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Bataille de Stalingrad

Bataille de Stalingrad
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La bataille de Stalingrad désigne les combats du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, pour le contrôle de la ville, aujourd'hui Volgograd, entre les forces de l'Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich et de ses alliés. Ils incluent l'approche de la ville par les armées de l’Axe, les combats urbains pour sa conquête à partir de septembre, puis la contre-offensive soviétique, jusqu'à l'encerclement et la reddition des troupes allemandes. L'ensemble de ces combats, dans et hors de la ville, se sont étendus sur un peu plus de six mois et ont coûté la vie à environ 750 000 combattants[1] et à 250 000 civils parmi six nations, ce qui en fait une des batailles les plus meurtrières de l'histoire. Résumé[modifier | modifier le code] Le 28 juin 1942, l'Allemagne nazie lance sa deuxième grande offensive stratégique en URSS, l'opération Fall Blau, qui vise les pétroles du Caucase. Contexte[modifier | modifier le code] Related:  Stalingrad

Stalingrad battle data : units, commanders and men Battle of Stalingrad Operation Blau: German advances from 7 May 1942 to 18 November 1942 to 7 July 1942 to 22 July 1942 to 1 August 1942 to 18 November 1942 Historical Background[edit] The Germans decided that their summer campaign in 1942 would be directed at the southern parts of the Soviet Union. The German operations were initially very successful. The Soviets realized that they were under tremendous constraints of time and resources and ordered that anyone strong enough to hold a rifle be sent to fight.[20]:p.94. Prelude[edit] Case Blue[edit] If I do not get the oil of Maikop and Grozny then I must finish [liquidieren; to kill off, liquidate] this war. Hitler intervened, however, ordering the Army Group to split in two. The initial advance of the 6th Army was so successful that Hitler intervened and ordered the 4th Panzer Army to join Army Group South (A) to the south. Infantry and a supporting StuG III assault gun advance towards the city center. Attack on Stalingrad[edit]

Armée rouge Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un an après la fin de la Seconde Guerre mondiale, en 1946, cette armée, tout en gardant le surnom d'Armée rouge, prend le nom officiel d'Armée soviétique (Советская Армия, Sovetskaïa Armia), qu'elle conserve jusqu’à la dislocation de l'Union soviétique en décembre 1991. Les débuts pendant la guerre civile[modifier | modifier le code] 1919 - division de Taman. L'amélioration de l'armée par Trotsky[modifier | modifier le code] Cette nouvelle force armée n'est pour l'instant qu'une levée de volontaires, menée au combat par des officiers élus, certes motivée politiquement, mais dépourvue d'expérience militaire. Grâce à ce système et sa supériorité numérique, l'Armée rouge, prend définitivement l'ascendant sur les troupes blanches, malgré les interventions, parfois directes, des puissances étrangères et sa défaite contre la Pologne. La lutte durant la guerre civile[modifier | modifier le code] L’entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Feldgrau.com - The German Armed Forces 1919-1945 Wehrmacht Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Wehrmacht (prononcé en allemand : [ˈveːɐ̯maxt] (littéralement « force de défense »)) est le nom porté par l’armée allemande dans le IIIe Reich d'Adolf Hitler à partir de la réforme de 1935 et jusqu'en août 1946, quand la capitulation allemande du dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale est formellement reconnue. Elle est issue de la transformation de la Reichswehr, l'armée allemande créée par le traité de Versailles de 1919 consécutif à la défaite allemande dans la Première Guerre mondiale. De 1946 à 1955, il n'y a plus d'armée allemande ; elle est remplacée en Allemagne de l'Ouest par la Bundeswehr en 1955, et l'année suivante par la Nationale Volksarmee en Allemagne de l'Est. La Wehrmacht comporte trois armes : Elle est sous le commandement de l'Oberkommando der Wehrmacht (OKW), qui supervise les commandements suprêmes des trois armes. Organisation[modifier | modifier le code] Innovations tactiques[modifier | modifier le code]

Axis History Factbook: Home Gueorgui Joukov Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gueorgui Konstantinovitch Joukov (en russe : Георгий Константинович Жуков) ( CJ - ) est un militaire et homme politique russe, puis soviétique. Famille et jeunesse (1896-1914)[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] En 1891, à 50 ans, son père se remaria avec Oustinia Artemievna du village voisin de Tchernaïa Griaz, qui était très pauvre elle aussi. En 1901, Gueorgui eut un petit frère appelé Alekseï. Jeunesse[modifier | modifier le code] En 1903, Iegor, comme le surnomme son père, entre dans l'âge de raison : il doit commencer à travailler aux fenaisons et aux moissons ; maladroit, il se coupe à l'annulaire gauche (une cicatrice qu'il garde à vie). En 1904 il entre à l'école, et rejoint les chœurs. En 1905, les grèves se multiplient en Russie et à Moscou en particulier. Au printemps 1911 il rentre chez sa famille pour dix jours. Première Guerre mondiale (1914-1918)[modifier | modifier le code]

Trapped Stalingrad Armies Liquidated - Times Archive Scandal of British troops left to face murder lies A group of Iraqis demanding compensation for alleged ill-treatment by British soldiers would not have got substantial legal aid if a document that undermines their case had been handed over, their lawyer has admitted. Chris Grayling, the justice secretary, has been urged to investigate how the allegations led to a £23 million inquiry into the conduct of British soldiers in Iraq ten years ago. The two law firms involved, which are blaming each other for failing to disclose the evidence, are understood to be handling more than 2,000 additional claims against the Ministry of Defence for unlawful killing or ill-treatment of Iraqis and Afghans. More than 200 soldiers have been questioned during the four-year Al-Sweady inquiry into the alleged murders and mutilation of prisoners in 2004. I’m sick of blog bullies, says MP A prominent Tory backbencher has hit out at “aggressive male bloggers” who, she claims, target female MPs.

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