Shutterstock : Images, photos, images vectorielles, vidéos et morceaux de musique de stock Visite virtuelle du Conseil constitutionnel Les institutions de la République se doivent d'être accessibles de bien des manières aux citoyens qu'elles servent. Au titre de la sa démarche d'ouverture, le Conseil Constitutionnel propose désormais sur son site Internet une visite virtuelle à 360 ° de ses locaux, commentée par Stéphane Bern. Avec en fil rouge l'esprit de liberté qui habite depuis son origine le Palais-Royal, l'internaute est invité à pénétrer dans les principales salles du Conseil, et à en découvrir l'architecture et les ornements, à cheminer dans leur histoire et à se familiariser avec le fonctionnement du Conseil constitutionnel. Quelques clics suffisent pour découvrir à 360 ° les authentiques décors d'époque Louis-Philippe, ou Napoléon III, et zoomer pour en admirer certains détails. Guidant le visiteur, Stéphane Bern évoque les divers personnages historiques qui ont marqué de leur empreinte, souvent originale et non conformiste, l'histoire de ces lieux.
Crimes et Justices au Moyen Âge Cette exposition a été présentée à la Tour Jean sans Peur du 8 mai 2019 au 5 janvier 2020. Les sources judiciaires de la fin du Moyen Âge permettent d’exhumer nombre de cas criminels qui battent en brèche l’image trop souvent violente et expéditive attribuée à la justice médiévale. Surtout ces sources permettent d’établir une hiérarchie des crimes, différente de notre justice actuelle, où la renommée (la fama) tient une place importante, quelle que soit l’origine sociale des individus, si bien que l’homicide pour l’honneur est souvent excusable. Commissaire de l’exposition Claude Gauvard Professeur émérite d’histoire médiévale Paris 1 Panthéon-SorbonneContributions Pour les prisons médiévales Julie Claustre, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Pour la recherche iconographique Danièle Alexandre-Bidon, EHESS Agnès Lavoye, Tour Jean sans PeurCoordination Rémi Rivière, Tour Jean sans Peur Agnès Lavoye, Tour Jean sans PeurConception et réalisation graphiques J.
Crimes et rapines. Petites et grandes affaires de l’Est parisien (1880-1914) Cette exposition virtuelle est un portage en ligne de l’exposition Crimes et rapines et grandes affaires de l’Est Parisien (1880-1914) présentée à la Tour Jean sans Peur du 8 mai 2019 au 5 janvier 2020. Taillés en 1860 sur le territoire des communes de banlieue, les 19e et 20e arrondissements de Paris regorgent de menus faits divers, souvent méconnus, toujours évocateurs d’un rude quotidien. À l’aube du XXe siècle, l’atelier, le lavoir, le domicile et la rue fournissent les cadres du forfait ordinaire. Parfois, le crime défraie la chronique et occupe le devant de la scène médiatique. Commissaire de l’exposition : Anne Delaplace, Association Deambulatio-Patrimoines en partageGraphisme : Jean-Jacques Guillon, C-VisuelCoordination : Rémi Rivière Vous pouvez également visiter sur Criminocorpus l’exposition Crimes et justice au Moyen Âge présentée à la Tour Jean sans Peur du 8 mai 2019 au 5 janvier 2020.
L’affaire. Lurs, 4 août 1952 6 août 1952. Le rapport rédigé par le capitaine de gendarmerie Albert qui commande la section de Forcalquier est l’un des premiers documents d’archives relatifs à l’affaire de Lurs. Les faits rapportés y sont décrits avec la plus grande sécheresse. Il signale trois « campeurs assassinés »; les noms des victimes : « sir Jack Drummond, lady Ann Wilbraham, Elizabeth Ann Drummond » ; l’arme du crime : « carabine américaine Rok-Ola, 8 mm 90 » ; les causes de la mort : l'homme touché par deux balles, la femme, cinq balles et « la petite fille a été assassinée à coups de crosse sur la tête » ; le mobile : le vol . L’affaire de Lurs – un triple crime – devenue par un glissement sémantique « l’affaire Dominici » – a fait couler et fera encore couler beaucoup d’encre. L'écho médiatique du crime de Lurs s'inscrit dans le goût d’un certain public pour les affaires criminelles, que l’édition a exploité, avec entre autres le célèbre commissaire Maigret, mais aussi la télévision.
Présumées coupables | Archives nationales (France) Du 30 novembre 2016 au 27 mars 2017 : Site de Paris - Hôtel de Soubise Restituer la voix des femmes à travers les pièces de procédure de la fin du Moyen Âge au 20e siècle, telle est l'ambition de cette grande exposition. Plus de 320 procès-verbaux d'interrogatoires, qui sont parfois les seules traces écrites de destinées fragiles, nous livrent les propos tenus par des femmes confrontées aux juges qui les questionnent. Au-delà de la foule des anonymes jugées pour des « crimes atroces », seront bien sûr exposés les interrogatoires des personnalités : Jeanne d'Arc, La Voisin, La Brinvilliers, Violette Nozière, Arletty, etc. Bande annonce en vidéo Exposition "Présumées coupables" par Archives_nationales_Fr Autour de l'exposition Evénement exceptionnel : les Archives nationales vous invitent à une après-midi de débats et rencontres. Enjeux scénographiques Préface d'Elisabeth Badinter 320 pages, 25 euros, ISBN 979-1-09-543822-9 Magazine Historia France Culture partenaire de l'exposition
Filmer les procès : un enjeu social | Archives nationales (France) Audio-Visual Exhibition Entry free of charge From October 15, 2020 to May 14, 2021 Sites in both Pierrefitte-sur-Seine and Paris The Justice Ministry's audio-visual archives, maintained by the French National Archives, are for the first time being made available to the public within the framework of a unique exhibition. Thanks to the Law of the 11th of July 1985 (loi du 11 juillet 1985) as advocated by then Minister of Justice, Robert Badinter, cameras have been allowed into courtrooms to monitor cases on the Second World War, the Chilean dictatorship and the genocide perpetrated against the Tutsis in Rwanda. They provide the opportunity to immerse yourself entirely in the trials, which have been filmed in their entirety. Few of us have ever had the opportunity to enter the inner sanctum of the courtroom, to go through the process of a trial. Press Kit {Pdf-Fr-450Ko} The Justice Ministry's Audio-Visual Archives Regarding the Pierrefitte Exhibition Regarding the Exhibition in Paris
La science à la poursuite du crime : Alphonse Bertillon, pionnier des experts policiers | Archives nationales (France) Exposition du 14 septembre 2019 au 18 janvier 2020 site de Pierrefitte-sur-Seine PROLONGATION jusqu'au 14 mars 2020. INVITATION pour le samedi 14 mars {Pdf/679Ko} Alphonse Bertillon (1853-1914) tient une place essentielle dans l'histoire des savoirs sur le crime. Établir avec certitude « qui est qui », photographier et cartographier méthodiquement les scènes de crime, collecter et analyser les moindres traces laissées par les malfaiteurs là où ils commettent leurs forfaits… Sherlock Holmes ainsi que les nombreux enquêteurs des séries policières et autres polars lui doivent beaucoup. Rien ne semble échapper à ce fin limier qui, entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, révolutionne les méthodes d'identification et influence les pratiques policières à travers le monde entier. Vidéo-annoncede l'exposition à voir sur YouTube Le dossier de presse {Pdf - 1,2 Mo} Alphonse Bertillon (1853-1914) Pierre Piazza, Commissaire scientifique de l'exposition Parcours de l'exposition En savoir plus