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Orange joue la carte de l'intelligence artificielle pour réinventer la banque

Orange joue la carte de l'intelligence artificielle pour réinventer la banque
"Le secteur bancaire n'a pas encore fait sa transformation digitale !". Les mots prononcés ce 20 avril par Stéphane Richard, le patron d'Orange, lors du Show Hello, ont sans doute dû hérisser le poil des acteurs traditionnels du monde de la finance, qui investissent à tour de bras pour mener à bien leur mue. Et d'enfoncer le clou : "C'est d'ailleurs pourquoi les acteurs du numérique sont en train de passer au premier plan. Ces sociétés numériques pensent d'abord à l'usage". Une offre phygitale et (presque) gratuite Après des mois de teasing, l'opérateur historique a enfin dévoilé les contours d'Orange Bank, devant un parterre de journalistes et partenaires conviés à la salle Pleyel à l'occasion du Show Hello, le raout annuel de l'opérateur. Pensée en mobile first (100% des opérations seront réalisables depuis l'application mobile, dont l'ouverture du compte), la néobanque s'appuiera aussi sur 140 boutiques existantes de l'opérateur (parmi les 650 magasins que compte son réseau). Related:  LA GRANDE DISTRIBUTION

Comment Décathlon adapte sa logistique à l'omnicanal Comment gérer l'arrivée de l'e-commerce et de l'omnicanal quand on opère une chaîne de magasins physiques d'envergure? Avec ses 300 points de vente en France (plus de 1100 dans le monde) et un business model "mass market" (50 000 références, 300 millions d'articles vendus par an, à un prix moyen de 11 euros), le géant du matériel sportif Décathlon a mis en place des solutions. Etude de cas. Optimiser la vitesse et le coût Chez Décathlon, tous les entrepôts peuvent désormais traiter à la fois des commandes magasin et web, mais avec une répartition spécifique. Des machines de tri pour les commandes web Benoît Faure pointe un écueil dans la préparation des commandes: "Pour les magasins, on atteint vite les 100 à 150 articles par point de vente et par sport. Décathlon a aussi généralisé sur les produits les puces RFID, qui aident à vérifier plus rapidement et plus sûrement les commandes. Des livraisons express, des magasins attractifs

Quels impacts ont les commerciaux sur les points de vente ? Alors que le chiffre d'affaires tous circuits GMS est en chute depuis 5 ans (hors proxi de -400 m²) et que la consommation de produits de grande consommation s'essouffle, les marques pourraient être tentées de revoir à la baisse les forces de vente dédiées à la visite des points de ventes de type Hypermarchés ou supermarchés... Cela serait très clairement une erreur. Que la force de vente soit interne ou que la marque passe par un prestataire d'externalisation commerciale, les commerciaux ont un réel impact sur la performance des marques. Ainsi selon Sophie Nonet, Directrice des Solutions Ad Hoc au sein d'Iri (spécialisé sur les études de marché) qui intervenait lors d'une conférence de l'Institut du commerce, la part de marché est plus élevée dans les magasins visités de l'ordre de +0,8% que dans les magasins non visités. Assortiment Concernant l'assortiment, les résultats sont là encore bien visibles. Une lutte anti-rupture efficace Quelques chiffres à retenir : En complément :

La poussée de l'omnicanal expliquée en 7... L’omnicanal progresse à grands pas. Un constat somme toute logique puisque c’est LE sujet sur lequel planchent tous les acteurs du commerce. Dans le détail, les distributeurs se sont surtout efforcés, en 2015, de faire grandir leur l’offre disponible en ligne et d’améliorer la gestion logistique que supposent les nouveaux services cross canal. C’est ce que démontre le troisième baromètre omnicanal réalisé par Capgemini Consulting, qui a pris le pouls de 166 distributeurs occupant des postes de direction – ou des responsables de magasin – dans le retail. 67% des enseignes non alimentaires proposent désormais l’ensemble de leur assortiment en ligne (contre 41% en 2015). Pas moins de 14% d’entre elles ont même développé une marketplace. 46% des retailers vendent leurs produits au même prix en ligne et en magasins (+ 17 points par rapport au baromètre 2015). 60% des distributeurs parviennent à croiser les données en ligne et en magasins (+ 34 points par rapport à 2015).

Omnicanal Ecrit par B.Bathelot, mis à jour le . Glossaires : Fidélisation / CRM /CRC Dans un contexte marketing, le terme d’omnicanal ou d’omnicanalité désigne le fait que tous les canaux de contact et de vente possibles entre l’entreprise et ses clients sont utilisés et mobilisés. La notion d’omnicanal peut désigner tout autant les contacts pris à l’initiative des clients ou prospects que ceux émanant de l’entreprise. L’omnicanalité est souvent vue comme une évolution du multicanal où l’utilisation simultanée des canaux disponibles est mieux optimisée. Une pratique omnicale maîtrisée suppose d’éliminer les silos marketing et logistiques afin d’avoir une vue 360° du client et d’optimiser l’expérience client. L’évolution du monocanal à l’omnicanal : Une illustration du phénomène omnicanal dans le secteur bancaire :

Comment les caisses de supermarchés vont disparaître Quand Amazon a présenté son concept Amazon Go dans une vidéo en décembre dernier, la blogosphère a adoré : plus de 8 millions de téléchargements dans les premières vingt-quatre heures. Pensez donc, un supermarché sans file d’attente ni caisse ! Où il suffit d’entrer, de prendre son sandwich, son gel douche ou son soda et de ressortir sans avoir à dégainer sa Carte bleue ou son portefeuille. Rien. Car la tendance est là. >> En vidéo - Voilà à quoi ressemble le supermarché Amzon, sans file d'attente ni caisse : Première solution déjà largement répandue : les caisses automatiques. Ils ont aussi souvent la fâcheuse impression de ne pas avoir choisi la bonne caisse. >> En images - Le magasin du futur que les distributeurs nous préparent en secret Ce qui va l’être en revanche porte un nom barbare : le self scanning. >> En vidéo - Découvrez l'étiquette du futur ! Mais le mieux reste à venir. >> À lire aussi - Le smartphone du futur vous fera gagner du temps et de l'argent

[NRF 2017] 98% de la génération Z font leurs... « On sait que le magasin n’est pas mort, mais l’engouement de la génération Z pour les achats en boutique est une vraie surprise », commente Patrick Gourdon, expert retail Europe au sein de la division Watson Customer Engagement pour l’Europe, la nouvelle division d’IBM qui regroupe trois activités commerce, marketing et supply chain. En effet, ils sont 98 % à faire leurs courses en point de vente, d’après une étude menée dans 16 pays par IBM en partenariat avec la NRF. Et avec un pouvoir d’achat est estimé à 44 milliards de dollars, il s’agit d’une population attractive pour les distributeurs… La génération Z, qui inclut les jeunes de 13 à 21 ans, utilise bien évidemment à fond le web. Ainsi, 74 % assurent occuper leur temps libre sur le web, passant pour 25 % d’entre eux 5 heures sur leur smartphone par jour. « Ce sont des consommateurs connectés et utilisant majoritairement leur mobile, précise Patrick Gourdon.

L'essor du commerce omni-canal : une définition et cinq astuces | Selligent Les consommateurs adhèrent de plus en plus aux technologies et appareils numériques à toutes les étapes de leur parcours d'achat. Le numérique est intégré au comportement d'achat traditionnel hors ligne et les commerçants seraient bien avisés d'étudier de plus près le commerce omni-canal. Dans son billet récent sur Econsultancy, Darren Hitchcock définit le commerce omni-canal comme une « expérience de vente intégrée qui fusionne les avantages des boutiques traditionnelles et l'expérience riche en informations du shopping en ligne ». Il s'agit, entre autres, de jeter des ponts entre les expériences en ligne et hors ligne. Il existe de nombreux moyens et tactiques pour offrir une expérience d'achat plus intégrée. Cinq tendances et idées de commerce omni-canal 1) Utilisation des médias sociaux La communication entre pairs est l'un des meilleurs moyens pour vendre quelque chose. 2) Intégration d'avis de clients 3) Utilisation de moyens numériques pour personnaliser la boutique traditionnelle

Comment le géant Amazon écrase l'e-commerce français A quel point l'Américain domine-t-il réellement le marché hexagonal du commerce électronique ? Par quels leviers renforce-t-il son avance ? Enquête. Personne ne sait exactement combien Amazon, stéréotype du géant du Web qui ne communique jamais ses chiffres par pays, enregistre de ventes ou expédie de colis dans l'Hexagone. Le premier signe qui le révèle est son audience. Il est intéressant aussi de comparer la progression de l'audience d'Amazon.fr à celle du chiffre d'affaires de l'e-commerce français. En outre, comme la fréquence d'achat des cyberacheteurs augmente d'année en année (+13% en 2015), et plus encore chez Amazon grâce à son programme de livraisons illimitées "Premium", le prisme des visiteurs uniques minimise en réalité la hausse des achats sur sa plateforme. Sur le mobile, la domination d'Amazon est encore plus incontestable. Difficile toutefois de se risquer à pronostiquer le montant des ventes d'Amazon en France. La base de la réussite : l'offre et le service

Grande distribution: le prochain grand mouvement stratégique sera marketing L’alliance entre E. Leclerc et Rewe fige le paysage des achats du secteur, estiment deux experts en marketing, Matthias Berahya-Lazarus et Frank Rosenthal ; la concurrence va maintenant se déchaîner en direction du client L’annonce récente de l’alliance d’achat entre E. La première voie, le regroupement des achats, a été un moyen d’optimiser le développement par le « sourcing ». Lire aussi Distribution : Delhaize et Ahold annoncent leur fusion En effet, nul doute que la guerre des prix va persister. - la qualité de l’offre (« le bon produit au bon moment ») ; - la capacité à « marketer » cette offre (lui donner du sens, de la pertinence) ; - la capacité à mieux la faire connaître (« au bon client, au bon moment, sur le bon canal »). Ce dernier point représente un immense pari pour le secteur qui reste, année après année, le plus gros investisseur en communication avec un poids particulier et croissant sur des média traditionnels, généralement peu ciblés.

Auchan, Carrefour, Leclerc... Comment le drive a explosé en France Une exception française et une remarquable réussite. Même Wal-Mart, le géant américain et numéro un mondial de la distribution s’en est inspiré. En quinze ans, le "drive" - shopping sur internet, récupération des courses au coffre de la voiture - s’est installé dans l’Hexagone plus efficacement encore que le hard discount. Il est le premier canal de vente qui mêle véritablement le net et le magasin physique. Phase 1 : la prudence En 2000, l’ouverture à Leers dans le Nord, du premier drive imaginé par les équipes d’Auchan en 2000, passe pratiquement inaperçu. Phase 2 : l'accélération Le premier Leclerc drive ouvre à Alençon en 2006. Phase 3: la maturité Face au raz-de-marée et l’adoption rapide par les consommateurs du drive, Carrefour se lance dans la course entre 2011 et 2012 : il ouvre alors près de 200 drives. Déjà, une première dizaine de fermeture a eu lieu.

Drive : peu d'ouvertures en janvier 2015,... L’éternelle question du plafond atteint (ou non ?) par les drive peut se reposer à l’analyse des chiffres du mois de janvier 2015. Selon la base LSA Expert, 37 ouvertures ont eu lieu sur le premier mois de 2015, un total plutôt faible et même divisé par deux par rapport à janvier 2014. Et encore, ce bilan bénéficie des 19 ouvertures du fait d’Intermarché, et des 12 comptabilisées chez Carrefour, les autres enseignes affichant un bilan quasi nul. Système U, deuxième opérateur français en nombre de drives (609) et Leclerc, troisième acteur (561 sites) n'ont ainsi pas ouvert de nouveau drive en janvier. Le total des drive accolés et déportés s'élève maintenant en France à 2810, auquel il faut ajouter les points de retrait à l'acceuil des magasins (780). Chronodrive réduit la voilure La saturation semble se concrétiser, surtout à l’aune des 12 fermetures qui se profilent en février, toutes chez Chronodrive. Les chiffres du Drive d'un seul coup d'oeil

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