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Jean-Marie Harribey » Blog Archive » Taxer le soleil, le travail ou taxer la bêtise ? Mon attention a été attirée par un article du Monde de l’Éco&Entreprise daté du 15 mars 2014, intitulé « Quand l’État taxait le soleil » et signé par Jean-Marc Daniel. Il raconte les débuts de l’invention de la fiscalité sur le patrimoine au moment de la Révolution : dans les villes, la richesse se mesurait au nombre des portes et fenêtres des habitations et des demeures de luxe. Heureusement, on s’aperçut assez vite que le murage des ouvertures pour limiter la base fiscale avait un gros inconvénient : le soleil et la lumière n’entraient plus dans les maisons, avec un risque de santé évident. Mais ce qui reste étonnant, c’est la manière dont cette mesure est racontée : on taxait trop le soleil. Dites-nous ce que vous taxez et nous vous dirons qui vous êtes ou pour qui vous roulez Mais, dans tous les cas, on a « taxé » le travail, puisque toute valeur en provient. Taxez la bêtise et vous taxerez toujours le travail Le problème précédent se retrouve avec tout type de fiscalité.

Méthode du dynamique et du funiculaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode du dynamique et du funiculaire est une méthode graphique de résolution des problèmes de mécanique statique (statique graphique). Elle consiste à tracer deux diagrammes : le dynamique ou polygone des forces : les vecteurs force sont représentés avec une échelle donnée (par exemple 1 cm = 100 N) et mis bout à bout ; à l'équilibre, ils forment un polygone fermé, ce qui traduit le fait que la somme des forces est nulle ;le polygone funiculaire, ou funiculaire : sur le dessin représentant le système, on trace des segments de droite limités par les lignes d'action des forces, et à l'équilibre, on a un polygone fermé ; ceci traduit le fait que la somme des moments des forces par rapport à un point est nulle (théorème de Varignon). Le dynamique et le funiculaire sont donc une illustration graphique du principe fondamental de la statique. Principe de la méthode[modifier | modifier le code] et Puis, on écrit un tableau de deux lignes :

Comprendre le capitalisme Au XVIIIe siècle, la productivité économique connut un essor sans précédent. Dans les années 1800, le PIB par habitant commença à augmenter de manière significative en Europe. Cette progression se poursuivit par la suite, de sorte qu’en 2003, le PIB par habitant en Europe de l’ouest était environ vingt fois supérieur à celui de 1700. De même, le PIB mondial par habitant était onze fois supérieur à celui de 1700. Grâce aux évolutions technologiques dans le domaine médical et à l’amélioration du niveau de vie moyen, l’espérance de vie mondiale passa de 30 ans en 1800 à 67 ans en 2000, voire à 75 ans dans plusieurs pays développés. Si nous appelons « capitalisme » ce système économique qui prit son essor au XVIIIe siècle et entraîna une telle intensification de la productivité, c’est notamment parce que celui-ci dépendait d’évolutions dans le domaine financier, ainsi que des emprunts et des investissements effectués à partir d’un capital financier.

Centre de prospective de l'apprentissage, de l'enseignement professionnel et technologique | agefa-pedagogie En collaboration, avec des chambres de commerce et des écoles représentant des branches professionnelles significatives du monde des PME PMI, AGEFA PME a constitué, en 2011, un centre de prospective de l'apprentissage de l'enseignement professionnel et technologique. Vous trouverez ici en téléchargement des études issues de nos travaux précédents qui étaient réalisés dans le cadre de notre observatoire de l'enseignement professionnel et de l'apprentissage. Ces études sont notre patrimoine. - l'orientation, - l'Europe, - les TIC, - l'apprentissage et son évolution. Nous y ajoutons également, dans le cadre d'une de nos prochaines études, le développement durable. Pour votre information, voici les prochains thèmes d'études que nous souhaitons vous faire partager: Le BTS, passeport pour l’emploi ? Quelles promesses attendre du cycle court ? Notre réflexion s’est faite en trois axes : Quels sont les outils de recherche, de suivi et de financement de la mobilité ?

Quand Keynes imaginait le capitalisme en 2030 - Bibliobs Sous le titre « Lettre à nos petits-enfants», Les Liens qui libèrent republient «Economic Possibilities for Our Grandchildren», un petit essai étrange de John Maynard Keynes. Il s'y projetait cent ans plus tard pour imaginer la société du futur. A le lire, la croissance aura en 2030 chassé la misère. Nous vivrons dans une société d'abondance dans laquelle nous travaillerons très peu: «Il sera temps pour l'humanité d'apprendre comment consacrer son énergie à des buts autres qu'économiques»; «l'amour de l'argent […] sera reconnu pour ce qu'il est: un état morbide plutôt répugnant». Pour André Orléan, l'intérêt de ce texte réside dans la rupture avec le capitalisme qu'entrevoit Keynes. Ce petit texte était-il selon vous visionnaire? André Orléan. En revanche, Keynes se trompe lorsqu'il imagine une société d'abondance, qu'on ne voit toujours pas apparaître, même en se limitant aux pays les plus développés. Le penseur de gauche idéal a existé : il s'appelle André Gorz Absolument nécessaire.

Au secours… trop d’info L’infobésité vous connaissez ?! Non ? La bonne question serait en fait, l’infobésité, est-ce que vous en souffrez ? L’infobésité désigne le surplus d’informations que nous recevons chaque jour et qui finalement a un impact négatif sur notre travail et sur la productivité globale des entreprises. Commençons par les e-mails qui représentent la première source d’information en entreprise (selon 61% des interrogés). Parallèlement et paradoxalement alors que nous sommes submergés par l’information, un salarié passe en moyenne 25 minutes par jour à rechercher des informations dont il n’a pas directement accès. Les conséquences pour l’entreprise sont lourdes. Quand trop d’info désinforme ! Être et rester informé tel est l’enjeu des entreprises. Les média, les e-mails, les réseaux sociaux, mon smartphone, ma tablette, ma télé, etcetera ! Vous aussi calculez-votre degré infobésité grâce au test de Mindjet . Charline LEMEE

Les grands patrons ont déjà gagné plus que le salarié moyen en une année S'ils sont aussi bien rémunérés que l'année dernière, les patrons des 120 plus grandes entreprises de l'Hexagone (SBF 120) ont théoriquement déjà touché plus que le salaire annuel moyen en France. C'est même le cas depuis le 3 janvier, selon un calcul de La Tribune s'inspirant d'une étude du think tank britannique High Pay Centre. Pour arriver à ce résultat, le calcul est simple. Avec une rémunération moyenne record en 2015 de 3,5 millions d'euros (+20% sur un an, selon les chiffres du rapport annuel de la société de conseils Proxinvest ), les patrons du SBF 120 ont "palpé" 9.589 euros par jour (3.500.000 euros / 365 jours). Dans le privé, le salaire net moyen atteignait 2.200 euros par mois en 2013 (-0,3% sur un an, en euros constants) selon les derniers chiffres en date de l'Insee. "Fat Cat Wednesday est un rappel important du problème persistant de l'écart salarial injuste au Royaume-Uni. | Opinion Les actionnaires désormais arbitres des rémunérations des dirigeants

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