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Observateurs France 24 - Copiées, comment les intox fabriquent des stéréotypes rac...

Observateurs France 24 - Copiées, comment les intox fabriquent des stéréotypes rac...
Sur les réseaux sociaux, certains blogs ou dans la bouche des politiciens, les migrants sont régulièrement associés à la criminalité, à l’assistanat ou aux activités terroristes. Ces raccourcis s’appuient sur de fausses informations, souvent illustrées par des images manipulées, qui sont massivement partagées sur les réseaux sociaux. La rédaction des Observateurs de France24 s’est associée à un projet de recensement et de classification de ces fausses nouvelles, dont nous livrons les premières conclusions. La journaliste turque Gülin Çavuş, du site de vérification Teyit.org, a lancé un projet journalistique avec l’International Fact-Checking Network (IFCN), un collectif mondial de médias de vérification, autour de la désinformation sur les migrants, pour recenser les fausses informations à leur sujet et les articles les corrigeant. L’objectif principal ? Cette étude n’est pas exhaustive, mais ses résultats sont voués à être complétés à l’avenir. Le migrant "terroriste" Related:  Fake, rumeur, complot et vérification de l'info, propagande

Le Monde- Que font les géants du Web contre les fausses informations ? Emmanuel Macron a annoncé, mercredi 3 janvier, lors de ses vœux à la presse, qu’il comptait « prochainement » déposer un projet de loi pour lutter contre les fausses informations en ligne. Le président français dit vouloir « responsabiliser les plates-formes et les diffuseurs sur Internet ». Sans dévoiler précisément les contours du futur texte, il a expliqué que « les plates-formes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l’identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus ». Au micro de Franceinfo, M. Macron a donné quelques précisions : « Lorsqu’une plate-forme diffuse les fake news, la personne concernée a la possibilité de saisir un juge des référés pour faire retirer dans les 24 à 48 heures qui suivent cette information, de sorte à ce qu’elle puisse mettre en cause la responsabilité de la plate-forme qui a diffusé une telle information. »

Migrants et "médias menteurs" : un combo classique de l'intox Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

Quelle histoire Cyrus ! - Fake news - Francetv Éducation Avec l’élection récente aux Etats-Unis de Donald Trump, vous avez peut-être entendu parler de fake news sans forcément comprendre ce que ça veut dire… Les fake news qu’est-ce-que c’est ? Si on traduit mot à mot, ce sont les fausses informations. C’est très facile de trouver des informations fausses sur internet, tout le monde peut se tromper et un article plein d’erreurs non voulues, même s’il est partagé des milliers de fois sur les réseaux sociaux, n’est pas une fake news. La vrai fake news, elle est différente. C’est une information qui a été écrite pour tromper la personne qui la lit. Retrouvez le deuxième épisode sur la séparation des pouvoirs. Réalisateur : Tom Aguilar Producteur : FRANCE TELEVISIONS - GOLDENIA STUDIOS Auteur : Thibault Chuffart, Cyrus North Production : 2017

Médias français : qui possède quoi (à jour) (Le Monde diplomatique, décembre 2016) Dernière mise à jour : décembre 2023 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires et décideurs. Malgré les nombreux changements intervenus depuis la dernière publication papier, le principe demeure : les entreprises de presse constituent une marchandise de luxe très prisée des grandes fortunes. Des erreurs peuvent subsister.

EMI et migrations À tous les niveaux d'enseignement, de l'école élémentaire jusqu'au lycée (général, technologique ou professionnel), les sujets liés à l'immigration occupent une place importante dans les programmes scolaires. De nombreuses disciplines sont concernées (histoire, géographie, lettres, éducation morale et civique, arts, langues vivantes, histoire des arts…) mais aussi les parcours d’Éducation artistique et culturelle et le parcours citoyen. Téléchargez en pdf la place des migrations et de l'immigration dans les programmes scolaires, recensement réalisé par le Musée national de l'Histoire de l'Immigration. Guide pédagogique du CLEMI et MNHI "La crise migratoire dans la presse et les médias" qui propose 4 séances Exposition Dessin de presse et Migrants de l'association Cartooning for Peace A télécharger: expositions-emi-a-disposition A emprunter à partir de septembre 2018 auprès de la MGEN Paris : sgouzouguec@mgen.fr Ressources pédagogiques du Musée de l'Histoire de l'Immigration (Porte Dorée)

Le cas du faux tigre de Seine-et-Marne - CLEMI «Je crois que j’ai vu un lynx» L’alerte est donnée par Le Parisien à 12h02, le 13 novembre 2014 : à Montegrain, en Seine-et-Marne, la femme d’un gérant de supermarché a signalé la présence d’un tigre dans la matinée. «Elle n’est pas sortie de la voiture et m’a appelé pour me dire "je crois que j’ai vu un lynx", signale son époux, au Parisien. Le témoin a réussi à prendre quatre clichés de l’animal, repris dans la presse et sur les réseaux sociaux : Onze minutes après la publication de l’article du Parisien, l’AFP publie également une dépêche pour signaler la présence d’un tigre. CNews Matin évoque, sur la base de la dépêche AFP, "Un tigre en liberté en Seine- et-Marne". Dans une nouvelle dépêche AFP publiée le soir, une deuxième source confirme la présence d’un tigre : Robert Picaud, président départemental de la Louveterie*, assure avoir expertisé une trace. L’emballement des médias Sur la base de ces deux sources, le témoin le matin, et l’unique expert l’après-midi, tout s’emballe.

Un photoreporter raconte sa rencontre avec un enfant migrant Pour recevoir tous les jours les articles et vidéos d'1jour1actu, merci de renseignez votre e-mail : Ces informations sont destinées au groupe Bayard, auquel Milan presse appartient. Elles sont enregistrées dans notre fichier afin de vous envoyer les newsletters que vous avez demandées. Conformément à la loi « Informatique et Libertés » du 6/01/1978 modifiée et au RGPD du 27/04/2016, elles peuvent donner lieu à l’exercice du droit d’accès, de rectification, d’effacement, d’opposition, à la portabilité des données et à la limitation des traitements ainsi qu’au sort des données après la mort à l’adresse suivante, en joignant une photocopie de votre pièce d’identité : Bayard (CNIL), TSA 10065, 59714 Lille Cedex 9. Pour plus d’informations, nous vous renvoyons aux dispositions de notre Politique de confidentialité sur le site groupebayard.com.

Journalistes et chocolat au lait : don't fuck with your level of english ! - L'Observatoire des médias Faire du journalisme c’est bien. Reprendre une info croustillante sur un site américain, car l’on pense que cela fait du clic, ou que cela puisse « détendre » son internaute, cela arrive, dans nos rédactions « modernes ». Mais… dans ce cas-là, il faut faire attention à son niveau d’anglais. On a vu fleurir ce week-end une info, à la base tirée par les cheveux, et ensuite TRÈS mal traduite, puis corrigée, mais pas partout. Pour moi, cela avait commencé ce samedi matin, à 9h30, en balayant l’appli Franceinfo. Je vois dans « les titres » cette info datée de 22h37 la veille. Par bonheur, l’article met les liens vers la source : Le souci, c’est que le ou la journaliste à la base de cette info en France (qui n’est a priori pas le ou la journaliste de Franceinfo) ne parle pas bien l’anglais. Don’t fuck with your level of English : un problème de culture. Il s’agit donc en français, si on voulait reprendre cette info, de la traduire en « lait chocolaté » ou « lait au chocolat« . Mais pas toutes.

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