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Smart city : la CNIL dresse un tableau sombre pour les libertés individuelles

Smart city : la CNIL dresse un tableau sombre pour les libertés individuelles
Tentation du contrôle des individus, aide à la surveillance, concurrence des services numériques... La smart city pose de nombreux défis aux autorités et habitants. Parmi les propositions pour s'en prémunir, une « portabilité citoyenne » des données de plateformes privées. Alors que les villes se rêvent en territoires connectés, abreuvés de données des citoyens, la prise en compte des utilisateurs est encore balbutiante. C'est l'un des constats du cinquième cahier IP de la CNIL, consacré à la smart city. Le but du cahier : « remettre à leur juste place les discours prométhéens annonçant l’avènement d’une smart city centralisée, pilotée depuis un unique tableau de bord, avec l’algorithme comme grand ordonnateur » écrit Isabelle Falque-Pierrotin, la présidente de la commission. Télécharger le cahier Smart city et données personnelles de la CNIL La ville ne doit pas contrôler ses habitants Related:  Smart City ?Territoires et biens communs

Vers une ville numérique ingouvernable (1/2) ? Un foisonnement d’innovation L’un des constats que dresse le groupe de travail Audacities, lancé par la Fing (éditeur d’InternetActu.net) et l’Iddri, est que le numérique ne rend pas tant que ça la ville réactive au doigt et à l’oeil. L’imaginaire de la ville « propre », smart, intelligente… n’est pas ce qu’on observe sur le terrain, expliquent Tatiana de Feraudy et Mathieu Saujot chercheurs à l’Iddri, Institut du développement durable et des relations internationales, Thierry Marcou et Marine Albarède responsables d’Audacities à la Fing. En fait « plein d’acteurs sont venus agir sur le territoire de manière autonome ». La ville numérique n’est ni centralisée ni pilotée, comme on nous la vend trop souvent dans le concept de Smart City ou de Ville intelligente, au contraire. Comment gouverner la ville numérique ? Comment dans ce contexte les collectivités peuvent-elles continuer à poursuivre des objectifs collectifs ? Piloter ou animer l’innovation ? Le levier de l’innovation Image : les succès d’Etalab en chiffre.

Des TIC au TOC. Contribuer à OpenStreetMap : entre commun numérique et utopie cartographique Les auteur.e.s tiennent à remercier les 298 contributeurs d’OpenStreetMap qui ont répondu à l’enquête ainsi que l’ensemble des participants aux focus group de Bordeaux, Rennes, Clermont-Ferrand et Montpellier. Ils remercient également Bertrand Coutarel, Pierre-Amiel Giraud et Camille Jonchères, tous trois participants au projet de recherche ECCE Carto. 1 Des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) aux Troubles Obsessionnels Cartograp (...) 1OpenStreetMap (OSM) représente aujourd’hui une source cartographique qui complète, contourne voire concurrence les données institutionnelles (celles des États, des collectivités) tout comme les données commerciales (celles des multinationales, des entreprises) : il y a donc de forts enjeux à comprendre son fonctionnement qui repose sur la contribution. 2 « Groupes de discussions », la parole livrée dans l’enquête en ligne nous est apparue si riche qu’o (...) De la « carte amateur » au « référentiel institutionnel » Contacts

Ten cities enter the final round of the 2017 European Capital of Innovation contest | Digital Single Market Ten cities using the most innovative ideas to improve quality of life and to involve citizens in community life have reached the final stage of the European Capital of Innovation Award 2017. Carlos Moedas, Commissioner for Research, Science and Innovation, said: "Every new edition of the European Capital of Innovation showcases more inspiring and innovative ideas from across Europe. The tough competition this year proved how vibrant our local innovation ecosystems are." The finalists are: Aarhus (DK) – for giving citizens more responsibilities in creating social welfare and creating physical labs for innovation. More information

Formation en ligne ouverte à tous sur l'urbanisme (MOOC-LouvainX) Apprenez à vous repérer dans l’univers des communs urbains et territoriaux. Découvrez les outils vous permettant d’analyser comment ces communs contribuent à la fabrique de la cité Récits d'urbanisme et question des communsedX Partout autour de nous se forment des collectifs d’habitants, d’usagers, de citoyens. Ce cours s’adresse : aux titulaires d’un diplôme de 2ème cycle universitaire (toutes disciplinaires confondues) qui cherchent un complément de formation ouvrant sur l’organisation de l’espace comme support de processus de développement social, économique et culturel, aux urbanistes et/ou aménageurs désireux d’améliorer l’intégration des dimensions sociale et environnementale de l’aménagement de l’espace, aux professionnels du secteur du développement qui souhaitent prendre en compte la diversité des pratiques et des conceptions du développement et apprendre à en intégrer davantage la dimension spatiale. Début des cours le 6 mars => edX

A low tech smart city? – Sharing .Lab Cities need to get back to the driver’s seat, involve the civil society to tackle those issues and ensure that the innovation they support brings added values for the society. In this way, we can build cities, which are not only smart but wise in satisfying the core needs of all citizens. Local governments face an injunction to innovate and so-called “smart cities” strive to become innovation hotbeds. The rhetoric of New York City, as analysed by sociologist Sharon Zukin at a recent conference in Copenhagen is a blunt example of that. The Big Apple now claims to be the second city in the US when it comes to its “startup ecosystem” (2015). It’s like all cities dream to become the new Silicon Valley, where innovation rhymes with start-up creation. France, which is on its way to becoming the biggest European VC market is no exception. Several initiatives involving the French public administration go in that direction, such as the State’s start-up program, launched in 2013.

Sharing Cities: Activating the Urban Commons AudaCities, des ateliers pour imaginer la ville du futur Lundi 3 juillet, la Fondation Internet Nouvelle Génération (FING) organisait un atelier AudaCities dans ses locaux, à Paris, en partenariat avec l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales (IDDRI). AudaCities, ce sont des laboratoires d’idées où les acteurs de l'urbanisme se retrouvent pour échanger et inventer la ville de demain à partir de scénarios plus ou moins dystopiques, comme par exemple celui d'une ville devenue ingouvernable à cause de l'emprise du numérique. Les participants sont invités à réfléchir aux causes de ces fractures et proposer des solutions. « Les scénarios extrêmes, c’est un prétexte pour aborder les tensions actuelles » Telle est en tout cas l'hypothèse de départ élaborée par la Fondation Internet Nouvelle Génération (FING) et l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales (IDDRI). Dans le cadre de l'atelier AudaCities du 3 juillet, seize scénarios catastrophes ont été présentés à la trentaine de participants.

Note d'intention · Construire des communs numériques How one European smart city is giving power back to its citizens Our cities are gradually becoming "smarter". Sensors are proliferating, measuring everything from traffic flow and power usage to environmental conditions, and it’s this data which is giving city administrations the opportunity to tackle problems in a more incisive, timely way. But who decides which problems merit the smart city treatment? Recent years have seen some interesting developments. However, this isn't the how the smart city concept has largely played out so far. "Tech companies would make agreements with city councils, promising to address classic issues that cities that are growing have, such as mobility, pollution, waste and so on, by deploying their technological infrastructures," said Mara Balestrini, a technology strategist whose Ideas for Change consultancy has been advising Barcelona, Bristol and other cities. "City councils realised they had privatised the public space" So what's the solution? "One of the main problems Barcelona had was non-interoperability," she said.

Accueillir les Non-Humains dans les Communs (Introduction) Ce billet est le premier d’une série de cinq ou six que je publierai au rythme d’un par semaine au cours de ce mois de janvier. Le texte complet formera un essai à propos des relations entre les Communs et les Non-Humains, un sujet à mon sens absolument essentiel à prendre en compte pour la théorie des Communs. Que serait un homme sans éléphant, sans plante, sans lion, sans céréale, sans océan, sans ozone et sans plancton, un homme seul, beaucoup plus seul encore que Robinson sur son île ? Moins qu’un homme. Certainement pas un homme.Bruno Latour Les Communs questionnés par l’émergence des « droits de la nature » Faut-il reconnaître la Seine comme une « entité vivante[1] » ? La sphère militante n’est pas en reste et de nombreuses revendications, notamment en matière d’écologie, se font sous la bannière des Communs. La théorie des Communs traversée par une « rupture ontique » entre Humains et Non-Humains Reformuler la théorie des Communs à partir d’une ontologie relationnelle ? Plan général

The spectrum of control: A social theory of the smart city | Sadowski There is a certain allure to the idea that cities allow a person to both feel at home and like a stranger in the same place. That one can know the streets and shops, avenues and alleys, while also going days without being recognized. But as elites fill cities with “smart” technologies — turning them into platforms for the “Internet of Things” (IoT): sensors and computation embedded within physical objects that then connect, communicate, and/or transmit information with or between each other through the Internet — there is little escape from a seamless web of surveillance and power. This paper will outline a social theory of the “smart city” by developing our Deleuzian concept of the “spectrum of control.” A Great Cities Initiative of the University of Illinois at Chicago University Library.

Communs & Non-Humains (1ère partie) : Oublier les « ressources » pour ancrer les Communs dans une « communauté biotique » Cet article est le second d’une série intitulée « Accueillir les Non-Humains dans les Communs ». Il est recommandé de lire le premier épisode avant celui-ci. Oublier les « ressources » pour ancrer les Communs dans une « communauté biotique » La place des ressources dans les modélisations initiales d’Elinor Ostrom Comme je l’avais indiqué dans l’introduction de cet essai, les Communs sont habituellement définis à partir d’un triptyque utilisé par exemple dans ce rapport de la fondation Heinrich Böll sur les biens communs[1] : Les biens communs sont constitués de trois briques fondamentales : les ressources, les gens, et enfin les règles et normes qui permettent de lier entre elles toutes ces composantes. Lorsque l’on cherche l’origine de cette combinaison « Ressource + Communauté + Règles », on se rend compte qu’elle est directement issue des travaux d’Elinor Ostrom sur les « Commons Pool Resources » (CPR), même si celle-ci ne lui donnait pas exactement la même fonction. Références WordPress:

Smart city : où sont les villes intelligentes en France 27 communes, métropoles et communautés d'agglomération françaises développent des services intelligents. Voici ce qu'elles font et qui pilote leurs projets. 15 des 27 smart cities françaises comptent moins de 250 000 habitants, soit plus de la moitié d'entre elles. Si les communes les plus importantes de France, comme Paris, Marseille ou Lyon, sont naturellement au rendez-vous, des villes de tailles plus modestes se saisissent elles-aussi du sujet. Cliquez sur notre carte interactive (et zoomez si besoin) pour découvrir leur nom et le détail des projets qu'elles développent. 81% d'entre elles, soit 22, se sont lancées dans l'open data, c'est-à-dire l'ouverture des données (sur les transports en commun disponibles en temps réel par exemple) aux entrepreneurs voire aux citoyens. Les responsables des smart cities françaises 25 villes sur 27 ont nommé un responsable pour piloter leur démarche globale de ville intelligente. Les projets réalisés et en cours Angers Loire Métropole Béthune Chartres

Les communs – Une introduction à la notion de communs

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