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Laisser les GAFA seuls maîtres de notre avenir ? Hum… Comment dire

Laisser les GAFA seuls maîtres de notre avenir ? Hum… Comment dire
Et si les GAFA n’étaient pas la solution, mais désormais plutôt le problème ? En galopins, au début, ils amusaient ; en barbares, ensuite, ils étonnaient ; en monstres, aujourd’hui, ils effraient. Et demain ? Demain, quand, omnipotents, sans contre-pouvoir, sans cadre éthique, plus puissants que des Etats, ils seront les seuls à posséder et maîtriser les bases des infrastructures du 21ème siècle, c’est-à-dire les données accumulées de milliards de personnes, les machines, les plateformes logicielles, les intelligences et les compétences pour en profiter, mais aussi la richesse … Ces plateformes réussiront-elles à imposer leur vision du monde ? A rester cachées derrière des buzzwords, des avocats et des lobbyistes ? (NYTimes) En ligne, et de plus en plus dans le monde réel Avec enfin le sentiment que ça va trop vite, que personne ne comprend vraiment comment marchent ces plateformes créées par une poignée d’ingénieurs et d’informaticiens qui ne semblent plus maîtriser l’ensemble. Eric Scherer

http://www.meta-media.fr/2017/11/12/laisser-les-gafa-seuls-maitres-de-notre-avenir-hum-comment-dire.html

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Google sait tout de vous : voici comment effacer vos traces Sur le web, Google est partout. Il voit tout, sait presque tout de vous, et collecte un nombre incalculable de données… officiellement pour votre bien, officieusement pour le sien. On vous explique comment consulter, supprimer et limiter la collecte de vos données personnelles par le géant californien. L’innovation, sociale avant d’être numérique Le caractère innovant d’un projet, même lorsqu’il intègre une forte composante technologique, repose d’abord sur une multitude de critères sociaux. Démonstration via les réflexions de l’Institut Jean-Baptiste Godin et l’exemple de Reconnect, service de « cloud solidaire ». Cet article est le premier d’une série, en janvier, février et mars 2018, à l’occasion de la sortie en librairie du numéro 2 de la revue Visions solidaires pour demain, dont il est issu. Reconnect est un « coffre-fort numérique » pour les sans-abri. L’enjeu, plus crucial qu’il n’y paraît, est d’abord de leur permettre de conserver leurs documents d’identité et autres pièces essentielles au chaud dans des serveurs informatiques, accessibles de partout sous forme digitale via les bons identifiants. Plus de papiers égarés au fil des rues et des campings de fortune.

La culture de l’information en 7 leçons. E02. La culture de l’information représente une culture globale et commune mais avec des spécificités. Suite de la série de l’année 2012, bon ce ne sera pas aussi fun que Californication, mais voici le second épisode. Pour rappel le premier est ici. Il est tentant de considérer la culture de l’information comme une forme de culture générale. Vos empreintes numériques Vos empreintes numériques sont censées refléter votre personnalité. Assurez-vous que c’est bien le cas grâce à nos didacticiels faciles à suivre. Chaque jour, que nous le voulions ou non, nous alimentons notre profil en ligne, un profil qui est sans doute plus ouvert au public que nous ne l’imaginons. Grâce à ce profil, des entreprises envoient des contenus ciblés à des marchés et des consommateurs spécifiques ; des employeurs peuvent fouiller votre passé ; des annonceurs suivent vos recherches sur d’innombrables sites web.

Freelancing et management : Repenser le temps et l’espace de travail Le temps de travail, une notion à redéfinir ? Historiquement, le salariat a marqué une transformation du rapport au temps puisqu’il signifie la fin de la rémunération “à la tâche” au profit de la rémunération en fonction du temps. Le salarié ne vend plus le fruit de son travail en tant que tel ; il monnaie son temps, mis à disposition de l’employeur. Ce nouveau rapport au temps a d’abord concerné les ouvriers et les travailleurs moins qualifiés, mais il s’est ensuite étendu à l’essentiel des travailleurs. Séances – Cactus Acide Les 3 séquences que je propose ici peuvent être menées dans la continuité ou être transposées pour être abordées dans leur unicité selon les objectifs visés et le contexte de l’activité. Dans cette seconde hypothèse, il faudra simplement envisager la constitution, a priori ou par les élèves pendant l’activité, d’un corpus de documents dont le contenu apporte des thèses ou points de vue contradictoires. La version pdf. Séquence 1 : Projet « Historiae », énigmes historiques… et controverses. Séquence : J’envisage cette séquence sur une durée de 5 heures qui peuvent être portées à 6h ou 7h selon que l’on y intègre les séquences 2 et 3 (ci-dessous).

Sommes-nous réductibles à de la donnée ? C’est la grande question à laquelle certains prophètes et autres bonimenteurs du numérique répondent avec un grand oui. Ici et là, on entend dire que « nous sommes notre cerveau » et notre cerveau serait… du code. C’est-à-dire que toute notre personnalité (notre âme pour les croyants), ou notre logiciel interne (pour d’autres genres de croyants) tiendrait dans une somme de calculs à l’intérieur de ces 1400 cm3 de boîte crânienne. Toute réduction peut bien sûr être grossière, imprécise, voire dangereuse. Personne n’aime être réduit à un compte bancaire, à une ethnie ni à une statistique.

Les start-up dans le maquis des aides à l’innovation La France dépense chaque année 10 milliards d’euros d’argent public d’aide à l’innovation. Le nombre de dispositifs a doublé en quinze ans et s’y retrouver relève du parcours du combattant. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Sandrine Cassini La trentaine à peine, Gonzague Gridel fait déjà le tour des plateaux télé pour présenter sa start-up, MIP Robotics, et ses robots industriels. Il y a trois ans, ce diplômé de l’Edhec, une grande école de commerce française, a quitté un confortable emploi de cadre au Crédit mutuel pour se lancer dans l’entrepreneuriat. « J’avais rencontré un ingénieur qui voulait lancer des robots à bas coûts pour les PME », explique l’entrepreneur en herbe.

Comment les outils numériques impacteront la salle de classe en 2017 ? 1. Les MOOCs pour virtualiser la salle de classeSelon les chercheurs en didactique et les spécialistes en #pédagogie, l’enseignement ne sera plus conscrit au seul espace « formel » de la classe. Dans un futur proche, certains prédisent même la fin des programmes annuels prédéfinis et la disparition de la limite d’âge pour intégrer un cursus d’enseignement.De nos jours, les diplômes et le niveau académique ont perdu de leur valeur car leur obtention ne garantit plus l’accès au marché du travail. Big data, big money : qui profite de l’explosion des données ? Theconversation Nous en sommes certains : la data va révolutionner le monde, mais qui va vraiment en profiter ? En 2011, la société de conseil Gartner indiquait : « Les informations sont le pétrole du XXIe siècle, et l’analytique en est le moteur à combustion ». Filant cette métaphore, chacun se pose légitimement la question de qui seront demain les tycoons de la donnée… Plus encore, quelles seront les méthodes des géants d’aujourd’hui et de demain : seront-elles, comme les géants du pétrole en leur temps, à la limite de la légalité ? Aura-t-on des marées noires de data ? Il y aura-t-il collusion avec nos politiques ?

Education : le président du Conseil des programmes annonce sa démission « Le ministre n’est pas prêt à confier au CSP des missions correspondant aux chantiers à venir », estime Michel Lussault, président de l’instance. LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Aurélie Collas et Luc Cédelle Sur fond de désaccords avec le ministre de l’éducation nationale, Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes (CSP), annonce dans Le Monde sa démission. Données personnelles : pourquoi Facebook et les autres annoncent-ils des mises à jour ? «Nous mettons à jour nos conditions d’utilisation», ou «nos conditions de service», ou «notre politique de confidentialité» : ces dernières semaines, les messages de ce type se sont accumulés dans nos boîtes mail. Une bonne occasion, au passage, de faire le compte du nombre (parfois affolant) de services en ligne auxquels nous avons souscrit au fil de nos vies numériques. Pourquoi cette déferlante ? Tous ne le mentionnent pas, mais l’explication, c’est l’entrée en application, le 25 mai, d’un texte européen : le règlement général sur la protection des données (RGPD). D’ici là, les acteurs qui collectent et utilisent des données personnelles doivent s’être mis en conformité avec ce texte, qui leur impose de nouvelles obligations et renforce les droits des utilisateurs. D’où vient ce règlement ?

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