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Et tout le monde s'en fout - Le sexisme ordinaire au travail

Et tout le monde s'en fout - Le sexisme ordinaire au travail
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Contes à rebours (20') Ponctuée d'extraits de son spectacle "Contes à Rebours", cette vidéo vous invite à mettre "à l'endroit" les contes de fées avec Typhaine D (metteuse en scène, comédienne, autrice). Elle nous parle ici de sa réécriture égalitaire des contes. Vous ne verrez plus jamais pareil le Petit Poucet, Blanche neige, La Belle au bois dormant, Peau-d'âne, le petit Chaperon rouge, Cendrillon, etc...La vidéo c'est bien, mais dans ce cas, le spectacle vivant c'est mieux :Si vous voulez organiser une représentation près de chez vous, accompagné ou non d'échanges avec les élèves ou les équipes pédagogiques, ou d'ateliers, contacter Typhaine D : info@typhaine-d.comPour en savoir plus sur cette artiste : www.typhaine-d.com Vous trouverez ci-dessous dans la section "Vidéos associées" des capsules vidéos avec Typhaine D à l'adresse des enfants de primaire

Océan: en tant que personne trans, "on vit des croisements de discriminations" Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car : Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner. Vous utilisez un bloqueur de publicité. LGBT+ - “Qu’est-ce qui se passe quand on est un féministe radical comme moi et que, tout d’un coup, on dit ‘monsieur’ dans une boulangerie?” Lorsque que l’on ne connaît pas l’humoriste à qui l’on doit La lesbienne invisible, Chatons violents ou encore Embrasse-moi, les étiquettes “homme”, “blanc”, “hétéro”, voire “bourgeois”, sont faciles à coller à Océan. “Maintenant, t’es passé de l’autre côté, t’appartiens au groupe des hommes”, “tu peux plus dire que t’es féministe”, sont des phrases qu’il a pu entendre à de nombreuses reprises. “J’ai gagné en confort, pas en privilèges” “Je n’ai pas gagné en privilèges, comme beaucoup de personnes le sous-entendent. En revanche, ajoute-t-il: “oui, j’ai gagné en confort. Personne “sexisée”

«L'humour et les injures sexistes bénéficient d'une grande tolérance sociale» C’est un mal sournois, qui semble solidement implanté, sans que l’on sache précisément dans quelle mesure. Dès lors, comment l’endiguer ? Jusqu’à ce jeudi, il était difficile de mesurer l’ampleur du sexisme en France. Voilà qui est désormais réparé : le Haut Conseil à l’égalité (HCE) vient de rendre public le premier état des lieux de ce fléau. Non qu’il vienne tout juste de débouler dans l’Hexagone (loin de là), mais aussi surprenant que cela puisse paraître, aucune disposition législative ne contraignait à pareil examen, jusqu’à la loi relative à l’égalité et la citoyenneté du 27 janvier 2017. LIRE AUSSI:Le pouvoir a-t-il un sexe? «Entre-soi masculin» Tout au long du mois de novembre, la très sérieuse institution a passé au crible près de 70 contenus humoristiques diffusés dans des matinales radio, des vidéos YouTube, ou sur Internet. Autre pandémie sexiste : l’injure. A lire aussi Inventaire à la pervers des insultes de rue A lire aussiComment faire la peau du sexisme au boulot

Colin Stokes: Colin Stokes : Comment les films nous enseignent la virilité Homophobie : le témoignage d'un jeune rejeté par ses proches Cet article date de plus de trois ans. Publié le 21/01/2020 21:41 Mis à jour le 21/01/2020 22:17 Durée de la vidéo : 2 min En France, il est parfois difficile d'assumer ouvertement son homosexualité. Anthony, 21 ans, raconte comment il a été rejeté par ses parents, après leur avoir révélé, il y a quelques mois, qu'il était gay. C'est à Nice, dans les Alpes-Maritimes, qu'Anthony a commencé une nouvelle vie. Le jeune homme poursuit : "Mon frère de 18 ans est descendu avec un grand sourire et il m'a dit : 'J'ai pas envie de dormir avec une tapette, j'ai pas envie que tu me fasses des attouchements.'" Partager : l'article sur les réseaux sociaux L’actu à 18h30 Tous les soirs, recevez l'essentiel de l'actualité France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "L’actu à 18h30".

Sexisme à l'école, silence dans les rangs Une ado de 15 ans plaquée contre le mur des toilettes du lycée professionnel Gallieni de Toulouse et victime d'attouchements de la part de trois agresseurs. Des élèves de terminale du lycée Camille Pissarro de Pontoise (Val d'Oise) qui, parce qu'elles seraient trop court-vêtues, doivent affronter des camarades masculins hilares, mimant des actes pornos et les injuriant sans retenue - "sale pute", "gros cul", "t'es bonne"... La vidéo d'une toute jeune fille ayant des rapports sexuels avec deux garçons qui circule de téléphone en téléphone, sans le consentement bien sûr de l'intéressée, auprès de ses pairs du lycée d'Alembert, dans le XIXe arrondissement parisien. Ce "tu suces ?" jeté au visage d'une élève du lycée Jacques-Prévert, à Savenay, près de Nantes, pour avoir eu l'"audace", encore une fois, de porter une jupe avec des chaussettes hautes et des souliers à talons. LIRE AUSSI >> N'abandonnons pas les filles Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Si les parents savaient..."

"Viril" ou la catharsis féministe de Virginie Despentes, Béatrice Dalle et Casey Lumières aveuglantes, guitare électrique et musique qui martèle comme pour nous plonger en transe... Dès les premières minutes, le public est sous tension. On n'est pas là pour s'amuser, on va en prendre plein la figure. Et c'est le but. Béatrice Dalle ouvre le bal. Casey enchaîne et garde le rythme - normal pour une rappeuse. Virginie Despentes entre en scène, avec sa voix grave et saccadée, un peu à la Sagan. L'illustration sonore, un post-rock hypnotique, nous maintient en apnée, face aux coups de poings que nous assènent les trois artistes, l'une après l'autre. C'est une lettre d'amour, et de souffrance, qui vient clôre la performance sur une note de fausse douceur : la colère, désormais, appartient au passé. La salle était comble. Ce spectacle légitimise la colère diffuse que l'on a en nous et donne de la force pour la suite. "Cela fait du bien de prendre cela en pleine face. Vos moments préférés, les plus marquants ? Je trouve qu'un espace non inclusif, c'est super important.

VIDEO. Romantiques ou potaches ? Non, ces scènes de films sont des agressions sexuelles Cet article date de plus de six ans. Publié le 26/10/2017 06:16 Mis à jour le 26/10/2017 10:04 Durée de la vidéo : 2 min De James Bond à Indiana Jones, plusieurs grands personnages du cinéma utilisent des méthodes de séduction parfois très violentes. Avec l'affaire Weinstein, les violences sexuelles dans les coulisses du cinéma éclatent au grand jour. De James Bond à Han Solo, en passant par Indiana Jones, les films à succès regorgent de scènes où le personnage masculin oblige une femme à l'embrasser. D'autres films, comme Les Valseuses dans leur scène d'ouverture, participent à cette banalisation des violences sexuelles, en les présentant de manière "dédramatisée". Pour l'association, il faudrait montrer des personnages féminins forts, capables de se défendre contre ces violences et des personnages masculins "plus sensibles et moins dans la force physique", comme dans L'Effet aquatique. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Culture

Palmarès-Buzzons-8: Palmarès Saison 8 (2018-2019) Notre nouveau record, cette saison nous avons reçu 186 vidéos (dont 55 en Occitanie) de 12 régions en France (61 départements+ 4 DOM TOM) et la participation de 15 autres pays (Allemagne, Bulgarie, Cambodge, Danemark, Égypte, Espagne, Grande-Bretagne, Ile Maurice, Maroc, Népal, Portugal, Roumanie, El Salvador, Suisse, , Turquie, Soit autour de 3000 participant.e.sLe choix du jury a été difficile, les vidéos sont réalisées dans des cadres très divers comme des établissements scolaires généraux, professionnels, des lycées agricoles, des centres de préventions, des centres de loisirs, ou des vidéos autonomes..Certaines équipes sont accompagnées d'intervenant-es vidéo, d'autres non, le matériel est parfois très modeste, parfois plus sophistiqué...Mais toutes les équipes ont fourni un travail remarquable d'engagement et de créativité, BRAVO à tout.e.s et merci au jury et à nos partenaires.Vous trouverez les liens vers les palmarès des saisons précédentes tout en bas de cette page 3e PRIX

“Haut les filles” : documentaire-rock empathique et féministe - Profession Spectacle le Mag' Haut les filles est un documentaire sympathique sur le rock au féminin, un film sans prétention et qui donne une pêche d’enfer. Ou comment joindre empathie et féminisme !. Haut les filles est un documentaire sur soixante ans de présence des femmes sur la scène musicale en France. D’une part parce qu’il met habilement en perspective plus d’un demi-siècle de présence des femmes sur la scène du rock’n’roll et de la pop musique, et d’autre part parce que la musique entendue donne envie de bouger et d’adhérer aux discours des intervenantes. Le réalisateur François Armanet donne la parole à dix femmes : Jeanne Added, Jehnny Beth, Lou Doillon, Brigitte Fontaine, Charlotte Gainsbourg, Françoise Hardy, Imany, Camelia Jordana, Elli Medeiros, Vanessa Paradis, laissant ces artistes témoigner de l’intersection entre leur carrière et leur féminité, la voix-off d’Elisabeth Quin permettant de relier agréablement ces images et ces sons. Laurent SCHÉRER François Armanet, Haut les filles, France, 2019, 79mn

Sexisme, racisme : un sketch décapant renverse les clichés d’afficher de la publicité personnalisée en fonction de votre navigation et de votre profil,de personnaliser l’affichage de nos produits, services et contenus en fonction de ceux que vous avez précédemment consultés,de mesurer l’audience de notre service,de vous permettre de partager du contenu sur les réseaux sociaux. Votre choix s’applique sur RTL uniquement. Vous pouvez refuser tout ou partie de ces exploitations en cliquant sur le bouton « Paramétrer mes choix » et modifier vos préférences à tout moment en cliquant sur le lien « Préférences Cookies » figurant sur notre service. Notez que des traceurs nécessaires à la fourniture de notre service pourront toujours être exploités, comme ceux générant des statistiques de fréquentation qui ne sont pas soumis à votre consentement. Certains de nos partenaires publicitaires utilisent également des traceurs et traitent vos données personnelles, sur la base de votre consentement ou de leur intérêt légitime dans les buts suivants :

Qui va garder les enfants ? - Programmation - Théâtre de Belleville “Nicolas Bonneau est seul en scène, dans un décor qui lui permet de bouger, de passer d’une voix à une autre, de se glisser de la narration à la saynète savoureuse. Lumières, musiques, costumes, son, tout ici est au service d’une parole offerte sans candeur, mais sans férocité non plus. Son talent, la délicatesse de son intelligence et de sa personne servent un propos qui met en lumière les femmes.” LE FIGARO - Armelle Héliot "Venez rencontrer Simone Veil, Olympe de Gouges, Christiane Taubira, Yvette Roudy etc., car nous avons passé un excellent moment avec ces femmes qui n’ont rien à envier aux hommes." "Le public est convié à rêver de l’avenir de la femme en politique sous l’œil étonné et transi de Nicolas Bonneau qui lui déclare sa flamme !" "C'est très joli, c'est très simple, très fin et c'est jusqu'au 31 mars au Théâtre de Belleville." "Un hommage réussi qui bouscule son statut de « mâle dominant »". "Un excellent conteur dont on boit les paroles pendant 1h20."

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