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Les différents types de régimes politiques 

Les différents types de régimes politiques 
<p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> On désigne par régime politique le mode d’organisation des pouvoirs publics : mode de désignation, compétences, définition des rapports entre les différents pouvoirs). Les régimes politiques sont le fruit du jeu des forces politiques dans le cadre institutionnel défini par la Constitution ou par la coutume. Tous les régimes ne sont pas démocratiques. Par ailleurs, on peut classer les différents types de régimes démocratiques selon qu’ils privilégient la collaboration des différents pouvoirs (régime d’assemblée, régime parlementaire) ou leur stricte séparation (régime présidentiel). Le régime d’assemblée Le régime d’assemblée est un système institutionnel dans lequel tous les pouvoirs procèdent d’une assemblée élue au suffrage universelSuffrage universelDroit de vote accordé à tous les citoyens majeurs. direct. Le régime parlementaire Le régime présidentiel Le régime mixte Related:  annacsmoi

Quelles sont les valeurs attachées à la citoyenneté ?  - Comment définir la citoyenneté Qu’est-ce que la citoyenneté ? : toutes les autres questions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Outre un statut juridique et des rôles sociaux, la citoyennetéCitoyennetéLien social établi entre une personne et l’État qui la rend apte à exercer l’ensemble des droits politiques attachés à cette qualité sous réserve qu’elle ne se trouve pas privée de tout ou partie de cet exercice par une condamnation pénale (privation de droits civiques). La civilité : il s’agit d’une attitude de respect, à la fois à l’égard des autres citoyens (ex : politesse), mais aussi envers les divers bâtiments et lieux de l’espace public (ex : transports publics). Ces trois valeurs donnent à la citoyenneté tout son sens, en ce qu’elle ne se limite pas à l’exercice ponctuel du droit de vote, mais qu’elle est mise en acte au quotidien.

Le droit de vote : une obligation pour certains pays  <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> La question du vote obligatoire se pose régulièrement dans un certain nombre d’États, dont la France, au vu de l’importance prise par l’abstentionAbstentionNon participation à un scrutin. Les théories du droit de vote dans le contexte français Pour mesurer les implications et la nature de ce débat, il faut revenir à l’époque révolutionnaire, où deux conceptions du vote s’opposent. Pour certains, qui s’appuient sur la pensée de Jean-Jacques Rousseau , le vote est un droit (théorie de "l’électorat-droit ") dont dispose tout citoyen. Pour d’autres, au premier rang desquels l’abbé Sieyès, qui va la théoriser dans son pamphlet Qu’est-ce que le Tiers-État ? Or, selon certains juristes, cette théorie de l’électorat-fonction justifierait la mise en place du vote obligatoire. Les pays où le vote est une obligation Le système le plus connu est celui de la Belgique.

La citoyenneté européenne Droit de vote Le droit de vote permet aux citoyens d'un État de voter pour exprimer leur volonté, à l'occasion d'un scrutin. Dans son application contemporaine, il pose un choix et permet, soit d'élire des gouvernants à but représentatif, soit de répondre à une question posée par la gouvernance, sous forme de plébiscite ou de référendum. Les démocraties modernes présentent le droit de vote comme un droit civique fondamental. À partir du XIXe siècle, le vote devient un synonyme de démocratie, alors qu'auparavant il désignait un régime aristocratique ou oligarchique[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] La démocratie athénienne[modifier | modifier le code] Le premier régime politique qui donne son nom à la démocratie est né dans la cité d'Athénes durant l'Antiquité. Ces derniers sont exclus de la communauté politique, dans la plupart des cités grecques. La res publica romaine[modifier | modifier le code] Les démocraties scandinaves[modifier | modifier le code]

Citoyenneté de l'Union - Commission européenne Consultation sur la citoyenneté de l’Union: donnez votre avis sur les valeurs communes, les droits et la participation démocratique au sein de l’UE Tous les citoyens, organisations et autres parties prenantes peuvent donner leur avis sur les droits conférés par la citoyenneté de l'Union. Qu'est-ce que la citoyenneté de l'Union? Toute personne possédant la nationalité d'un État membre de l'UE devient automatiquement un citoyen européen. La citoyenneté européenne est complémentaire à la citoyenneté nationale et ne la remplace pas. Chaque État membre doit fixer les conditions d'acquisition et de perte de la nationalité de cet État. Quels sont vos droits en tant que citoyen de l'Union? Le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne accorde le droit: Ces droits sont accordés à tous les citoyens de l'Union. Les citoyens européens bénéficient d'autres droits, parmi lesquels: Le traité interdit également la discrimination fondée sur la nationalité

untitled a12000 Citoyenneté de l'Union européenne Comme l'a défini le traité de Maastricht, tout individu ayant la nationalité d'un Etat membre est considéré comme citoyen de l'Union. L'instauration de la citoyenneté européenne vise à renforcer et à promouvoir l'identité européenne, en impliquant davantage les citoyens dans le processus d'intégration communautaire. Grâce au développement du marché unique, les citoyens bénéficient d'une série de droits généraux dans divers domaines tels que la libre circulation des biens et des services, la protection du consommateur et de la santé publique, l'égalité des chances et de traitement, l'accès à l'emploi et à la protection sociale. De plus, la citoyenneté de l'Union européenne comporte des dispositions et des droits spécifiques, que l'on peut regrouper sous quatre catégories: Le traité d'Amsterdam complète la liste de droits civiques dont bénéficient les citoyens de l'Union et précise le lien entre citoyenneté nationale et citoyenneté européenne. See also

untitled Citoyenneté, nationalité, deux mots, deux concepts Tout est à refonder, à repenser, en commençant par le commencement. Rien ne va, parce que rien n’est cohérent de bout en bout. Qui fait de la politique sans projet de société, sans savoir ce qu’est une société digne de ce nom, en est réduit à proposer des mesures au mieux incomplètes, au pire contradictoires. Ses ambitions sont limitées à remporter le prochain scrutin ou, pour les plus sincères, à œuvrer dans l’intérêt général sans toutefois pouvoir parvenir à un résultat satisfaisant. Les idées ci-après sont tirées d’une théorie globale, révolutionnaire, dite le Civisme. Elles sont donc liées à un tout indivisible, bien que le cadre de cet article oblige à les isoler, d’où des lacunes apparentes. Le premier postulat de cette théorie, dont tout découle, est que les Sociétés ou Cités sont constituées d’individus unis librement dans le but d’accroître leurs chances de survie, leur sécurité, comparé à ce qu’elles seraient s’ils vivaient séparément. Philippe Landeux

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