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Partageons les savoirs et les innovations

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Qu'est-ce qu'un "neuromythe?" L'utilisation avertie des connaissances concernant le cerveau et ses fonctions peut nous conduire à de meilleurs choix et décisions, plus informés et conformes à la réalité. C'est le cas notamment dans le domaine de l'éducation, où le cerveau et ses modifications dues à l'apprentissage sont au coeur des pratiques. Mais pour que cette utilisation soit profitable, il est nécessaire qu'on sache identifier, dans la masse d'informations en circulation, celles fondées sur les faits. La place de plus en plus importante que prennent les sciences du cerveau dans notre société s'accompagne en effet par ailleurs de simplifications excessives, de distorsions des résultats expérimentaux et de leurs interprétations, de mécompréhensions - d'idées irréalistes, non fondées sur les faits, que nos propres intuitions et espoirs contribuent à renforcer. Un cas de neuromythe Les neuromythes sont une classe spécifique de croyances concernant le fonctionnement de notre cerveau Génèse des neuromythes Quoi faire?

Les fonctions exécutives chez l'enfant : attention - mémoire - cognition - dyspraxie - troubles des apprentissages - remédiation - Planète-Douance Les fonctions exécutives chez l’enfant. Dossier coordonné par le Pr Catherine Billard – ARTA Il est évident tant au plan théorique que clinique que les fonctions exécutives (FE) sont essentielles à la vie sociale et au fonctionnement cognitif. Diamond (2013) résumait les principaux aspects de leur rôle « Les FE nous donnent la possibilité de jouer mentalement avec des idées, de nous adapter aux changements vite et en souplesse, de prendre le temps de réfléchir à la prochaine étape, de résister aux tentations, de rester concentré et de faire face à des défis nouveaux et imprévus… » Dès lors, les questions jaillissent : – Comment les FE se développent-elles chez l’enfant ? – Quand peut-on considérer qu’elles sont déficitaires compte tenu de la maturation cérébrale ? – Quelles sont les conséquences d’une lésion cérébrale selon l’âge où elle survient ? – Que sont exactement ces fonctions exécutives ? – Où en est-on dans leur évaluation précise ? – Peut-on envisager des « syndromes dysexécutifs ».

Ce que souhaitent les personnes accompagnées par les assistantes sociales polyvalentes de secteur… | Ecrire pour et sur le travail social L’ANAS Finistère avait réalisé en 2012 des entretiens auprès d’une quarantaine de personnes accompagnées par des assistantes sociales. Cette étude riche d’enseignements est parue dans le numéro 251 de la revue française de service social. En voici les principaux éléments. Ils avaient été repris dans le rapport du Conseil Supérieur de Travail Social intitulé « Refonder le rapport aux personnes : merci de ne plus nous appeler usagers ».Cette question intéresse aussi L’université de Paris Est Créteil qui organise jeudi prochain une journée d’étude intitulée « Les nouvelles figures de l’usager : de la domination à l’émancipation ? Alors que nous dit l’enquête qualitative de l’ANAS Finistère ? Trois questions volontairement ouvertes ont été posées afin ne pas induire les réponses, sur lesquelles les personnes interrogées pouvaient cependant demander des précisions : – 1 : Que voyez-vous du travail qu’effectue l’assistante sociale pour ou avec vous, pouvez-vous l’expliquer ? 1. J'aime :

Explicitement Vôtre: Tout ce qu'il faut savoir sur les neuromythes - Elena Pasquinelli Voici une conférence donnée par Elena Pasquinelli, chercheuse spécialisée dans l’application des sciences cognitives à des domaines d’intérêt social. Cette prestation est passionnante tant par le contenu, clairement énoncé et argumenté, que par la forme et un discours bien senti, non dépourvu d’humour. Je vous conseille vivement de visionner le clip dans son intégralité. Aujourd’hui, la prise de décision fait l’objet de deux tendances ; certains pensent qu’elle doit s’appuyer sur nos intuitions, nos instincts, d’autres disent qu’elle doit s’aider de la science. L’essentiel de son exposé tourne donc autour des neuromythes qu’elle présente, dont elle fait l’historique et qu’elle démonte : Effet Mozart – Tout se joue avant 3 ans – Plasticité du cerveau (cerveau multi-tâches ; techno mythes) – Cerveau droit/gauche (A cette occasion, elle démonte l’argumentaire du programme Brain Gym)– Entraînement « musculaire » du cerveau – Nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau.

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. J.

Ce qu'on ne peut pas ne pas savoir sur le cerveau de l'enfant (enseignants, parents, professionnels de l'éducation) Pour Stanislas Dehaene, psychologue cognitiviste et neuroscientifique, les adultes (et en particulier les enseignants) doivent maîtriser un bon modèle informatif et explicatif sur le fonctionnement du cerveau des enfants. Dans ses nombreux livres et conférences, il vise à donner aux enseignants un bagage de principes fondamentaux sur la plasticité cérébrale et les mécanismes de l’apprentissage humain. En revanche, il refuse de conseiller tel ou tel manuel, telle ou telle méthode : ces principes sont compatibles avec une grande liberté liberté pédagogique. Dans son idée, l’enseignant est un expérimentateur. Pour Stanislas Dehaene, les connaissances autour du cerveau de l’enfant s’articulent autour de trois grands axes : 1. 2.Ses programmes biologiques et ses algorithmes d’apprentissage 3.Le rôle du sommeil La nature du cerveau humain Stanislas Dehaene rejoint les travaux d’Alison Gopnik (chercheuse en psychologie du développement). Implications pour un apprentissage efficace de la lecture

Neuromyths in Education: Prevalence and Predictors of Misconceptions among Teachers | Psychology Introduction There is widespread interest among teachers in the application of neuroscientific research findings in educational practice. Neuroscientific research has received a lot of attention since 1990–2000, which was declared the “Decade of the Brain” in the United States. Yet, the field of neuroscience is complex and the accurate transfer of research findings to the classroom is often difficult (Jolles et al., 2005; Devonshire and Dommett, 2010; Ansari et al., 2011). This gap between neuroscience and education has enabled many misconceptions about scientific findings to occur (Goswami, 2006). In 2002, the Brain and Learning project of the Organization for Economic Co-operation and Development (OECD) drew international attention to this phenomenon. Although neuromyths are incorrect assertions about how the brain is involved in learning, their origin often lies in genuine scientific findings. Materials and Methods Participants Procedure Measures Data Analysis Results Table 1. Table 2. 1.

Les performances du cerveau évoluent avec l’âge, mais ne déclinent pas - Le Temps L’heure est au cerveau augmenté. Elon Musk en a encore fait la démonstration, il y a un mois, en annonçant la création de sa société Neuralink. La énième entreprise du milliardaire a pour objectif de développer des composants électroniques pouvant directement être implantés dans le cerveau afin d’en augmenter la mémoire, piloter des terminaux ou le connecter de manière plus efficace à l’intelligence artificielle. Tout un programme… qui nous fait parfois oublier que cet organe, dans ses capacités intrinsèques, possède encore de larges zones grises à explorer. C’est notamment le cas en ce qui concerne nos capacités cognitives. Contre toutes attentes, certaines compétences comme la reconnaissance des émotions, la compréhension du vocabulaire, mais aussi la régulation du stress, semblent atteindre leur sommet entre 45 et 50 ans. Différents points culminants Petite enfance: Déjà extrêmement performant En 28 jours de grossesse, les premiers neurones se forment. Age adulte: seconde jeunesse

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