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Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France

Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France Lire en ligne Texte sur Légifrance La loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui a régi de 1973 à 1993 l'organisation de la Banque de France. Cette loi est parfois surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild. Ces dernières années, cette loi est au cœur d’un débat sur l’endettement public et la création monétaire. Le débat[modifier | modifier le code] La critique de la « loi de 1973 » s’inscrit en fait dans un débat économique plus large, notamment sur la création monétaire. Jusqu'en 1972, la Banque de France pouvait prêter à l’État sans intérêt 10,5 milliards puis 10 autres milliards à taux très faible[2]. La critique[modifier | modifier le code] Selon les critiques de cette pratique, la classe politique s'est soumise aux marchés financiers qui sont les créanciers de l'État. Le débat sur cette loi s'est beaucoup répandu sur Internet. Related:  lectures

"Osez l'exode" de la société du travail Les périphériques vous parlent : Dans votre dernier ouvrage Misères du Présent, Richesses du Possible faisant allusion au livre de J. Rifkin La Fin du Travail, vous affirmez quant à vous : « Il ne s’agit pas du travail au sens anthropologique ou au sens philosophique. (...) Il s’agit sans équivoque du travail spécifique propre au capitalisme industriel » Pouvez-vous développer pour nous cet argument ? André Gorz : Au sens anthropologique, on appelle habituellement « travail » l’activité par laquelle les humains façonnent et transforment leur milieu de vie. C’est d’abord la malédiction biblique : le monde n’est pas naturellement propice à la survie des humains, il n’est pas « un jardin planté pour eux », disait Hegel. Enfin, il y a le travail comme praxis, que Hannah Arendt appelle « l’agir » (Handeln). Il peut sans doute y avoir des chevauchements et des interpénétrations entre ces dimensions de l’activité humaine. A.G. : Je ne vois pas les choses de cette façon. (Bruce Lee)

Comment crée-t-on l’argent ? Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain. »-Henry Ford La planche à billets ? Pour la plupart des personnes, l’image ci-dessus représente la création d’argent. Les gens se disent que l’Etat, ou toute autre organisation, imprime des billets pour créer toute la monnaie nécessaire. Il n’en est rien ! Vous avez déjà du entendre que si tout le monde retirait l’argent de son compte, le système s’effondrerait, en voici l’une des raisons : l’ensemble de l’argent n’existe pas matériellement !!! Il est aussi facile de comprendre que, lorsque vous payez par carte bancaire au supermarché, votre compte sera débité de 150€ par exemple et que le compte du supermarché va passer de 300 000€ à 300 150€. « FAIT N°1 : 95% de l’argent sur Terre est informatique. La création monétaire par le crédit Voici la partie sûrement la plus difficile à comprendre. La plupart des personnes pense que les banques ne prêtent que l’argent qu’elles possèdent. - Mr.

« Les jeunes doivent tout réinventer » Michel Serres Michel Serres est né en 1930. Diplômé de l'Ecole navale et de Normale sup, il a enseigné (l'histoire des sciences) à Paris I et à Stanford (USA). A 82 ans, Michel Serres, qui enseigne toujours aux Etats-Unis, à la Standford University, a vu défiler de nombreuses générations d'étudiants. Nos sociétés ont déjà vécu deux révolutions : le passage de l'oral à l'écrit, puis de l'écrit à l'imprimé. Comme les précédentes, cette révolution est tout aussi décisive et s'accompagne elle aussi de mutations politiques, sociales et cognitives. Si le vieux monde est vraiment derrière elle, Petite Poucette va devoir réinventer des institutions, une manière de vivre ensemble, une manière d'être… Elle a sur les épaules beaucoup de difficultés, c'est évident. On a tout de même dit que plusieurs régimes forts arabes avaient été renversés avec l'aide des réseaux sociaux… Mais sous nos latitudes, la force d'inertie demeure pesante.

Macroéconomie de l’épargne 1 - L'épargne Pour le grand public, l’épargne se présente sous diverses formes de placements pouvant aller du compte d’épargne au bien immobilier, en passant par les obligations, les bons, les fonds communs de placement, les actions, l’assurance vie, les métaux précieux, les bijoux, les œuvres d’art, les meubles rares, etc. Pour les professionnels qui en font métier : les banques, les établissements financiers, les compagnies d’assurances, les courtiers, et autres, l’épargne monétaire des ménages ou des entreprises représente des fonds à collecter dans le but d’en tirer un profit, c’est-à-dire un différentiel d’intérêt ou marge de profit. Ainsi donc, le public et les professionnels n’ont aucune raison particulière de s’intéresser aux effets macroéconomiques de l’épargne qui sont pourtant d’une importance vitale pour l’économie d’un pays. 1.1 - la théorie de l’égalité de l’épargne et de l’investissement Primo, cette équation exclut la notion de temps. L’épargne (comptabilité nationale)

LE MYTHE DE LA CAVERNE Gaëlle Sartre-Doublet a dit : (article publié dans vox populi le samedi 16 octobre 2004) LE MYTHE DE LA CAVERNE, Platon (V° siècle avant J.C) , La République, Livre 7... C’est avec plaisir que je découvre cet article qui expose sobrement la fabulette de Platon, et, si ce n’est ses motivations, du moins son mode d’emploi pour les apprenti philosophes. La phrase d’introduction me convient presque : Le mythe de la caverne est une allégorie qui illustre la situation des hommes par rapport à la vraie lumière, c’est-à-dire par rapport à la vérité. mais je dirais plutôt : :L’allégorie de la caverne cherche a illustrer la situation des hommes par rapport à la vérité. Mon discours personnel serait plutôt : La réalité n’a pas de sens. Dont on peut conclure a) A chacun sa vérité b) LA vérité n’existe pas. J’en étais là de mes réflexions. A la réflexion, je me demande si j’aurais pu imaginer ma fable si j’avais appris la philosophie. Mes prémisses étaient les suivantes : Le vaisseau spatial

Former l'esprit critique : Une méthode en 25 exemples "Aujourd'hui plus que jamais on a besoin de citoyens capables de faire le tri dans les informations et d'effectuer des choix pertinents", écrit Philippe Meirieu en préface du livre de Gérard de Vecchi. L'esprit critique devient une compétence fondamentale que l'Ecole doit développer chez les élèves. Car si l'esprit critique s'apprend c'est par des situations qui font réfléchir l'élève et qui l'ouvre au débat argumenté. Dans son livre "Former l'esprit critique", G de Vecchi propose une méthode très concrète qui , en 25 chapitres, emmène le lecteur de la définition de l'esprit critique à la lutte contre le complotisme sur Internet... Tout commence par le statut de l'erreur "Développer une pensée libre n'a rien d'évident", rappelle P Meirieu. Pour G de Vecchi tout commence par le statut de l'erreur. Des fiches pratiques et des exercices L'ouvrage apprend à construire et instruire des situations problèmes. Une révolution pédagogique Peut on apprendre l'esprit critique ? Ca peut s'apprendre ?

Marc Prensky : des « digital natives » à la « sagesse numérique » Marc Prensky a ouvert les débats de notre journée « Quelle école pour demain ? ». Il nous explique que pour nous adapter à l’évolution rapide de nos sociétés, notre pédagogie doit changer. Plutôt que de rester la gardienne du passé, l’école doit, selon lui, se positionner à l’avant-garde des institutions qui préparent les jeunes à leur avenir. Et elle n’y parviendra qu’en faisant un pacte avec les élèves autour des technologies numériques. > Vous pouvez revivre son intervention en intégralité, et en français, ci-dessous : > Ces changements que l'école doit accompagner Etre lettré hier, c'était écrire une lettre, un rapport ou un essai. Marc Prensky explique que notre instruction a été conçue pour un monde relativement stable, ordonné et non ambigu. Dans ce contexte, ce qui est intéressant n'est pas la technologie mais bien l'apprentissage. > L’enjeu : la sagesse numérique pour tous Dans ce contexte, l’école doit d’abord trancher : que faut-il garder dans la tête ? > Pour aller plus loin :

Informatique durable L'informatique durable, la green computing[1], ou green IT[2], ou green information technology[3],[4],[5] ou informatique verte[6] est un concept qui vise à réduire l'empreinte écologique, économique, et sociale des technologies de l'information et de la communication (TIC). Il s'agit d'une manière globale et cohérente de réduire les nuisances rencontrées dans le domaine des équipements informatiques et ce, durant l'ensemble de la durée de vie de chaque équipement : soit aux différents stades de fabrication, d'utilisation (consommation d'énergie) et de fin de vie (gestion/récupération des déchets, pollution, épuisement des ressources non renouvelables). Ce concept s'inscrit plus largement dans la notion d'informatique éco-responsable » ou développement durable[7]. Le Journal officiel français du 12 juillet 2009 donne « éco-TIC » comme équivalent de « Informatique verte ». Historique[modifier | modifier le code] Points de repère chronologiques[modifier | modifier le code]

Intro Héberger votre site web gratuitement Bonjour à tous, En ayant lu rapidement la section "commentaires" du cours sur le (x)HTML de M@teo, je me suis rendu compte que beaucoup de personnes étaient déçues d'apprendre qu'il fallait ouvrir le porte-monnaie tout poussiéreux pour pouvoir publier son site en ligne. En effet si vous regardez cette section... venez c'est par là, beaucoup de personnes sont déprimées en croyant qu'il faut payer pour héberger son site web. Or ce n'est pas forcément nécessaire Je me permets donc de publier ce post pour proposer à ceux qui le souhaitent, une alternative gratuite à l'hébergement payant Il y a trois solutions pour héberger votre site web :L'alternative gratuiteL'hébergement payantL'hébergement à domicile Pour l'hébergement à domicile, nous ne ferons qu'en parler. Avant de s'intéresser de plus près à ces différentes solutions, il y a une question fondamentale que vous devez vous posez : Quel genre de site est-ce que j'envisage d'héberger ? Gardez vos sous Les hébergeurs gratuits Le nom de domaine

Qu’est-ce que la blockchain Apprenez-en plus sur la blockchain et découvrez ses avantages, son fonctionnement et ses applications. Découvrez la technologie sous-jacente, l’architecture et le rôle des nœuds. Comprenez comment elle est utilisée pour les cryptomonnaies, les smart contracts et d’autres applications. Qu’est-ce que la blockchain ? Vous vous demandez ce qu’est la blockchain ? Définition de la blockchain Si vous vous interrogez sur ce qu’est la blockchain, la réponse est assez simple : c’est une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée et fonctionnant sans organe central de contrôle. Principe de fonctionnement de la blockchain Comment la blockchain fonctionne-t-elle ? Avantages de la blockchain Avantages de la blockchain: La blockchain est une technologie innovante qui offre plusieurs avantages, notamment la sécurité et la transparence. Comment fonctionne la blockchain ? Vous avez maintenant une idée plus claire de la blockchain et de ses principes de fonctionnement.

Pourquoi Nuit debout n’a pas tenu ses promesses : le récit inédit de Patrice Maniglier Nuit Debout a-t-elle été un échec déprimant par son absence de résultat? Ou une victoire enthousiasmante par le simple fait d’avoir eu lieu? C’est la question qu’aborde frontalement la revue des «Temps Modernes», qui publie un numéro spécial aussi inattendu que passionnant. L’une des pièces de choix est le texte du philosophe Patrice Maniglier, qui a piloté ce numéro: dans un long texte, il raconte en détail son engagement quotidien à Nuit debout, en particulier dans la commission Démocratie. Le reste du dossier est tout aussi captivant. Autre innovation : le numéro contient également un cahier de graffitis et de slogans qui captent bien l’esprit de ce printemps électrique: «Une autre fin du monde est possible», «En cendres, tout devient possible», «On s’est radicalisés sur internet», «On fait comme DAB»… Eric Aeschimann Nuit debout : une expérience de pensée Par Patrice Maniglier ©Les Temps Modernes A Nuit debout, les intellos apprennent la discrétion Comment sortir de la haine ?

Le capitalisme raconté par le ketchup, par Jean-Baptiste Malet (Le Monde diplomatique, juin 2017) La civilisation de la tomate La force d’un système économique tient à sa capacité à s’insinuer dans les moindres replis de l’existence, et en particulier dans nos assiettes. Une banale boîte de concentré de tomate contient ainsi deux siècles d’histoire du capitalisme. Dans la salle d’un restaurant décorée d’ours et de cobras empaillés, au cœur de la vallée de Sacramento, en Californie, un homme mord dans son hamburger face à une bouteille de ketchup. « Je suis une sorte d’anarchiste, explique M. Traversé continuellement d’un essaim de camions tractant des doubles bennes de fruits rouges, l’établissement est le plus compétitif du monde. Mises en conteneurs, elles circuleront sur tous les océans du globe. Taille de l’article complet : 1 929 mots. Lycées, bibliothèques, administrations, entreprises, accédez à la base de données en ligne de tous les articles du Monde diplomatique de 1954 à nos jours. Jean-Baptiste Malet Journaliste.

Le système du risque à Saint-Martin (Petites Antilles françaises) 1En géographie, les recherches sur les risques naturels s’organisent en trois axes qui correspondent à autant de générations de travaux (Morel et al., 2006) : l’étude des aléas1, qui relève d’une approche physique récemment enrichie par les apports des méthodes quantitatives et de la modélisation ; l’analyse de la vulnérabilité2, qui place l’aménagement et le territoire au centre de la réflexion ; et l’approche pluridisciplinaire, qui se démarque par son caractère global et son orientation vers l’aide à la décision. Outre la spatialisation des risques3, réalisée en appui à l’élaboration des documents de planification (PER et PPR), les travaux récents ont privilégié l’analyse historique (de l’occupation du sol, des jeux d’acteurs et des processus de territorialisation, en particulier) et les questions relatives à la perception et à la gestion. Figure 1. Proposition d’un cadre méthodologique pour l’analyse de la vulnérabilité des sociétés face aux aléas Source : P. 1.1. Figure 2. 2.1.

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