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Pérou : le mur de la honte

Pérou : le mur de la honte
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Infographie. Si les PIB m’étaient comptés L’Asie – et en particulier la Chine – pèse lourd dans l’économie mondiale. Mais ce sont les États-Unis qui se taillent la part du lion. Cette infographie permet de voir en un coup d’œil la part des quarante plus grandes puissances, mais aussi de chacun des continents, dans l’économie mondiale. Avec un PIB de plus de 18 000 milliards de dollars, les États-Unis représentent la plus grosse part du gâteau. Ils pèsent plus que le Japon, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France, l’Italie et l’Inde réunis. De leur côté, le Nigeria, l’Égypte et l’Afrique du Sud, les trois plus grandes économies africaines, ne représentent, une fois rassemblés, qu’à peine 1,52 % du PIB mondial. Ce travail a été créé par Howmuch.net, un blog américain consacré à la datavisualisation économique, qui fonctionne sous licence Creative Commons.

Le CDI, un système d’information pas comme les autres ! Pérou : le nouveau « dragon » d’Amérique latine ? | Areion24.news Il n’y aura pas un nouveau membre de la famille Fujimori à la tête du Pérou. La victoire au second tour de l’élection présidentielle, le 5 juin 2016, de Pedro Pablo Kuczynski sur la fille de l’ancien chef de l’État Alberto Fujimori (1990-2000), Keiko, a constitué une surprise dans un pays divisé par l’héritage controversé de ce dernier. L’occasion de revenir sur les ramifications politiques d’une des économies les plus dynamiques d’Amérique latine. Le Pérou est-il le nouveau « dragon » latino-américain ? L’héritage d’Alberto Fujimori À partir de 1980, le pays, soumis à une inflation de 2 000 %, prend la voie de la dérégulation et des privatisations massives sous la présidence d’Alberto Fujimori, fils d’immigrés japonais. Les deux finalistes de l’élection présidentielle de juin 2016 ont revendiqué une continuité avec cette politique économique libérale, tout en s’opposant sur l’héritage politique d’Alberto Fujimori. Conflits sociaux et environnementaux Repères Capitale Lima Densité 24 hab.

A Tijuana, la mauvaise fortune des « maquiladoras », par Anne Vigna «La crise ? Quelle crise ? Ah bon, il y a une nouvelle crise ? Il faut dire qu’à Tijuana nous n’en sommes jamais sortis ! », indique dans un sourire M. Jaime Cotta. M. Aujourd’hui, trois ouvrières ont pris rendez-vous. Taille de l’article complet : 3 952 mots. Lycées, bibliothèques, administrations, entreprises, accédez à la base de données en ligne de tous les articles du Monde diplomatique de 1954 à nos jours. (3) Jorge Carrillo et Redi Gomis, La Maquiladora en datos. (4) Les seules images sur l’intérieur de ces usines de Tijuana ont été tournées par des ouvrières pour le documentaire Maquilapolis (Vicky Funari et Sergio De La Torre, 2006). (5) Plusieurs ouvriers et le Cittac assurent que ces listes ont toujours existé (ce que démentent les organisations patronales) ; ils soupçonnent l’Institut mexicain d’assurance sociale (IMSS) d’informer la direction des maquiladoras des procédures judiciaires engagées par certains ouvriers.

Où sont les riches ? L’Amérique du Nord est la région qui compte le plus grand nombre de personnes fortunées. Cette infographie publiée le 27 mars sur le site de Howmuch, s’appuie sur les données de la société de conseil en immobilier Knight Frank qui publie chaque année un rapport sur les ultrariches. Elle montre que ce sont les États-Unis qui accueillent le plus de personnes disposant d’un patrimoine supérieur à 500 millions de dollars, hors résidence secondaire. Howmuch est un blog américain consacré à la datavisualisation économique fonctionne sous licence Creative Commons.

Blog pédagogique d'une prof-doc - J'ai créé ce blog pour diffuser mes documents et réflexions personnelles sur ce que peut être un enseignement de la culture de l'information au collège. J'utilise particulièrement la méthode du "document de collecte" et l Organiser un mapathon ou une séance de cartographie participative en classe Bibliographie | citer cet article Dans la construction des savoirs, la logique participative (en anglais : crowdsourcing) consiste à s’appuyer non seulement sur des experts ou des scientifiques patentés, mais également sur des amateurs plus ou moins avertis qui contribuent à la production de données. Les astronomes et naturalistes amateurs en sont les exemples canoniques : les premiers participent régulièrement à des programme de recherche officiels, les seconds avisent régulièrement les muséums d’histoire naturelle de la découverte d’une espèce animale ou végétale inconnue. La cartographie n’a pas échappé à cette tendance, dont le projet OpenStreetMap (OSM) est le plus emblématique. Les contributeurs d’OSM se donnent pour mission de créer une base de données cartographiques mondiale et libre, à l’instar de Wikipédia dans le domaine du savoir encyclopédique. Wikipédia utilise d’ailleurs OSM pour ses cartes, à l’instar d’un nombre croissant de services en ligne. 1. 2. Graphique 1. 3.

Le « mur » de Trump est déjà là Dans un décret dédié à la sécurité frontalière et à l’immigration, Donald Trump a quelque peu précisé son projet phare de « mur » à la frontière mexicaine. Le nouveau Président enjoint au ministère à la Sécurité intérieure de « prendre toutes les mesures appropriées pour planifier, dessiner et construire un mur physique [au singulier] en recourant aux matériaux et technologies les plus efficaces afin d’aboutir à un contrôle opérationnel total de la frontière sud ». Le décret ne fournit aucun objectif chiffré en kilomètres, ou de localisations géographiques, ni de budget précis. Le décret ne précise donc pas à quoi ressemblerait ce « mur », si ce n’est qu’il doit être « contigu, physique ou similaire à une barrière sécurisée, physique, contiguë et infranchissable ». Ce décret offre avant tout une marque de volontarisme sur la sécurité nationale et l’immigration. La frontière mexicaine est fortement militarisée Toujours plus de « barrières » face à des migrants moins nombreux

Comment les riches détruisent le monde, par Hervé Kempf (Le Monde diplomatique, juin 2008) Les trois ou quatre générations situées à la charnière du troisième millénaire sont les premières dans l’histoire de l’humanité, depuis que les bipèdes arpentent la planète, à se heurter aux limites de la biosphère. Cette rencontre ne se fait pas sous le signe de l’harmonie, mais sous celui d’une crise écologique majeure. Soulignons-en quelques aspects. Le premier d’entre eux est l’inquiétude nouvelle des climatologues : ils raisonnent depuis quelques années sur l’hypothèse d’une irréversibilité possible du changement climatique. Jusqu’à présent, on pensait qu’un réchauffement graduel interviendrait, mais que, quand l’humanité se rendrait compte de la gravité de la situation, il serait possible de revenir en arrière et de retrouver l’équilibre climatique. Une deuxième observation est que la crise écologique ne se réduit pas au changement climatique. Cette entrée en matière définit l’urgence politique de notre époque. Comment ? Pourquoi cela est-il un moteur de la crise écologique ?

Les Communs d’abord ! : un média dédié aux communs Lancé en janvier 2017, Les Communs d’abord ! est un média web indépendant dont le but est de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des communs. Focus sur ce blog collaboratif, s’adressant à tous ceux qui désirent approfondir leur connaissance du sujet. Nous vous en parlions à l’occasion de la conférence d’Hervé Le Crosnier dans le cadre du cycle « Pour un numérique critique et humain » : le sociologue estime que le rôle central des communs a été accéléré et réaffirmé par l’apparition d’Internet et l’ère du numérique. Pour rappel, les biens communs, ou tout simplement communs, sont des ressources, gérées collectivement par une communauté, celle-ci établissant des règles et une gouvernance dans le but de les préserver et de les pérenniser. La petite histoire du blog Une visibilité compliquée Néanmoins, le caractère extrêmement multiforme de cette réalité brouille sa visibilité. De nombreuses initiatives autour des communs

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