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L'éolienne sous licence libre qu'on pourra construire chez soi

L'éolienne sous licence libre qu'on pourra construire chez soi
C’est sur Planet-libre que j’ai découvert ce projet tout à fait intéressant, qui regroupe en son sein plusieurs de mes (vos ?) préoccupations : énergie renouvelable, open source hardware et software. La première phase du projet a été financée à auteur de 8 216 euros sur Ulule.com. Faire tourner des éoliennes en ville ? De quoi s’agit-il ? C’est une éolienne sur axe vertical à voilure adaptative, conçue pour garder un rendement régulier quand le vent ne l’est pas (vent tournant, irrégulier…), ce qui permet de l’utiliser en milieu urbain ou en montagne. Le financement actuel permet à Aeroseed (le bureau d’étude lorrain qui a conçu le projet) de mettre en service la première éolienne, de fabriquer la partie électronique ainsi qu’un banc de test et de mesure. Le concept est passionnant. Des plans sous licence libre De plus, c’est de l’open hardware : les principes de l’open source appliqués aux matériels. Un serveur de mel auto-hébergé et auto-alimenté ? Related:  Pétrole, pollution, énergies renouvelables

Des fournisseurs d'énergie publics, locaux, écolos et rentables... Mais interdits en France ! « Aujourd’hui, Il est tout simplement interdit de créer une régie municipale d’énergie en France », déplore Raphaël Claustre, président du réseau pour la transition énergétique Cler. Un mouvement qui viserait à re-municipaliser l’énergie, sur le modèle de ce qui s’est produit pour la gestion et la distribution de l’eau (voir notre enquête), et à favoriser localement le recours à des énergies renouvelables, est donc impossible. Pourtant, 160 régies municipales de l’énergie existent bel et bien en France. Les habitants de Grenoble, Metz, Elbeuf en Normandie ou Péronne en Picardie sont ainsi approvisionnés en électricité ou en gaz par des entreprises locales, aux tarifs réglementés. Ces régies sont souvent à la pointe en matière d’énergies renouvelables. Une situation héritée de 1946, quand l’État nationalise les entreprises privées d’électricité, pour les fondre dans un monopole public, EDF. Un millier de régies publiques de l’énergie en Allemagne « Les communes dorment pendant 20 ans.

Le premier terrain de foot éclairé par l’énergie des joueurs Une favela de Rio de Janeiro s’est dotée en septembre dernier d’un terrain de football unique au monde. Sa pelouse artificielle convertit les déplacements des footballeurs en électricité qui alimente les projecteurs du stade. Moins médiatisée que la dernière coupe du monde de football, l’inauguration du stade de la favela de Mineira a eu lieu le 10 septembre en présence du roi Pelé. Et pour cause, il s’agit du premier terrain de foot au monde éclairé par les joueurs. Ou plus exactement par leurs déplacements. Les joueurs créent la lumière L’astuce vient du sol composé de 200 plaquettes de pelouse artificielle dotée de la technologie « Pavegen » développée par l’entreprise britannique éponyme. Le projet a été validé par un vote des habitants qui n’ont pas eu à mettre la main au porte-monnaie pour la construction de l’enceinte sportive. Villes intelligentes Malgré cela, ce revêtement innovant « pourrait jouer un rôle clé dans les villes intelligentes du futur. Nicolas Blain

Gaz de schiste : comment la multinationale Shell fracture la planète à tout va Ukraine, Patagonie, Afrique du Sud, Tunisie… Le pétrolier Shell investit tous azimuts pour trouver du gaz de schiste et des hydrocarbures non conventionnels. Cette quête effrénée d’un nouvel eldorado pétrolier risque d’avoir de lourdes conséquences environnementales, en particulier sur les ressources en eau, menacées de surexploitation et de pollutions. La multinationale anglo-néerlandaise est d’ailleurs nominée comme « l’entreprise la plus agressive en terme de destruction des ressources naturelles » lors des prix Pinocchio 2014 qui « récompensent » les entreprises « en totale contradiction avec le concept de développement durable ». Du gaz de schiste, Shell en veut, et beaucoup. Les controverses, le premier groupe pétrolier mondial en chiffre d’affaires [1], y est habitué. Shell fait en Ukraine ce qu’elle n’oserait pas faire à l’Ouest Dans ces conditions, Shell craint-elle encore de salir sa réputation, déjà controversée ? Et d’abord en Ukraine, frappée par la guerre civile.

Envahis par le gaz : les paysans du Nigeria face à Total Tout a commencé par une « explosion souterraine, accompagnée d’un incendie sous la terre ». Ils ont été suivis d’« éruptions de gaz très explosives ». « Le premier jour de ces fuites, les gens fuyaient pour s’abriter, car le gaz sortait de terre mélangé à la boue, en faisant d’énormes trous. » « J’ai des images vidéo, et lorsque vous verrez la manière dont le gaz rugit et bouillonne, vous comprendrez notre inquiétude. » « L’éruption était si forte que la pression a transporté la boue jusqu’à la hauteur d’un très grand palmier. »« Il y avait des expatriés [de Total] sur place et nous leur avons posé des questions. Ils nous ont dit qu’il n’y avait pas de solution au problème et qu’il fallait leur laisser quelques mois pour en trouver une. » « Nous ne pouvons plus dormir à cause du vacarme causé par les gaz en furie. Des communautés sans recours face aux multinationales Le sort du peuple Egi reflète celui de nombreuses autres communautés de la région du delta du Niger. Non-droit

All talk, no action: Coal industry's hypocrisy on energy poverty The term “energy poverty” refers to people who do not have access to electricity and clean cooking facilities. Globally, 1.3 billion people do not have access to electricity in their houses and 2.6 billion people cook by burning coal, wood and other solid fuels. This has major impacts on people’s health, safety and quality of life. The coal industry is very vocal in promoting energy poverty and pushing coal as a solution to it. Energy poverty is the world’s number one human and environmental crisis. However, what Peabody says and what it does about energy poverty are very different. Peabody’s only contribution to energy poverty is maintaining a website and social media page which promotes coal as the solution to the problem. While Peabody talks about energy poverty, other organisations act. None of the main energy poverty initiatives promotes the use of coal. Perhaps because of this, the coal industry does not support any of the main energy poverty initiatives. Conclusion Authors:

Caravan to Unis'tot'en Camp - VIC FAN Unis’tot’en Camp is an indigenous re-occupation of Unis'tot'en Clan lands in northern BC, Canada. The camp's log cabin, traditional pit house, and forest permaculture garden sit squarely in the middle of the pipeline route to the port of Kitimat. The campers are blocking the way for two proposed gas pipelines and the Enbridge Northern Gateway tarsands pipeline. Volunteers are needed now & year round In the past year, the land defenders have evicted three pipeline surveying crews from their territory. Volunteers should: * be able to to travel to the camp * have an understanding of indigenous rights and responsibilities on their land * be prepared to help with the day to day work fo the camp * be ready to support the blockade if needed * respect that this movement is led by grassroots indigenous people Rideshares are coming together for October and November. The camp is 1000 km north of Vancouver, BC. Sign up to find out more about volunteering for the camp Can't see the form?

Mensonges de Shell sur les déversements d’hydrocarbures au Nigeria : notre point sur l’affaire Après plusieurs années de déni, les mensonges de Shell sont enfin révélés au grand jour. Amnesty International a publié plusieurs rapports sur la pollution pétrolière dans le delta du Niger, au Nigéria. Shell a dû finalement admettre que les chiffres et les arguments qu'elle défendait pour limiter la portée des affirmations d'AI étaient faux. Que révèlent les documents judiciaires ? Shell a dû reconnaître qu'elle avait sous-estimé deux déversements d'hydrocarbures dans la ville de Bodo et que ses oléoducs dans la région étaient vieux et mal entretenus. Shell avoue avoir minimisé l'ampleur de ces déversements – que dit-elle à présent sur les volumes de pétrole déversés ? Il a fallu une action en justice pour que Shell finisse par admettre que les chiffres qu'elle défendait depuis des années étaient faux. Ne pourrait-il pas s'agir simplement d'une erreur de la part de Shell ? Ces révélations ouvrent-elles la voie à de nouvelles plaintes contre Shell ? © Amnesty International

Comment la finance « verte » détruit l'Amazonie La transition énergétique, tout le monde en parle mais peu la finance. Face à la défaillance des pouvoirs publics, empêtrés dans leurs politiques d’austérité, les regards se tournent vers le « secteur privé » et les marchés financiers. Un nouvel outil financier est en train d’émerger pour donner corps à ces espoirs d’un monde moins pollué : les « obligations vertes » (green bonds ou climate bonds en anglais). Cette année, l’entreprise énergétique française GDF Suez a battu tous les records en levant 2,5 milliards d’euros grâce à une émission obligataire « verte » [1]. Opération de communication Tout irait-il pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Que reproche-t-on exactement au géant énergétique français et à son « obligation verte » ? « Si GDF Suez était réellement soucieux de contribuer à la transition énergétique, [elle] mettrait un terme à ses investissements dans les énergies fossiles. Déforestation, émeutes et travail esclave Un grand barrage qui n’a rien de vert

Ann-Laure a ramassé 7 tonnes de déchets: "Chômeuse longue durée, je suis à 100% pour le travail d'utilité publique" "Je reviens de la Dyle, c'est l'horreur", nous dit Ann-Laure, par téléphone. Soucieuse de préserver le cadre de vie d'un maximum de Belges, cette habitante de Huldenberg, dans le Brabant flamand, parcourt quotidiennement sa région et celle du Brabant wallon pour y ramasser les déchets. Ce matin encore, elle a trouvé des kilos de crasse polluante dans la vallée de la Dyle. "En plus des cannettes et bouteilles, en général, on trouve de tout, raconte-t-elle, après nous avoir joints via notre page Alertez-Nous. Des bidons remplis d'huile à moteur, des médicaments, des extincteurs, des clés USB, des Gsm, des cartes de banque dont les voleurs se débarrassent probablement, des jouets cassés, etc." "En octobre, j'ai ramassé 22 kg de cannettes, mais le pire, c'est la frigolite!" Cette amoureuse de la nature ne supporte pas que des déchets portent atteinte aux paysages, aux chemins de promenade, mais aussi qu'ils salissent les berges ou s'amoncellent le long des routes. Justine Sow @Justine_Sow

Pollution : 33 photos qui montrent la situation en Chine Avec un nouvelle croissance moyenne de 10 % par an en Chine, l’environnement est passé au second plan. C’est le pays le plus peuplé de la planète et il commence à montrer une forte augmentation du nombre de malformations congénitales, des cours d’eau inutilisables et son air est le plus pollué au monde. La pollution est telle qu’un nouveau mot a été inventé : « somgpocalypse ». Ceci étant, cela ne signifie pas que la Chine ne cherche pas à changer les choses, elle prendrait même ce défi beaucoup plus au sérieux que d’autres selon la Harvard Business Review. Ce sont les leaders mondiaux de l’investissement dans les technologies énergétiques à faible émission de carbone. Ils s’engagent également sur le long terme pour lutter contre leurs problèmes. Les photos suivantes prouvent à quel point la croissance économique peut avoir un impact sur l’environnement… Une journaliste prend un échantillon de la rivière Jianhe. Ce petite garçon nage dans une prolifération d’algues à Qingdao.

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