Littérature d'Alphonse X le Sage Alphonse X le Sage avec ses collaborateurs dans le scriptorium royal. Par littérature d'Alphonse X le Sage, on entend toute l'œuvre littéraire de caractère lyrique, juridique, historique, scientifique et récréatif réalisée par le scriptorium du roi Alphonse X de Castille au XIIIe siècle. Alphonse X a soutenu, supervisé et souvent participé de sa propre écriture et en collaboration avec un ensemble d'intellectuels latins, juifs et musulmans connu comme l'École des Traducteurs de Tolède, à la composition d'une très vaste œuvre littéraire qui dans une large mesure marque le début de la prose en castillan. La variété géographique de la langue utilisée est celle de Tolède dans la seconde moitié du XIIIe siècle, qui est devenue ainsi la base de la langue utilisée désormais dans la prose en castillan. Œuvres lyriques[modifier | modifier le code] Nous avons un ensemble de poèmes de «escarnio y maldecir» écrits en langue galaïco-portugaise. Cantigas de Santa María[modifier | modifier le code]
A faithful reconstruction of Constantinople, capital of the Eastern Roman Empire (1200 AD) Source: byzantium1200.com Constantinople was the capital city of the Byzantine (330–1204 and 1261–1453), and also of the brief Latin (1204–1261), and the later Ottoman (1453–1923) empires. It was reinaugurated in 324 AD from ancient Byzantium as the new capital of the Roman Empire by Emperor Constantine the Great, after whom it was named, and dedicated on 11 May 330 AD. From the mid-5th century to the early 13th century, Constantinople was the largest and wealthiest city in Europe. By the the time the Ottomans took Constantinople the Empire consisted of the immediate environs around the city, a few islands in the Aegean, and the Peloponnesus in southern Greece. Constantinople was famed for its massive and complex defences. Constantinople never truly recovered from the devastation of the Fourth Crusade and the decades of misrule by the Latins.
Chrétientés et Islam par Alain Rauwel Compte-rendu de Mme F. Delaspre, IA-IPR. Les références citées dans le compte-rendu sont présentées dans le dossier Pearltrees associé à cet article (bas de page). Alain Rauwel trouve le nouveau programme bien formulé car privilégiant le comparatisme et l’entrée par les pouvoirs, et évitant la description des pratiques religieuses (le catéchisme, disait ses élèves jadis). L’entrée par les empires lui semble également pertinente. I - La longue survie de la romanité… … par la terre des Romains : conscience très forte chez les médiévaux, continuité puissante entre la romanité antique et médiévale, donc byzantine. A Byzance, que cela donne-t-il ? II - A l’est, du nouveau ? On est obligé d’en passer par les aspects religieux (même s’ils ne sont pas au programme). Il y existe une migration juive précoce : diaspora en Arabie. Présence de chrétiens : au moins un siège épiscopal. La conception du califat est celle de « succession » …mais le calife est-il le successeur de Dieu ou de Mahomet ? L.
Les fiches pédagogiques de l'IESR | Institut Européen en Sciences des Religions Sous la direction de Dominique AVON, Isabelle SAINT-MARTIN et John TOLAN Le but : comparer les manuels d’histoire de fin de cycle secondaire mais aussi prendre en considération les pratiques scolaires, ainsi que les différentes catégories d’acteurs impliqués dans l’élaboration des contenus. L’objet : examiner le religieux, le(s) fait(s) religieux, les... Théorie de l’évolution et religions Le voyage de l’éléphant Abul Abbas en Méditerranée au IXe siècle : une histoire (...) Les mondes carolingiens, musulmans et byzantins peuvent être étudiés à partir des pérégrinations de l’éléphant que le calife Haroun Al-Rachid offre à Charlemagne en 802. Il s’agit d’un travail de B.Quennoy. Histoire 5e Thème 1 : Chrétientés et Islam, des mondes de contact Le voyage de l’éléphant Abul Abbas en Méditerranée au IXe siècle : une histoire connectée Cette séquence permet de traiter les 2 sous thèmes ensembles (Byzance, L’Europe carolingienne + naissance de l’islam), sans perdre trop de temps en début d’année pour enchaîner la géographie et l’EMC avant les vacances de Toussaint. Surtout deux compétences vont vraiment être travaillées en profondeur pendant cette séquence : l’écriture d’un récit et une tâche cartographique simple. B.Quennoy, professeur HG, Saint-Pierre-le Moutier.
Reconstitution 3D de la ville de Bologne au Moyen Âge Le studio italien Sotto Le Torri a réalisé une vidéo reconstituant la ville de Bologne (Italie) au XIIIe siècle. Époque de rivalités entre deux grandes familles, les Geremei et les Lambertazzi, la ville se pare de nombreuses tours, mais également de palais et de places, visibles dans la reconstitution en 3D. Quelques indications topographiques et rappels historiques émaillent le parcours et permettent à ceux qui connaissent la cité de se repérer. Le projet est largement détaillé (en italien) sur le site du studio Sotto Le Torri. Visiter la ville de Bologne au Moyen Âge en 3D A lire aussi :
Le Nom de la Rose pour étudier la vie dans un monastère Le Nom de la Rose : au fil de l’enquête, l’Histoire… Pour comprendre l’organisation de la vie dans un monastère et le rôle de l’Inquisition à l’époque médiévale, nous allons suivre le moine franciscain Guillaume de Baskerville au fil de son enquête dans une abbaye du Nord de l’Italie … Adapté du roman d’Umberto Ecco, ce film de Jean-Jacques Annaud est un thriller captivant, une œuvre majeure du cinéma européen. Le roman comporte toutefois selon le site Hérodote une erreur historique : « Le roman, plein d’érudition, est superbe et passionnant, tout autant que le film… à un détail près : l’action est censée se situer en l’an de grâce 1327, dans le scriptorium d’une abbaye entre Provence et Ligurie, où des moines se consacrent à la rédaction de manuscrits. Or, les monastères d’Occident ont abandonné la confection des manuscrits à des ateliers laïcs dès les années 1200. Visionnez la bande-annonce Droit au logement et dignité : « Ici on t’aime », le logo De gauche à droite : « Yes, they did it !
La représentation figurée du prophète Muhammad | Les carnets de l'Ifpo L’islam et ses pratiques, pas plus que tout autre phénomène humain, n’échappent aux mutations au fil de l’histoire. La question de la représentation figurée en général, et de celle du prophète de l’islam en particulier, a été diversement tranchée selon les périodes et les milieux. Si elle a parfois déclenché des débats animés, elle ne semble pas avoir posé un problème majeur ou permanent aux croyants musulmans ni à leurs juristes (Naef 2004). Les polémiques récentes, parmi les plus vives qu’aient connues l’histoire, sont attisées par le fait que les images qui les ont déclenchées sont des caricatures ; elles alimentent l’idée fausse et essentialiste que, « de tout temps », l’islam aurait interdit la représentation de son prophète, voire toute représentation humaine. Illustration 1 : Muhammad reçoit la révélation de l’ange Gabriel. Illustration 2 : Muhammad, sous la forme d’un nimbe dorée (en haut à gauche de l’image), détruit les idoles de la Kaaba. Bibliographie