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Introduire les réseaux sociaux à l’école : prenons des risques! (réfléchis) « From Pennylane to…

Introduire les réseaux sociaux à l’école : prenons des risques! (réfléchis) « From Pennylane to…
La table ronde à laquelle j’ai assisté à Ludovia « Les politiques e-éducatives à mettre en place face aux enjeux de la mobilité et de l’ouverture » à Ludovia, a tourné en fin de session sur le vieux débat « pour ou contre Facebook à l’école ». Thème abordé à cause de cette question sondage: Question mal posée puisqu’il y avait deux sous-questions et que de fait, cela ne se prêtait pas à une seule réponse. Le 1er rang de la salle réservé aux bloggueurs/twetteurs/facebookeurs a vivement réagi aux propos tenus sur l’estrade par le rang d’officiels politiques qui s’y tenait. Au réseau social « grand public » (délibérément nommé Facebook) semblait s’opposer l’Environnement Numérique de Travail (ENT). Le projet (ou juste une tendance?) Sécurisé/restreint/bloquerait/interférences = tout le vocabulaire négatif est réuni. Le volet sécuritaire me semble indéniable et inébranlable : nous travaillons avec des enfants, des adolescents, le plus souvent mineurs. J'aime : J'aime chargement… Related:  Médias sociaux

Comprendre les réseaux sociaux numériques - Prestations DSI-SEM Facebook et l’école peuvent-ils faire bon ménage ? De plus en plus de jeunes utilisent les réseaux sociaux numériques tels que Facebook ou Twitter. Face à cette nouvelle manière de communiquer et de tisser des liens, les adultes – parents et enseignants – sont parfois dépourvus. Pour contribuer à la réflexion, la DSI-SEM propose Un enjeu pour l’enseignement. Comprendre les réseaux sociaux numériques. Destiné en priorité au corps enseignant, ce document aborde le phénomène sous différents angles. Conseils pratiques, explications contextuelles, exemples divers : s’il n’a pas pour ambition de tout dire sur les réseaux sociaux, le document proposé par la DSI-SEM souhaite favoriser une réflexion sur un phénomène qui n’a pas fini de faire parler de lui. Au même titre que son précédent guide Comprendre l’identité numérique, ce nouvelle publication s’insère dans une volonté de la DSI-SEM d’apporter des éclairages sur les enjeux du numérique dans l’enseignement. En savoir plus : A lire également :

Classes inversées : fossilisation des pratiques ou innovation à l’ère numérique ? Classes inversées (flipped classrooms). L’appellation (d’abord en anglais, plus tard en français) apparaît vers 2007 quand deux enseignants de chimie[1], Jonathan Bergmann et Aaron Sams (dans l’équivalent de notre secondaire aux États-Unis), découvrent le potentiel pédagogique de vidéos (PowerPoint commentés, screencasts[2]…). Il s’agissait pour eux de motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou sans la présence physique ou la supervision de l’enseignant) les leçons traditionnellement données en classe afin de les rendre plus interactives : « Lectures at home and homework in class » (les leçons à la maison, les devoirs en classe), le slogan était lancé[3]. Bergmann et Sams, les « inventeurs » des classes inversées, expriment bien les transformations induites par cette méthode[4]. La classe inversée est : - un moyen d’amplifier les interactions et les contacts personnalisés entre les élèves et l’enseignant. - un lieu où les étudiants peuvent recevoir un accompagnement personnalisé.

La place des réseaux sociaux dans l'information journalistique / E-dossier de l'audiovisuel : Journalisme, Internet, libertés Arnaud Mercier est Professeur en Sciences de l’information et de la communication. Responsable de la licence professionnelle "journalisme et médias numériques" à l’Université de Lorraine, ses thèmes de recherches concernent, notamment, la communication politique, les traitements médiatiques, la sociologie du journalisme et du webjournalisme. Il est membre du comité scientifique des Cahiers du journalisme et du comité de rédaction de la revueQuestions de communication. ______________________________Médias et réseaux sociaux sont devenus des espaces d’expression pour des millions de gens sur Internet. S’il n’est pas encore majeur, le poids de ces réseaux sociaux, tels Twitter ou Facebook, dans l’interaction entre journalistes, sources et lecteurs, la progression des usages informatifs et la croissance rapide du nombre d’inscrits préfigurent un support pour l’information. Une tribune libre : le réseau social comme espace d’expression non contraint L’avènement du « Twiléspectateur »

L’humour, valeur nationale : mallette théorique pour interventions pédagogiques « Projet de costume pour MM. les journalistes », par André Gill, « L’Éclipse, 23 janvier 1870 Quelles valeurs enseigner dans l’école de la République ? S’en tient-on à la devise républicaine ? À ces questions qui taraudaient déjà bien des enseignants et qui deviennent l’incontournable de l’après 11 janvier, le rassemblement national a sans doute apporté une réponse inattendue, très visible aux yeux des enfants et des adolescents, en étalant sur tous les écrans un mélange détonant de drapeaux tricolores et de caricatures de Charlie Hebdo. Dans la solennité du moment, l’effroi des horreurs perpétrées, la sidération de la conscience citoyenne blessée, l’humour a pointé régulièrement le bout de son nez, jusqu’à se faire reconnaître comme valeur nationale. Il s’agit également de permettre d’accueillir en connaissance de cause les dessins humoristiques et autres documents que les élèves ne manquent pas d’apporter, ainsi que les textes et dessins qu’il serait bon qu’ils produisent eux-mêmes.

Sur la carte mondiale des tweets, on repère les gares, les aéroports, les aires d’autoroute… Dans quels lieux publics tweete-t-on le plus souvent ? Réponse : dans les halls de gare, sur les aires d’autoroute, dans les terminaux d’aéroports. C’est l’un des enseignements de la carte publiée par le programmeur américain Eric Fischer. Densité et richesse. La Part-Dieu éclaire Lyon. Tweetland. Tourisme, affaires et transports. Les halls, les quais, les trains. Idéogrammes. Autoroute et LGV. Ville, gare, aéroport, autoroute. Ferry. Gare et ski. Olivier Razemon Les transports, c'est de plus en plus une affaire de données : La SNCF divulgue la géolocalisation de ses trains (octobre 2014) En voiture, en TGV ou en avion, les Français voyagent de plus en plus (juin 2013) Le difficile art de prévoir les embouteillages (janvier 2013) Bonus : Francfort et son aéroport, presque aussi lumineux que la ville... Signaler ce contenu comme inapproprié

Construire une séance pédagogique Pour avoir pu échanger ces dernières semaines avec des professeurs documentalistes récemment titularisés, j’ai appris que Cactus acide était notamment suivi par des collègues en recherche de méthodes et de matériaux rapidement exploitables. Je me propose donc ici d’approfondir, dans une dimension, disons plus opératoire, ce premier schéma, extrait d’un précédent article. En particulier, j’entends contextualiser la tâche pédagogique, qui forme ci-dessous la pointe de la flèche, dans le cadre d’une séance pédagogique. Au préalable, j’aimerais apporter quelques précisions sur les étapes préliminaires à cette formalisation d’une séance ou séquence pédagogique. Le précédent paragraphe introduisant la distinction entre objectifs généraux et objectifs spécifiques, je vais plutôt me concentrer sur la notion de tâche et sur ce que recouvre l’évaluation. Voilà ce qui à mon sens peut constituer des points de repère pour construire une séance pédagogique.

Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public En juin dernier, le Pew Research Center, ce think tank américain “non partisan” dédié à l’étude “des faits et tendances qui transforment notre monde”, a livré une impressionnante étude sur la montée de la polarisation du débat public aux Etats-Unis. L’étude montrait combien l’animosité partisane avait progressé sur 20 ans entre démocrates libéraux et républicains conservateurs, notamment chez les plus actifs politiquement… Elle mettait en avant la progression des chambres d’échos idéologiques – c’est-à-dire le fait que les partisans discutent de plus en plus entre eux -, renforçant ainsi leurs propres convictions, ainsi que la montée de l’antipathie mutuelle entre ce qu’on pourrait rapidement qualifier de droite et de gauche américaine. Le Pew Research Internet Project, la branche technologique du think tank vient de la compléter en s’intéressant particulièrement au rôle des médias sociaux dans la montée de cette polarisation politique. Hubert Guillaud

Classe média : les caricatures Dans le cadre de la classe média, on ne pouvait pas passer à côté des événements tragiques de mercredi dernier. D’autant plus que dans le collège, nous avons eu certaines réactions très particulières, de type « bien fait pour eux » (pour rester soft). Toutes les classes ont bien entendu eu un moment d’explication et de recueillement jeudi, mais des incompréhensions demeures. J’ai voulu par cette séance remettre la caricature au centre. Pour cette séance d’une heure, en petit groupe, j’ai commencé par leur demander ce qu’était une caricature. Je leur dis que les caricatures ne sont pas que dessinées, et leur demande quel autre type de caricatures connaissent-ils. Je leur demande alors quel est leur humoriste préféré. Vient la question : « oui, mais si je n’aime pas cet humoriste, qu’est-ce que je fais ? Je leur ai alors distribué des journaux (Le Monde, Le Parisien, Canard enchaîné, Charlie Hebdo – merci la semaine de la presse!). WordPress: J’aime chargement…

Mes réseaux sociaux et moi : brochure conseil d’éducation au numérique (Académie de Versailles) A l’occasion du Safer Internet Day (journée de l’Internet sans crainte), le SCEREN-CRDP de l’Académie de Versailles via sa d’éducation aux médias plateforme Citoyen de l’Internet a mis en ligne un nouveau MemoTICE (brochure conseil) intitulé Mes réseaux et moi qui s’intéresse aux pratiques des enfants et adolescents sur les médias sociaux. Ce document pédagogique et didactique est librement téléchargeable et diffusable (sous licence Creative Commons). A télécharger (en pdf) : ici sous la forme d’une brochure et ici au format 21 x 29,7 cm (4 pages). Ce mini-guide pose des jalons d’éducation au numérique avec des conseils mais aussi la volonté de faire réfléchir les jeunes, les enseignants et les parents sur quelques points essentiels de leur présence sur ces outils en ligne : A quoi me servent les réseaux sociaux ? Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Île-de-France

Faut-il combattre les trolls ? La sagesse populaire des réseaux nous rappelle qu’il ne faut pas nourrir les trolls (don’t feed the troll), ce qui signifie qu’il est plus avisé de ne pas répondre à des commentaires haineux afin de ne pas engendrer un discours de haine encore plus violent et plus nourrit. Pourtant, nous rappelait déjà le sociologue Antonio Casilli, « Le trolling ne doit pas être considéré comme une aberration de la sociabilité sur l’internet, mais comme l’une de ses facettes ». En fait, la radicalité des Trolls est une réponse aux blocages des formes d’expression publiques, qu’elles soient en ligne ou pas. Bien souvent, « le troll se nourrit des arguments rationnels qu’on lui oppose pour en faire de l’irrationalité », expliquait très bien Xavier de la Porte dans une chronique récente. Engager le dialogue avec les trolls D’où l’adage qui veut de ne pas répondre aux trolls. Mais la technique n’est peut-être pas la seule arme pour leur répondre. Répondre pour changer la norme Hubert Guillaud

12 vidéos didactiques sur les réseaux sociaux et le numérique La firme Orange via le blog Le Collectif a eu la bonne idée de mettre à disposition des internautes et mobinautes des vidéos courtes didactiques et avec un brin d’humour sur des services en ligne (Twitter, Pinterest, Klout, Foursquare, Google Plus…) et notions de l’Internet (cloud computing…) et du monde connecté (TV connectée, voiture connectée…) d’aujourd’hui afin de mieux les comprendre et les appréhender. Appréhender, comprendre, apprendre En moins de 2 minutes, l’ensemble de ces vidéos intitulées 60 secondes présentent de petits films d’animation pour mieux visualiser ce que recouvrent les outils en ligne et les pratiques qui sont le sujet de ces médias ; une voix off fournissant des explications et d’actions pour ces différents thèmes évoqués. Ces vidéos peuvent être utiles à des néophytes de l’informatique, de l’internet, des smartphones ou à des personnes qui souhaitent découvrir l’utilité de pratiques ou services numériques. Liste des 12 vidéos courtes didactiques 60 secondes

Tutoriel comment utiliser Pinterest Twitter inaugure une nouvelle fonction de résumé En octobre dernier, Twitter avait annoncé son intention de proposer un tri par pertinence pour présenter le fil d’actualité. Cette fonction commence à être déployée pour les utilisateurs anglophones. Baptisée “While your were away”, elle présente une synthèse des tweets reçus depuis la dernière ouverture de l’application. L’algorithme se sert de critères de pertinence dont Twitter ne donne pas le détail. Cette approche non chronologique a déjà suscité beaucoup de débats et d’opposition au sein de la tweetosphère.

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