background preloader

Le logiciel libre et son état d'esprit inspirent déjà l'éducation de demain

Related:  Éducation: informatique et autres outils pédagogiques

You Want Smarter, More Collaborative Students? First, Fix The Tables Everyone lauds the benefits of collaboration, and yet students usually sit apart from one another, stuck behind their individual desks. The Dutch designers Rianne Makkink & Jurgen Bey have updated the classic trestle table into a flexible system that stretches to accommodate group projects. One or two trestle desks can be combined with a larger tabletop to form an elongated work surface. The longest table can also be used as a vertical or horizontal easel, with the metal ridge used for joining the tables together doubling as a utensil holder. The extension pieces, made from high-pressure laminate, can be folded and stacked into a colourful display when not in use. Brilliant--and just the thing to help foster early collaboration--but sadly not yet a reality.

What happens when you turn a middle school library into a hackerspace? guest article by Thomas Maillioux above: David designs an animation for his LoL Shield with LoL Shield Theater Editor’s note: Several months ago I put a call out on this blog for a DIY electronics blogger, and I couldn’t believe how many funny, friendly, fantastically qualified people from all over the world responded. One such person was Thomas Maillioux, an unconventional librarian in France. He told me about his work to bring hackerspaces into the libraries of public schools in metro-Paris to teach kids about electronics, programming, design, and even 3D printing. He graciously accepted my invitation in broken franglais to tell his story here on the blog. What happens when you turn a middle school library into a hackerspace? by Thomas Maillioux A hackerspace at school I was lucky enough to work through the 2010 school year with a bunch of brilliant, curious pupils at the Evariste Galois middle-school in Epinay sur Seine in the northern suburbs of Paris. “My project, my pace” What now?

Interro surprise sur vos portables Tablettes, téléphones portables, jeux vidéos, réseaux sociaux : autant d'éléments qui ont fait leur apparition dans les usages des élèves et, parfois, dans les salles de classe. Loin de l'alarmisme ambiant, la pédagogue Emmanuelle Erny-Newton met en avant les bénéfices de ces outils. L’école se “technologise”. Les TIC (technologies de l’Information et de la Communication) sont partout, leurs avancées abondamment relayées dans les médias –et abondamment commentées par les internautes. Or les commentaires, souvent négatifs, des lecteurs (et parfois même des éducateurs) dénotent une vaste incompréhension des enjeux éducatifs des nouvelles technologies. Le problème réside sans doute et avant tout dans le terme “TIC”, un collectif proche de l’Inventaire à la Prévert : Ordinateur ou Tableau Blanc Interactif (TBI) ? Ainsi énoncés pêle-mêle, la spécificité pédagogique de chacun de ces outils technologiques est occultée. Individuel ou centralisé ? Sédentaire ou nomade ? Quid des médias sociaux ?

Fab lab Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation. Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code]

Apprendre autrement : un scénario prospectif A quoi pourrait ressembler un système d’enseignement secondaire fondé sur une utilisation systématique des technologies de l’information et de la communication ? Tel est l’enjeu du scénario que décrit le consultant Jean Salmona pour la toute nouvelle ParisTech Review dont il est également le fondateur (et que nous vous recommandons). Dans cet article sous forme de scénario prospectif, parfois inégal, mais souvent stimulant, Jean Salmona ne fait pas qu’introduire des TIC dans le système éducatif, il redéfinit les principes de l’éducation pour les adapter à la modernité. Bien sûr, ce modèle se fonde sur une certaine vision de l’enseignement et de la place de l’élève et des professeurs dans ce processus dont nous ne partageons pas nécessairement tout le propos (notamment sur le risque de la centralisation de la production de contenu). ParisTechReview : un système d’enseignement secondaire base|zéro A propos de la série base|zéro Le système actuel a plus de 2000 ans 1. Le rôle des parents.

For the price of a TV you can start a FabLab This Christmas season you could buy a loved one an HDTV, a low end MacBook, or a suite of tools that enable them to create anything they can imagine. MIT Media Lab professor Neil Gershenfeld coined the term “FabLabs” to describe such a set of customization manufacturing tools (CNC mills, 3D printers, etc.) that would theoretically enable people to make almost anything. His vision was that these labs could be deployed to the inner city or developing world helping people fashion appropriate technology. A typical FabLab costs $25,000 to setup, but the entry level cost has been reduced dramatically. Low Cost FabLab Ingredients 3D Printer – MakerBot $750 The MakerBot has severe limitations, but there is no other sub $1000 option (The lowest cost 3D printer is more than 10X the cost). 3D Mill – Unimat $499 I learned about the Unimat system via AdaFruit Industries. 2D Plotter – Craft Robo $250 You can also use devices like this to etch glass:

Online education ? The Reality-Based Community For my sins, I guess, I’m a member of the Berkeley faculty Committee on Courses of Instruction. Things are looking up for this gig, though, because there’s growing interest on campus and at the university level in online instruction, and the committee is starting to seriously deliberate this very interesting issue. Not surprisingly, I guess, a lot of the action is going on in the wrong arena, looking for ways to cut costs “without reducing educational outcomes”, and this approach will assuredly wind up cutting costs and only reduce quality somewhat. But it’s almost certain that we could actually teach more, better, and cheaper with technology if we go at it wisely. How would we think about online education if we were focused on quality and value instead of penny-pinching? First, we would be looking at students, which is where value actually gets created, instead of faculty. A. reading textbooks, journal articles, and the like to accumulate declarative knowledge and maybe skills

Hackons l’école ! À l’occasion de la rentrée, OWNI hacke l’Education nationale. Pour se préparer au monde de demain, une autre pédagogie existe, celle des hackers. Reprise d’un article publié sur le site Owni magazine de journalisme numérique en creative commons par Sabine Blanc Le 26 août 2011 Lire l’article et ses commentaires sur Owni Les hackerspaceset les makerspaces, ces lieux physiques où se réunissent les hackers, « sont les écoles du futur ». Et il parle d’un futur très proche : « Que voulons-nous dire par le terme “école” en 2020 ? Les honneurs du ratage « Le premier qui a dix réponses justes reçoit un bon point. » Quel jeune élève n’a jamais entendu ce genre de promesses ? Le système actuel récompense les couards qui ne font pas d’erreurs. Les hackers exaltent l’erreur comme processus primordial de l’apprentissage. « Si l’école et l’éducation pouvaient tirer profit de la valeur de l’échec et l’utiliser comme outil pédagogique, elles seraient plus efficaces, poursuit James Carlson.

Related: