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[ NEXT ] Episode #1 - L'effondrement qui vient -

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Podcast: la communication entre les plantes (Marc André Selosse) Saviez-vous qu'il existe un véritable réseau sous terrain de champignons, appelé mycelium qui permet aux plantes de se nourrir et de communiquer entre elles ? On découvre l’intelligence des champignons avec le professeur au Muséum d’Histoire Naturelle Marc-André Selosse. A quoi ressemble le mycélium, ce vaste réseau de communication qui relie les plantes et les champignons ? Richard Wilkinson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Richard Gerald Wilkinson (né en 1943) est un épidémiologiste britannique. Biographie[modifier | modifier le code] Richard Wilkinson a étudié l’histoire de l’économie à la London School of Economics. Il est professeur émérite d’épidémiologie sociale à l’École de médecine de l’université de Nottingham, professeur honoraire au Collège universitaire de Londres et professeur invité à l’université de York. Il est l'auteur, avec Kate Pickett, de Pourquoi l'égalité est meilleure pour tous.

Énergie-climat : après les « petits-pas », le gouvernement est-il en train de passer la marche arrière ? Alors que Haut Conseil pour le Climat martèle à nouveau que la France « n’est pas du tout sur la bonne trajectoire » pour atteindre la neutralité carbone en 2050, le constat sur la politique actuelle du gouvernement en matière d’énergie et de climat laisse perplexe. Derrière une volonté affichée de faire de l’écologie une priorité, le gouvernement d’Édouard Philippe semble se réfugier dans une électrification forcenée au détriment de la performance énergétique et de la nécessaire réduction des consommations. La France est-elle en passe de faire marche arrière face à l’urgence écologique ? Face aux retards accumulés, le gouvernement repousse l’action à plus tard Le processus de révision de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) et de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) lancé en 2018 devait être l’occasion pour le gouvernement de se doter d’une feuille de route à court et moyen termes à la hauteur des objectifs que la France s’est fixés.

Pablo Servigne : « Il faut élaborer une politique de l’effondrement » • Reporterre lance une grande série d’entretiens de fond avec celles et ceux qui renouvellent la pensée écologique aujourd’hui. Parcours, analyse, action : comment voient-elles et comment voient-ils le monde d’aujourd’hui ? Pour ouvrir cette série, Pablo Servigne. Malgré la barbe, Pablo Servigne ne fait pas ses 40 ans. Depuis le succès de son ouvrage Comment tout peut s’effondrer, paru en 2015 au Seuil et coécrit avec Raphaël Stevens, les demandes de conférences pleuvent, la notoriété croît. 18 organisations appellent le Premier ministre à mettre en cohérence la politique énergétique française dans le bâtiment avec les objectifs poursuivis Le 26 février dernier la Commission Européenne a signifié à la France qu’elle devait aller plus loin si elle voulait baisser ses émissions de Gaz à Effet de Serre de 40 % en 2030. De son côté,le Haut Conseil pour le Climat mis en place par le Président de la République, rappelle que la France « n’est pas sur la bonne trajectoire » pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Face à ces constats, les mesures proposées par le gouvernement pour le bâtiment conduisent à une électrification massive des usages thermiques sans chercher forcément à réduire significativement les niveaux de consommation lors des rénovations, ni à recourir abondamment à la chaleur renouvelable. Cette stratégie risque de s’accompagner d’une augmentation de la précarité des ménages par la hausse des factures de chauffage, d’une disparition importante d’emplois, et de l’abandon d’un mix énergétique diversifié conduisant de manière équilibrée à une décarbonation beaucoup plus résiliente aux aléas futurs inévitables.

« Tout va s’effondrer. Alors... préparons la suite » Sur quels faits vous appuyez-vous pour affirmer que l’effondrement est possible ? Nous avons rassemblé un faisceau de preuves qui viennent des publications scientifiques. Les plus évidentes sont liées au fait que notre civilisation est basée à la fois sur les énergies fossiles et sur le système-dette. Le pic de pétrole conventionnel a eu lieu en 2006-2007, on est entrés dans la phase où l’on exploite le pétrole non conventionnel : sables bitumineux, gaz de schiste, pétroles de schiste, etc.

Réglementation environnementale 2020 : le gouvernement fait une croix sur les bâtiments neufs performants ! Ces derniers mois, de nombreuses voix ont averti les pouvoirs publics [1] : le choix de valeurs artificiellement basses pour le coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire et son contenu carbone risque de conduire à un recul important dans la performance énergétique des bâtiments. Le gouvernement ignore et persévère en annonçant un arbitrage inquiétant. L’Association négaWatt dénonce fermement ce choix idéologique qui favorise une électrification massive des usages sans se soucier des possibles émissions de CO2 associées. La ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth Borne a tranché : le coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire sera arbitrairement abaissé à 2,3 (contre 2,58 aujourd’hui) et l’impact climatique du chauffage électrique sera réduit de 210 à 79 gCO2/kWh.

David Holmgren : les 4 scénarios de la décroissance « Le Sauvage Nous avons lu cette intéressante analyse du dernier livre de David Holmgren sur le site d’Agoravox, David Holmgren a également publié un site sur “Future scenario“. David Holmgren n’est pas un inconnu dans le monde de l’écologie et de la soutenabilité. Cet australien né en 1955 a été avec Bill Mollison l’inventeur du concept de Permaculture. En route pour les renouvelables ! Chronique parue dans L’Express du 1er mai 2020. Le principe de cette chronique mensuelle publiée dans l’Express est de commenter un fait (mesurable ou observable), qui, le plus souvent, sera « pas évident » pour le lecteur. Pour savoir jusqu’où ce fait sera contre-intuitif, un petit sondage en ligne est effectué pendant une semaine à 15 jours avant que je ne rédige mon texte, pour demander « l’avis de tou(te)s ».

Au secours ! Où est le bouton reset ? Chronique parue dans L’Express du 10 mars 2020. Le principe de cette chronique mensuelle publiée dans l’Express est de commenter un fait (mesurable ou observable), qui, le plus souvent, sera « pas évident » pour le lecteur. Pour savoir jusqu’où ce fait sera contre-intuitif, un petit sondage en ligne est effectué pendant une semaine à 15 jours avant que je ne rédige mon texte, pour demander « l’avis de tou(te)s ». C’est bien entendu votre serviteur qui formule la question ainsi que les réponses possibles. Pour cette édition de cette chronique, la question posée était la suivante : « Si nous arrêtions nos émissions de CO2 aujourd’hui, combien de temps faudrait-il pour que le surplus que nous avons créé (par rapport à 1750) disparaisse totalement de l’atmosphère ? ».

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