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Notre cerveau et les découvertes de la neuropédagogie

Notre cerveau et les découvertes de la neuropédagogie

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Le cerveau et la neuro-pédagogie digitale - Partie I Le cerveau une anomalie dans l’univers Une incroyable nature humaine L’étude du cerveau est ancienne et beaucoup de connaissances anatomiques ont été accumulées grâce à la dissection (aire de Broca, ou cerveau triunique de Mc Lean avec un cerveau organisé en cortex limbique et reptilien) : Cortex : fonctions nerveuses élaborées : sensorielles, langage action motricité mémoire;Système limbique (hippocampe, amygdale, circonvolution, hypotalamus) (limbé = frontière) : interface entre vie cognitive et vie végétative, siège des émotions;Cervelet : contrôle moteur, peur – plaisir – attention et langage;Tronc cérébral : participe du système nerveux central en continuité de la moelle épinière.

Qu'est-ce que la neuropédagogie ? - XOS Qu’est-ce que la neuropédagogie ? 4.6/5 - 12 votes Sous l’impulsion du Ministre de l’Éducation Nationale Jean-Michel Blanquer, la neuropédagogie est sur le point d’entrer dans le système scolaire français, conduite par l’un de nos plus brillants cerveaux : Stanislas Dehaene. Aux critiques négatives qui condamnent toute nouveauté, comme à l’enthousiasme évangélique que suscite le préfixe neuro_, la meilleure réponse réside dans la découverte objective de la neuropédagogie, comme science de l’apprentissage, basée sur plus de 15 années d’expérience de l’auteur de ces lignes. Les neuromythes en éducation Un neuromythe est une croyance erronée sur le fonctionnement du cerveau. De récentes études ont mis en évidence que plusieurs de ces neuromythes sont répandus en éducation, particulièrement dans la population enseignante. Shutterstock / NLshop Jérémie Blanchette Sarrasin, étudiante à la maîtrise en éducation à l’UQAM, et son directeur Steve Masson, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’UQAM, présentent dans cet article les quatre neuromythes les plus fréquents en éducation.

10 effets positifs de l’apprentissage d’une nouvelle langue sur notre cerveau ! Apprendre une langue étrangère n’est jamais facile et demande généralement pas mal d’efforts… Mais même sans atteindre un niveau exceptionnel dans la langue étudiée, cet apprentissage modifie nos structures neuronales et se révèle extrêmement bénéfique pour notre cerveau. Pour vous convaincre de tenter l’aventure, voici quelques-uns des avantages que vous et votre matière grise pouvez en retirer ! Apprentissage d’une langue étrangère : que se passe-t-il dans notre cerveau ? Lorsque nous apprenons un nouveau langage, nous faisons appel simultanément à nos capacités d’écoute, de concentration, de compréhension ou encore de mémorisation. L’exercice sollicite donc plusieurs zones distinctes de notre cerveau, les plus connues étant l’aire de Broca (1) et l’aire de Wernicke (2).

Biais cognitifs : les comprendre, les accepter… et même les utiliser Le cerveau humain est un outil fantastique, mais aussi un continent encore mal connu. Ce qu’on sait pourtant déjà, c’est qu’aussi puissant et sophistiqué soit-il, notre cerveau est une machine sujette aux erreurs de jugement. Riadh Lebib – Docteur en Neurosciences et Consultant-chercheur au sein de la société SBT – nous parle ainsi des biais cognitifs… mais aussi de l’usage intelligent que nous pouvons apprendre à en faire aujourd’hui et demain. Vous avez dit biais cognitifs ? Pour Riadh Lebib, les biais sont dans notre nature depuis toujours. Comprendre le fonctionnement de la mémoire pour aider les enfants présentant des difficultés de mémorisation ou d'apprentissage 1.La mémoire à court terme (empan mnésique) La mémoire à court terme est la “petite” mémoire qui permet de stocker des informations temporairement. Aucune information ne peut passer directement de l’environnement extérieur à notre “boite noire” intérieure sans passer par la mémoire à court terme. La mémoire à court terme permet de garder une information quelques secondes, pas plus.

Les 4 piliers de l'apprentissage selon les neurosciences Comment apprend-on ? La réponse la plus pertinente provient des découvertes en neurosciences exprimées par Stanislas Dehaene, psychologue cognitiviste et neuroscientifique, via les 4 piliers de l’apprentissage qui sont : L’attentionL’engagement actifLe retour d’informationLa consolidation des acquis En résumé : Je suis attentif – Je m’exerce – Je profite de mes erreurs pour progresser – Je répète. Le tout saupoudré de bienveillance. L’attention

La verdure et la nature améliorent le développement du cerveau des enfants Le laboratoire du Dr Mark Nieuwenhuijsen, chercheur au Centre for Research in Environmental Epidemiology à Barcelone, a mené une étude auprès de 2 600 élèves dans 36 écoles différentes pour comprendre les effets bénéfiques de la présence de verdure dans l’environnement proche des enfants sur le niveau de développement de leurs fonctions cognitives. Les capacités cognitives des enfants se développent plus vite quand ils sont exposés à des espaces verts (toutes les sortes de végétation : arbres, arbustes, herbe, fleurs…) dans leur vie quotidienne, et surtout à l’école. Les élèves étudiés dans le cadre de cette étude avaient entre 7 et 10 ans.

La neuroéducation : des perspectives raisonnables Comment revisiter les pratiques pédagogiques à la lumière des sciences cognitives ? Comment permettent-elles d’améliorer l’apprentissage des élèves ? Voici les réflexions du collectif « Apprendre et former avec les sciences cognitives », constitué de professeurs, de formateurs, de chercheurs et de personnels d’encadrement dans et hors de l’Éducation nationale. Les questions qui nourrissent le travail d’ « Apprendre et former avec les sciences cognitives » portent essentiellement sur l’intérêt et les enjeux pour tout acteur de l’éducation de mieux connaître les apports des neurosciences cognitives, sur la recherche et l’appropriation de modalités pédagogiques adaptées à la classe, et sur l’observation et l’étude de leurs effets. Nous nous situons de façon originale à l’interface de la recherche sur les mécanismes de la cognition, du terrain de la classe que notre équipe connaît tout particulièrement pour la vivre au quotidien, et des enjeux institutionnels du système scolaire.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit.

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