῠβερνήτης (kubernêtês) « pilote, gouverneur », proposé en 1947 par le mathématicien américain Norbert Wiener pour promouvoir une vision unifiée des domaines naissants de l'automatique, de l'électronique et de la théorie mathématique de l'information, en tant que « théorie entière de la commande et de la communication, aussi bien chez l'animal que dans la machine »[1]. Des scientifiques d'horizons très divers et parmi les plus brillants de l'époque participèrent, autour des « conférences Macy » organisées de 1946 à 1953, à ce projet interdisciplinaire : mathématiciens, logiciens, ingénieurs, physiologistes, anthropologues, psychologues… Les contours parfois flous de cet ensemble de recherches s'articulent toutefois autour du concept clé de rétroaction (en anglais feedback) ou mécanisme téléologique. Histoire du mouvement cybernétique[modifier | modifier le code]

Jean Baudrillard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Baudrillard, né le 27 juillet 1929 à Reims et mort le 6 mars 2007 à Paris est un philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] De son premier mariage avec Lucile, il a deux enfants, Gilles et Anne. Nanterre[modifier | modifier le code] Jean Baudrillard fait sa seconde rupture en cessant l'enseignement secondaire, et opte pour la philosophie politique en entreprenant une thèse de doctorat en troisième cycle de sociologie de la vie quotidienne, discipline associée à la sociologie urbaine et fondée en France par le philosophe Henri Lefebvre, tout en suivant les cours de Roland Barthes à la VIe section de l'École pratique des hautes études. Son premier ouvrage théorique, Le Système des objets, paraît en 1968 — tardivement selon ses propres mots, puisqu'il est alors âgé de 39 ans[2]. Jean Baudrillard est l'une des figures pédagogiques de référence des activistes du mouvement du 22-Mars[3]. Chanson[modifier | modifier le code]

Goffman, Durkheim et les rites de la vie quotidienne 1Erving Goffman (1922-1982), professeur de sociologie aux universités de Chicago, Berkeley puis Pennsylvanie [1][1]Cf. Ditton 1980 ; Winkin 1988 ; Drew et Wotton 1988 ; Burns…, est un maillon essentiel de la tradition sociologique américaine du xxe siècle : il fait le lien entre l’École de Chicago et l’ethnométhodologie, entre Robert Park et Harold Garfinkel [2][2]Cf. Chapoulie 2001 ; Grafmeyer et Joseph 2004 ; Garfinkel 2007.. Mais il s’inscrit également dans la tradition sociologique d’Émile Durkheim, notamment par un petit livre, Les rites d’interaction (paru aux États-Unis en 1967 et traduit en français dans la collection « Le sens commun » chez Minuit en 1974), où il fait explicitement référence aux Formes élémentaires de la vie religieuse (1912). Comment cette incursion de Durkheim dans l’École de Chicago modifie-t-elle la tradition sociologique américaine [3][3]Une relecture de Durkheim à la lumière de Goffman a été… ? 36Et vous ? Et c’est bien là une chose extraordinaire.

psycho-sociologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychosociologie peut être considérée comme science de l'action et pratique d'intervention (praxis) engagée dans la vie sociale. Elle constitue un domaine de recherche et de pratiques d'interventions variées. Il s'agit d'un courant transdisciplinaire d'apparition récente qui rassemble des sociologues, des psychologues, des psychanalystes, des pédagogues. Champ d'application[modifier | modifier le code] La psychosociologie puise ses sources théoriques dans les différents courants des sciences humaines et continue d'ailleurs de subir de multiples influences. Viennent ensuite des apports orientés sur l'étude du psychisme, la psychologie sociale avec Kurt Lewin et Gabriel Tarde, La psychologie humaniste d'Abraham Maslow ou de Carl Rogers et la psychologie socio-culturelle de Jerome Bruner. La psychosociologie, à l'inverse de la sociologie, ne fait pas de césure entre l'individu et le collectif. Notes et références[modifier | modifier le code]

Cybernétique À propos de la cybernétique, il y a au moins une chose sur laquelle tout le monde s’accorde: Ce mot dérive d’un mot grec, kubernêtikê, que Platon utilisait pour désigner le pilotage d’un navire. Il s’est souvent servi de cette métaphore pour présenter l’art véritable de gouverner, celui qui repose sur la sagesse, sur la connaissance du Bien. «La cybernétique est l’art de rendre l’action efficace.» Jules César a possédé au suprême degré l'art de rendre l'action efficace. On attribue spontanément un tel exploit à une prodigieuse présence d’esprit... et des sens. À l’époque, personne n’aurait songé à créer une science ayant pour fin d’étudier la façon dont l’information avait circulé, s’était organisée dans l’âme et dans le corps de César. Cette assimilation de la vie à la machine évoque le matérialisme, mais c’est plutôt le formalisme qui caractérise la cybernétique. La cybernétique mérite-t-elle le nom de discipline, est-elle un art, une science ?

Antipub Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Absence de pub à Toulouse. Le terme « antipub » ou « mouvement antipub », raccourci pour antipublicitaire, est devenu une appellation médiatisée en France après des actions spectaculaires à l'encontre de l'affichage publicitaire dans le métro parisien en automne 2003. Cependant, le mouvement antipublicitaire et les actions de contestation de la publicité ont émergé bien avant et dans le monde entier : dès 1977, en Californie, avec le Billboard Liberation Front[1], qui essaime jusqu'en Australie, (1983) ; en 1987, en France, avec les Humains associés et leurs campagnes d'affichage de contre-publicité humaniste, et en 1989 au Canada via le magazine Adbusters, qui promeut également des campagnes et actions antipub. En France, les situationnistes, dont Guy Debord, avaient déjà exprimé parmi les premiers la force du détournement de l'image, de la publicité, et les premières expérimentations pratiques eurent sans doute lieu en mai 1968. Emballage

mark k smith | Mark K Smith I teach at the YMCA George Williams College, London (which is linked to Coventry University) and edit infed.org. Much of my time is concerned with developing programmes, learning resources and virtual learning environments (with the College and developinglearning.com). Previously, I was the Rank Research Fellow and Tutor at the College and a visiting professor in community education at the University of Strathclyde. For some time I have been a Fellow of the Royal Society of Arts. Among my books are Creators not Consumers (1980, 1982), Organise! Educated at the Cavendish School, Hemel Hempstead and the University of Lancaster, I went on to do a doctorate at the University of London. Click for more on my publications etc. and other areas of work. Mark K Smith Anthony Wilden Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anthony Wilden, (né le 14 décembre 1935 à Londres), a pris le point de vue sémiotique pour aborder un très large éventail d'applications où tout comportement est « signe » et a valeur de communication. Ses travaux sont principalement de l'ordre de l'épistémologie. Il a collaboré avec Jacques Lacan, René Girard et Gregory Bateson. Après son doctorat, Anthony Wilden enseignait à l’Université de Californie à San Diego où il a travaillé avec Gregory Bateson à l’élaboration de la cybernétique de la deuxième génération d’où sortira l’approche écosystémique. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Londres en 1935, éduqué au pensionnat de l’École Christ Church Hospital sur une bourse d’études accordée aux « pauvres méritants », il a quitté l’école à la fin des études pour immigrer au Canada en 1953 où il s’est établi en Colombie-Britannique en se mariant et devenant père de deux garçons. L'œuvre[modifier | modifier le code]

Norbert Wiener Norbert Wiener : père de la cybernétique, science des systèmes, du contrôle et des communications. « Ce grand savant, déclare Gérard Blanc, demeure un des piliers fondateurs de ce qui anime notre société : l’information et la communication » [1]. Vie d'un génie 1894 : Naissance de Norbert dans l’état du Missouri. Il est le fils aîné de Leo Wiener, enseignant polyglotte et auteur d’ouvrages savants et de Bertha Khan. 1896 : Le jeune Norbert sait lire et, de ce fait, est éduqué à la maison jusqu’à l’age de 7 ans. 1903 : Il entre pour une courte période à l’école avant de retourner étudier à la maison. 1906 : Il obtient son diplôme d’études secondaires et entre à l’université des Tufts pour étudier la biologie. 1909 : Il reçoit son diplôme et entre à Harvard pour étudier la zoologie. 1910 : Il quitte Harvard pour l’université Cornelle, pour retrouver les mathématiques. 1911 : Retour à Harvard pour commencer une thèse. 1913-1915 : Il suit des enseignements en Europe et rencontre Russel.

J'ai mis une vidéo de Paul Walzlawick dans palo alto by stanislasdano Dec 27

C'est plutôt facile et ludique on se prend rapidement au jeu. by stanislasdano Dec 27

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